ANATOMO-HISTOLOGIE ET ROLE DE LA PEAU

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Lโ€™Hypodermeย 

Il constitue la couche de transition entre le derme et les tissus sous-jacents. Il contient des lobules graisseux entre lesquels passent des septums fibreux rattachant le derme rรฉticulaire aux fascias sous-jacents.
Il existe dans la graisse hypodermique une structure trรจs grรชle de faible consistance qui ne constitue pas une barriรจre ร  l โ€™infection et qui nโ€™est pas individualisรฉe partout : le fascia superficialis. En dessous de la graisse hypodermique, se trouve une aponรฉvrose dite aponรฉvrose superficielle, fermement adhรฉrente au muscle quand le sous-sol est musculaire.
Cette aponรฉvrose superficielle est profonde par rapport au fascia superficialis avec lequel la confusion terminologique est facile compte tenu de la similitude des noms.
Elle est aussi une vรฉritable barriรจre physiologique, extrรชmement rรฉsistante, siรจge รฉlectif de la nรฉcrose, dans les fasciites.
Selon les zones anatomiques, le fascia superficialis est soit :
๏ƒ˜ en dessous de la graisse hypodermique et sรฉparรฉ de lโ€™aponรฉvrose superficielle par un espace virtuel de dรฉcollement facile ;
๏ƒ˜ au sein de la graisse hypodermique avec du tissu adipeux sur ses deux faces.

La vascularisation de la peauย 

Les connaissances actuelles en matiรจre de vascularisation cutanรฉe proviennent avant tout des travaux de Salmon et de Manchot [81].
Mรชme si c ette vascularisation est variable selon la rรฉgion anatomique considรฉrรฉe, il existe cependant une organisation gรฉnรฉrale comparable des vaisseaux ร  destinรฉe cutanรฉe.
Les vaisseaux nโ€™existent que dans le derme et lโ€™hypoderme. Lโ€™รฉpiderme รฉtant un รฉpithรฉlium non vascularisรฉ, sa nutrition sโ€™effectue ร  travers la lame basale par diffusion.
Les artรจres ร  d estinรฉe cutanรฉe proviennent des gros troncs artรฉriels, perforent une aponรฉvrose et pรฉnรจtrent dans le tissu sous-cutanรฉ. On distingue les artรจres cutanรฉes directes et indirectes :
– artรจres cutanรฉes directes : elles irriguent la peau sans relais sous-aponรฉvrotique ;
– artรจres cutanรฉes indirectes : elles traversent un ou plusieurs muscles quโ€™elles vascularisent avant de perforer lโ€™aponรฉvrose sus-jacente et de parvenir ร  la peau.
Il existe deux plexus artรฉriels cutanรฉs :
– le plexus superficiel situรฉ entre la couche papillaire et la couche rรฉticulaire ;
– le plexus profond entre le derme et lโ€™hypoderme.
De fines branches quittent ces plexus et vascularisent les papilles dermiques.
Lโ€™architecture des veines cutanรฉes est semblable ร  celle des artรจres cutanรฉes.
Il existe 3 plexus veineux, deux correspondent aux artรฉrioles et un se situe au milieu du derme.
Les anastomoses artรฉrio-veineuses sont frรฉquentes au niveau du derme, surtout dans la peau รฉpaisse. Elles ont lโ€™aspect dโ€™un canal tortueux unissant lโ€™artรฉriole ร  la veinule et faisant communiquer les plexus profond et superficiel. Elles constituent un court โ€“circuit qui permet la variation du dรฉbit sanguin et concourt ร  la rรฉgulation thermique.
Les lymphatiques naissent par une anse borgne du sommet des papilles dermiques. Ils forment deux rรฉseaux parallรจles aux plexus artรฉriels superficiels et profond. [69].

