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Missions et Objectifs de la Commune
La Commune fournit des services de qualité, efficaces, et à la portée des cibles, elle édicte des règles à caractère général et impersonnel, à caractère obligatoire et les applique afin que tout le monde soit égal devant la loi et met en place des systèmes d’organisation plus profitables et plus durables en valorisant les potentialités locales et les opportunités qui se présentent. En matière de développement socio-économique de la société, la Commune assure la protection de la population. Cette action peut être palliative, préventive ou curative8 et peut se présenter comme une politique sociale.
Notamment, soulever le niveau de vie de la société locale est l’objectif essentiel de la commune. En effet, cet objectif permet d’instaurer une bonne communication et une bonne gouvernance entre la population et les autorités communales.
Elle aussi communique avec des collaborateurs, des multiples partenariats financiers étrangers et des organismes d’appui sur le développement durable de la communauté.
Le fokontany d’Ambanilalana, commune Andranonahoatra, siège de TADI et le lieu de résidence de sa fondatrice est la principale zone d’action de l’association. Les premières animations villageoises y ont été effectuées.
Généralité du Fokontany d’Ambanilalana
En général, il sera inséré sur l’historique, la monographie et l’organigramme du fokontany d’Ambanilalana.
Historique
Auparavant, il n’y avait pas d’habitants dans ce milieu, mais en 1937, les habitants vivaient dans une zone entourée d’une clôture avec une entrée comme le palais de Rova Manjakamiadana. Après quelques années, le milieu s’est vite étendu car le nombre de la population n’a cessé d’augmenter, si bien qu’on l’a nommé l’un des Fokontany de la Commune d’ Andranonahoatra ou le fokontany d’Ambanilalana. Sis à côté du Fokontany Akany Firaisana, il entretient plusieurs corrélations appropriées avec de nombreux projets. Ayant ainsi une énorme dimension de terrain, ce Fokontany figure parmi les grands Fokontany ainsi que les grands marchés communaux au sein de la Commune.
Monographie
Le Fokontany d’ Ambanilalana englobe 5 quartiers qui se présentent comme suit : Ambanilalana, Antanetikely, Tamboholava, Manjakatompo et Sakambahiny. Ce fokontany a unesuperficie de 85.50 ha, avec un nombre d’habitant de 9.901, de 1276 ménages divisés en quatre secteurs et une densité de 1.253 hab. /km29. Il est régi par une entité administrative composée par un chef du fokontany, un adjoint au chef fokontany, et une secrétaire trésorière, d’après l’organigramme ci-après. Cette entité dispose d’un système organisationnel. Il délivre les certificats de résidence, de vie etc. La présence du chef fokontany facilite l’implication de telles infrastructures pour l’assainissement et l’hygiène sociale.
Présentation de l’association TA-DI
Depuis sa création, l’association collabore avec la commune et les ménages. Elle embauche des personnes démunies, sur le service de gestion et de traitement des ordures ménagères. Et dans cette section, nous évoquons son historique, son organigramme et son objectif.
Historique de l’Association
Elle est fondée en 1991 Madame RASOAZANANAIVO Razanadrahety, résidente au Lot IPS 60 Itaosy Antananarivo Madagascar et est opérationnelle depuis 2011.
Le TA-DI veut dire « Talenta Dimy » tiré de la Bible, Mathieu chapitre 25, verset 16 « Il donna cinq talents à l’un, deux à l’autre, et un au troisième, à chacun selon sa capacité, et il partit. Aussitôt celui qui avait reçu les cinq talents s’en alla, les fit valoir, et il gagna cinq autres talents ». (Mat 25 :15-16)
Donc, cela signifie que le rôle de l’Association ne consiste pas à donner gratuitement des choses mais encourager à faire une action pour mériter des bénéfices. Cette Association recrute des travailleurs pour la protection de l’environnement en insistant sur la gestion et recyclage des ordures ménagères au niveau local.
ANCRAGES THEORIQUES RELATIFS A LA NOTION D’HYGIENE ET D’ASSAINISSEMENT
Dans ce deuxième chapitre de la première partie, nous évoquons le cadrage théorique sur le thème à étudier et celle des techniques adoptées pour l’outil de collecte des données.
Cadrage théorique
A partir de la méthodologie élaborée, les observations durant le stage dans la commune et dans l’association ont été régies par des questionnaires posés auprès de cibles sur la notion d’hygiène et d’assainissement.
Rétrospectives du problème
Rappelons encore que le présent mémoire aborde « la gestion et le traitement des ordures ménagères dans la commune d’Andranonahoatra ». La majorité des cas de maladies et d’infections bactériennes ou virale telle que le choléra, la fièvre typhoïde, la peste,… proviennent du non-respect de l’hygiène et de l’insalubrité du milieu, de l’habitat, et de l’environnement de l’Homme. Ces risques sont plus importants en milieu urbain, là où la densité de la population est plus importante, qu’en milieu rural.
Aussi, à part les problèmes sanitaires, les cas d’inondation sont très fréquents en période pluvieuse à cause des canaux d’évacuations bouchés par des matières en plastiques.
Durant cette même période, les ordures éparpillées par ci et par là sont décomposées par des bactéries et dégagent une odeur nauséabonde dans l’air.
Et finalement, il n’est jamais agréable de voir des résidus sur la voie publique. Les touristes qui visitent Madagascar ou Antananarivo, la capitale de Madagascar, garderont cette image de notre pays, ce qui n’est pas en notre faveur.
Introspective
Ces divers problèmes nous amènent à effectuer un suivi de l’activité de l’association TA-DI afin de vérifier si l’intervention d’une telle association pourrait bien être la solution idéale, un modèle à suivre pour les autres.
Perspective
Après l’émission de ces hypothèses, les observations et les techniques vivantes appliquées montrent les rapports étroits entre les trois cibles (l’association, la commune et les ménages) pour qu’il y ait une vision sur la protection de l’environnement et le changement de comportement des ménages.
Concept et instrument d’analyse
Ce phénomène social explique et justifie la pollution de l’environnement, donc une association appelée TA-DI apparaît pour accomplir des activités biens organisées dans la commune rurale d’Andranonahoatra. Le concept et l’instrument d’analyse (rubrique épistémologie) nous guident pour l’instauration de la sociologie de l’environnement pour interpréter ce fait social.
Approche sociologique
C’est l’approche sociologique qui correspond au thème élaboré dans l’introduction. Cette discipline permet d’analyser socio économiquement des questions environnementales, c’est à dire comment les problématiques environnementales sont perçues, définies, étudiées et gérées au sein de la communauté. En pratique, la plupart des sociologues s’intéressent majoritairement à notre environnement urbain. Mais la discipline s’ouvre doucement à l’environnement naturel. C’est le Canadien Jean-Guy Vaillancourt10 qui étudie la relation entre la société et la nature. L’enjeu d’une telle discipline entre sociologie et écologie, est de pouvoir enfin rendre compte de la complexité de la question environnementale qui est avant toute chose une question de culture et de société. Il faut essayer de cerner l’objet « environnement ». Il faut faire un point historique sur la constitution de l’environnement. Il faut problématiser la question de l’environnement à partir de ses acteurs. La manière dont Marx envisage le travail : « Le travail est de prime abord un acte qui se passe entre l’homme et la nature »11. Le travail est un rapport social qui engage l’homme et la nature. La société (l’homme) et la nature sont deux entités qui ne sont pas séparées. Le parallèle homme-nature est complexe car il se joue à 2 niveaux :
-Par son action sur la nature, l’homme transforme la nature. On a une action de l’homme sur la nature qui est de l’ordre de l’utilité.
– En modifiant la nature, l’homme se modifie lui-même (l’homme pense sa transformation)
On en vient à la notion de progrès : De ce point de vue, Marx ne se distingue pas des autres grands penseurs de la société (Comte, Durkheim, Weber). On peut parler ici de paradigmes (Théorie/Corpus historique).
Cette approche nous amène au mode de fonctionnement des associations dans les projets communautaires, pour qu’elles aient déroulé effectivement.