Innervation de la peauย 

La peau e st un orga ne assurant lโ€™un des cinq sens : le toucher. Elle est richement innervรฉe par diffรฉrents nerfs sensitifs. Comme pour la vascularisation, cette innervation varie selon la zone anatomique considรฉrรฉe (trรจs riche au niveau du visage et des faces palmaires des doigts ou des faces plantaires des pieds, moindre au niveau du dos).
Le rรฉseau dermique sensitif est formรฉ dโ€™un plexus profond et dโ€™un plexus superficiel superposables ร  la topographie artรฉriolaire. ร€ partir de ces plexus, des fibres individuelles sโ€™รฉchappent pour gagner un territoire cutanรฉ. Chaque zone cutanรฉe est innervรฉe par plusieurs fibres diffรฉrentes du plexus. Ces fibres aboutissent ร  des rรฉcepteurs qui existent en deux catรฉgories : les terminaisons nerveuses libres et les terminaisons encapsulรฉes (ou c orpusculaires). Les rรฉcepteurs corpusculaires, qui constituent la minoritรฉ des terminaisons sensitives de la peau, sont situรฉs dans les diffรฉrentes couches du derme et de lโ€™รฉpiderme. Ils assurent la transduction de stimuli extรฉrieurs en signaux transmis jusquโ€™au cortex. On distingue diffรฉrentes structures anatomiques dont la fonction associรฉe nโ€™est que trรจs schรฉmatique :
– les terminaisons de Merkel-Ranvier sont situรฉes ร  la partie profonde de lโ€™รฉpiderme. Elles participent au tact รฉpicritique et sont retrouvรฉes en plus grand nombre au niveau du visage et des rรฉgions gรฉnitales ;
– les corpuscules de Meissner sont situรฉs dans le derme papillaire. Elles participent รฉgalement au tact รฉpicritique. On les trouve surtout dans les zones de friction : paumes, plantes, faces palmaires et plantaires des doigts et orteils ;
– les corpuscules de Vater-Pacini, situรฉs dans le derme rรฉticulaire, qui participent au tact proprioceptif (pression et vibrations) ; on les trouve essentiellement sur les doigts, mais รฉgalement dans le pรฉnis et le clitoris ;
– les corpuscules de Krause, situรฉs dans le derme rรฉticulaire participent ร  la thermosensibilitรฉ ; on les trouve en grand nombre dans les zones de transition entre peau et muqueuses : lรจvres, langue, joue, paupiรจres, gland, clitoris, rรฉgion pรฉri anale, etc. ;
– les corpuscules de R uffini, situรฉs dans le derme papillaire correspondraient ร  des artรฉfacts dโ€™enroulement de fibres nerveuses.
ร€ cรดtรฉ de ces rรฉcepteurs corpusculaires, existent de trรจs nombreuses terminaisons nerveuses libres, situรฉes dans le derme et lโ€™รฉpiderme, qui participent au tact nociceptif. Elles sont universellement distribuรฉes dans lโ€™organisme.
Par ailleurs, il existe de nombreuses terminaisons nerveuses sympathiques destinรฉes aux vaisseaux sanguins, aux glandes sudoripares et aux muscles รฉrecteurs des poils. Leurs fibres sont soit adrรฉnergiques, soit cholinergiques.

ANATOMO-PATHOLOGIEย 

Les trois couches de la peau (รฉpiderme, derme et hypoderme) sont touchรฉes par les processus infectieux avec une inflammation intense ล“dรฉmateuse, associรฉe ร  une infiltration cellulaire. Dans les fasciites nรฉcrosantes, l’atteinte du derme est profonde (derme rรฉticulaire). L’infection sous-cutanรฉe concerne les fascias, les muscles, les veines profondes (thromboses septiques) avec nรฉcrose hypodermique et aponรฉvrotique qui, par extension et ischรฉmie gagne le derme et l’รฉpiderme. Ces entitรฉs se distinguent des autres infections cutanรฉes : furoncle (inflammation circonscrite siรฉgeant ร  lโ€™appareil pilosรฉbacรฉ), abcรจs (amas de pus collectรฉ dans une cavitรฉ nรฉoformรฉe), impรฉtigo (dermatose vรฉsiculo-pustuleuses).
Lโ€™anatomopathologie des BHBN et FN est illustrรฉe dans la figure ci-dessous :

BACTERIOLOGIE

La recherche de bactรฉries responsables des DHBN et FN est fondamentale pour le choix duย  traitement antibiotique.