Sociologie des organisations
Pour qu’un Organisme, une association, la commune et de telles entreprises marchent, il est d’abord primordial de tenir compte de l’organisation pour la fiabilité de leur travail dans la société, ce que l’on parle ici de la sociologie des organisations. Tout groupement qui est basé sur le travail avec de prise de décision, de détermination des objectifs, pour fixer des objectifs guidés et dirigés le comportement en clarifiant le rôle de chacun sur le fonctionnement de la société.
Dans l’organisation sociale¸ E. Durkheim affirme dans la division du travail, il y a deux formes de solidarité sur le principe d’organisation : la solidarité mécanique ou par similitude. Quand elle prédomine dans une société, les individus diffèrent peu les uns des autres. Ils éprouvent les mêmes sentiments, servent les mêmes valeurs, révèrent le même monde sacré. La forme opposée de solidarité, que Durkheim nomme organique, est celle par laquelle les individus, non plus semblables mais différents, remplissent chacun une fonction propre. Cette seconde forme qu’on met en évidence comme les organes d’un être vivant, également nécessaires au fonctionnement de la totalité. Les sociétés sont différenciées, qui composent d’individus liés les uns aux autres par solidarité organique, et forment des collectivités fondées sur la division du travail. Une structure segmentaire, il est vrai, peut subsister dans une société différenciée : c’est le cas de sociétés modernes comme l’Angleterre, où les autonomies locales demeurent vivantes. Mais dans l’ensemble, la différenciation des fonctions caractéristiques de la solidarité organique est contraire au maintien de sections diverses, multiples et semblables.
Cette organisation de tels acteurs sociaux s’accompagne toujours avec le système de fonctionnement pour que l’activité sociale se déroule bien. C’est donc qu’on utilise le cadre d’analyse sur le fonctionnalisme.
Fonctionnement de système
Si le fonctionnalisme explique l’existence de diverses institutions ou pratiques par leur fonction, la théorie des systèmes veut rendre compte des relations existant entre différents sous-systèmes et permettant par là le fonctionnement du système dans son ensemble. Le « fonctionnalisme systémique » doit donc permettre à Parsons d’expliquer comment, dans une société, des échanges entre différentes entités (les organismes biologiques, les psychismes, la structure sociale, la culture) permettent le fonctionnement d’une société.
Du point de vue de l’action, c’est la notion de rôle qui permet de retrouver ces différentes dimensions. Là encore, Parsons fait l’observation que le rôle n’est pas production de la société (énergie mobilisée), mais production contrôlée (l’action est socialisée, le rôle est défini et il se réfère à des valeurs que les individus ont intériorisées). La notion de rôle permet par ailleurs de saisir que les différents sous-systèmes de l’action sont construits analytiquement : quand l’individu remplit son rôle, en même temps qu’il agit de façon volontaire, il se conforme à des règles et des valeurs.
Techniques adoptées
L’obtention de résultats a été basée surtout sur l’exploitation des données de la descente sur terrain : la description de sujet et du terrain d’étude, les techniques d’échantillonnage, les techniques vivantes, les techniques de questionnaires et les techniques de documentation. Accompagné de technique vivante, qui est à l’interaction du stagiaire sur le terrain d’étude auprès des cibles touchant les ménages.
Ces techniques sont interdépendantes avec les questionnaires ou guides d’entretien. On utilise des guides d’entretien pour obtenir des observations simples aux ménages enquêtés et d’avoir des réponses qualitatives, et on observe des réponses quantitatives en employant des questionnaires fermées et semi- fermées afin de proposer les hypothèses fortes.
Description du terrain d’étude
La zone d’étude est située précisément dans la commune rurale d’Andranonahoatra, district d’Atsimondrano, avec 446.25 hectares de superficie, 60.000 d’habitants et 9500 ménages environ.
Technique d’échantillonnage
Le type d’échantillonnage par probabiliste a été la technique d’échantillonnage la mieux adaptée à la situation. Pour pouvoir estimer les résultats sur les 60 000 habitants, occupant les 446,25 hectares de superficies, et répartis sous environ 9 500 ménages, l’étude a été menée au hasard et d’une manière aléatoire sur un échantillon de 60 ménages et 16 collecteurs. Notons que parmi ces ménages échantillonnés, il y a ceux qui travaillent avec l’association et ceux qui ne le sont pas.
Le système de collecte des déchets par la commune d’Andranonahoatra:
Le deuxième Adjoint au Maire de la Commune est le premier responsable de l’organisation de la collecte de déchets. Elle utilise des matériels de transport. Il y a 2 décharges de déchet, l’une se trouve à l’Ouest de la Commune, à Ankarefybe, à un kilomètre (1km) de la Commune ; et l’autre à Andranonahoatra (Ambohidahy), à deux cents mètres (200 m) de la Commune. Ces deux dépôts sont loués par la Commune.
La Commune ne travaille pas avec la SAMVA (Service Autonome pour la Maintenance de la Ville d’Antananarivo) jusqu’aujourd’hui, quelle que soit la demande du Service Technique de la Commune durant l’année 2010. Actuellement, cette commune entretient une meilleure gestion de la communauté sur les curages des canaux d’évacuation, la gestion de l’éparpillement des déchets dans tous les coins et les eaux usées. Or, le suivi des voiries effectué par les KAMMA ou (Kaomitin’ Asa Mpandrindra amin’ ny Ankapobeny) apporte des opportunités sociales même s’il n’y a pas de coopération avec le SAMVA. La participation de la commune est donc l’activité sur la gestion des ordures sur la voie publique et aussi le curage des canaux d’évacuation. Le rôle de ces travailleurs de déchets (éboueurs) est notamment le balayage communautaire et l’entretien des canaux qui se fait par jour sauf le Samedi et le Dimanche.
Au nombre plus de vingtaines, les éboueurs utilisent des brouettes, des charrettes, des pelles, des râteaux, des mèches et des balais pour les nettoyages des routes et du marché dans chaque Fokontany.
– Les activités faites par le service de la voirie :
Balayage :
-Nombre d’agents : 12 permanents + 11temporaires
-Fréquence de balayage : 2fois par jour
Ramassage des ordures :
-Fréquence de ramassage : 1 fois par jour
-Volume ramassé par jour : 150 brouettes par jour en moyenne
Chaque travailleur est payé par la commune et doit porter des combinaisons, des bottes et des gants par mesure de sécurité. L’entretien et la réparation de ces matériels se font par semaine. En cas de problème, elle fait appel au responsable, qui est le Service Technique de la Commune pour que le matériel soit disponible tous les jours.
Les relations entre la commune, ses fokontany et les ménages sur les ordures :
La communauté dite urbaine vit dans la ville où on retrouve une forte agglomération, et une importante pollution due à la consommation massive d’énergie et à la surpopulation. La ville constitue également le point de départ de l’activité et de la croissance économique.
De plus, la ville est par excellence, génératrice de toutes sortes de manifestations environnementales : de l’émission des gaz à effet de serre est principalement liée au transport urbain sans cesse croissant. Ces problèmes environnementaux s’accompagnent d’une dégradation de la qualité de l’air et de l’eau avec des impacts immédiats sur la santé de la population. Il y a lieu de s’incliner sur l’environnement urbain, qu’au sens large, recouvre l’ensemble des aspects qui touche l’environnement des villes : la santé, l’assainissement, les déchets, l’habitat, les transports, l’énergie, l’aménagement de l’espace, les industries etc.….
La pauvreté, qui domine notre pays est en relation avec l’action de l’individu, et qui engendre la dégradation de l’environnement. C’est la principale raison qui pousse les Fokontany à ne pas assurer les financements des infrastructures au niveau social. Les impôts provenant des taxes communaux ne suffisent pas à payer les dépenses auprès de la commune. Néanmoins, la commune bénéficie des aides financières sur les projets communautaires, de la part des bailleurs de fonds. Or, ce problème sur la gestion des moyens de financement, ainsi que l’impact de la pauvreté constituent un blocage pour le non développement des Fokontany dans la commune d’Andranonahoatra. La communauté actuelle ne respecte pas la norme sur l’emplacement des sites de dépôt. Ce qui engendre la multiplication des dépôts sauvages, la présence des canaux bouchés, la dispersion des déchets dans le milieu public provoquant l’insalubrité du milieu. Même si la commune a mis en place 2 dépôts municipaux, ils ne suffisent pas pour gérer la pollution dans le district d’Atsimondrano. C’est pour cela, une association est née dans ces divers problèmes environnementaux pour la mise en œuvre des projets sociaux sur la notion d’hygiène et d’assainissement.
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Table des matières
Plan
PREMIERE PARTIE : MONOGRAPHIE DE LA COMMUNE RURALE D’ANDRANONAHOATRA ET CADRE THEORIQUE DE LA THEMATIQUE D’ HYGIENE ET D’ASSAINISSEMENT
Section I : Monographie de la Commune
I-Historique
II-Cadre institutionnel et juridique
III-Situation géographique
a-Localisation
b- Démographie
IV-Missions et Objectifs de la Commune
V-Généralité du Fokontany d’Ambanilalana
a-Historique
b-Monographie
Section II: Présentation de l’association TA-DI
I-Historique de l’Association
II-Présentation de l’association
III- Objectif
CHAPITRE II : ANCRAGES THEORIQUES RELATIVES A LA NOTION D’HYGIENE ET D’ASSAINISSEMENT
Section I : Cadrage théorique
I-Rétrospectives du problème
II-Introspective
III-Perspective
IV-Concept et instrument d’analyse
A-Approche sociologique
B-Sociologie des organisations
C- Fonctionnement de système
Section II : Techniques adoptées
A-Description du terrain d’étude
B-Technique d’échantillonnage
C-Technique de documentation
DEUXIEME PARTIE : ANALYSE DES RESULTATS ET VERIFICATION DES HYPOTHESES
CHAPITRE III : ORGANISATION COMMUNALE CONCERNANT LES COLLECTES DE DECHET
Section I : Organisation de la commune sur la gestion des ordures dans ses fokontany
I- Le KAMMA
A- Le système de collecte des déchets par la commune d’Andranonahoatra:
B- Les relations entre la commune, ses fokontany et les ménages sur les ordures :
CHAPITRE IV : RESULTATS DE L’ENQUETE AUPRES DES CIBLES
Section I : Organisation de l’association TA-DI sur l’activité de gestion des ordures ménagères dans la commune d’Andranonahoatra……
Section II- Rapport de gestion d’ordure ménagère de l’année 2012 en adhérant les trois autres fokontany
I-Système de collecte de déchets d’ après les ménages enquêtés
II-Capacité de paiement des ménages
III-Rôle des employés au sein du service
A-Ramasseurs et Transporteurs
B-Chefs secteurs
C- Secrétaire
IV : Étapes à suivre pour l’adhésion des ménages au sein de l’association
Section III : Processus de l’étude sur traitement de déchets et leurs valorisations
I- Traitement des déchets
II- Valorisation des déchets
1-Valorisation des matières plastiques
2-Valorisation des matières biologiques
a- Etape de fabrication des composts
b- L’utilisation des composts
III- Objectifs de traitement
CHAPITRE V: ESSAI D’ANALYSE
Section I : Impacts du service sur la gestion et traitement des ordures dans la commune rurale d’Andranonahoatra
I-Sur l’environnement
II-Sur les ménages concernés
III-Sur les travailleurs
A- Positifs
B-Négatifs
Section II: Synthèse des résultats et vérification des hypothèses
I- Synthèse de résultats
II- Vérification des hypothèses
TROISIEME PARTIE : DISCUSSION ET REFLEXIONS PROSPECTIVES
CHAPITRE VI : CRITIQUES EXTERNES DES APPORTS THEORIQUES
Section I : Dimension socioéconomique
Section II : Dynamique organisationnelle
CHAPITRE VII : REFLEXIONS PROSPECTIVES
Section I : Suggestions
I- Suggestions pour l’association et le Fokontany
II- Suggestions professionnelles
Section II : Acquisitions professionnelles et recommandation
I-Expériences professionnelles
II- Acquisitions du stagiaire
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
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