Techniquesย 

Quelle que soit la technique employรฉe, elle doit comporter systรฉmatiquement un examen direct aprรจs coloration de Gram et des cultures.
๏ƒ˜ Les prรฉlรจvements locaux
Plusieurs techniques sont possibles :
– Le prรฉlรจvement ร  lโ€™รฉcouvillon de la porte dโ€™entrรฉe cutanรฉe supposรฉe. Ce mode de prรฉlรจvement entraรฎne une dissection rapide. Il faut prรฉvoir un รฉcouvillon pour le frottis et un pour la culture qui sera immรฉdiatement dรฉposรฉ dans un milieu de transport. Il est difficile dโ€™attribuer avec certitude un rรดle aux germes isolรฉs ร  ce niveau.
– Les prรฉlรจvements peropรฉratoires sont pratiquรฉs au centre du t issu infectรฉ et au niveau de la zone adjacente aux tissus viables. Lโ€™examen direct des sรฉrositรฉs louches ou purulentes qui sourdent des plans sous cutanรฉs profonds lors de lโ€™intervention permet une orientation microbiologique.
– Les prรฉlรจvements de gorge et des fosses nasales : s euls les streptocoques รŸ-hรฉmolytique sont recherchรฉs sur un milieu de culture sรฉlectif.
– La ponction aspiration ร  lโ€™aiguille : Aprรจs une antisepsie cutanรฉe, la ponction est rรฉalisรฉe ร  lโ€™aide dโ€™une seringue ร  usage unique contenant 1 ร  2 ml de sรฉrum physiologique stรฉrile (certains font simplement le vide dans la seringue). Le liquide est ensuite injectรฉ par voie sous-cutanรฉe en pleine zone pathologique puis rรฉaspirรฉ (si nรฉcessaire, lโ€™injection โ€“ rรฉaspiration est rรฉalisรฉe ร  plusieurs reprises).
La ponction doit รชtre rรฉalisรฉe au niveau dโ€™une lรฉsion bien active. Les prรฉlรจvements sont alors amenรฉs au laboratoire.
– La biopsie cutanรฉe ou mieux la biopsie au centre de la lรฉsion seraient plus contributive que celle effectuรฉe ร  la bordure.
๏ƒ˜ Les hรฉmocultures
Elles doivent รชtre systรฉmatiques. Elles sont positives dans environ 1/3 des cas.

Germesย 

Il est possible de classer les DHBN et FN en trois catรฉgories :
– celles liรฉes aux streptocoques รŸ-hรฉmolytiques du gr oupe A (Streptococcus pyogรจnes) et aux streptocoques du groupe G ;
– les gangrรจnes gazeuses et myonรฉcroses ร  Clostridium sp ;
– les DHBNโ€“FN ร  flore mixte aรฉro-anaรฉrobie telles que les gangrรจnes de Fournier et les gangrรจnes post opรฉratoires de Meleney.
Dโ€™autre germes ont รฉtรฉ dรฉcrit dans la littรฉrature ร  savoir le Vibrio Vulnifucus et la Pasteurellose.

Classification

Les dermohypodermites bactรฉriennes nรฉcrosantes et fasciites nรฉcrosantes ont รฉtรฉ classรฉes en diffรฉrentes entitรฉs en fonction [77] :
– des critรจres topographiques : gangrรจne de Fournier ;
– des critรจres microbiologiques : gangrรจne synergistique, gangrรจne gazeuse ;
– des critรจres รฉvolutifs : formes fulminantes ou sub-aigรผes ;
– des circonstances de survenue : post-opรฉratoires ou primitives ;
– du terrain : diabรจte.

Examens paracliniques

Ils ne doivent en aucun cas retarder la prise en charge mรฉdico-chirurgicale, dโ€™autant plus quโ€™aucun dโ€™entre eux nโ€™est validรฉ en tant quโ€™รฉlรฉment dรฉcisionnel formel.

Examens radiologiques

๏ƒ˜ Lโ€™imagerie par rรฉsonance magnรฉtique (IRM) en T2 est lโ€™examen le plus performant avantย  lโ€™intervention pour identifier, situer, dรฉlimiter les lรฉsions et repรฉrer les tissus encore sains.
๏ƒ˜ La tomodensitomรฉtrie (TDM) et lโ€™IRM en T1 mรชme avec injection de produit de contraste donnent de moins bonnes informations. Leur rรฉalisation systรฉmatique et en urgence est illusoire.
๏ƒ˜ Il est toujours utile si lโ€™ รฉtat du patient le permet de pratiquer des radiographies standard des tissus mous pour re chercher la prรฉsence de gaz dans les parties molles, caractรฉristique des fasciites clostridiennes.
๏ƒ˜ Lโ€™รฉchographie permet dโ€™รฉliminer une thrombose veineuse et une collection.

Examens bactรฉriologiques

Les hรฉmocultures sont positives da ns environ un t iers des cas. Ce sont les prรฉlรจvements locaux qui sont utiles. Ils permettent dโ€™obtenir un di agnostic microbiologique dans t rois quarts des cas, en lโ€™absence dโ€™antibiothรฉrapie prรฉalable.

Examen anatomo-pathologique

Aspect macroscopique

๏ƒ˜ Au stade initial : les lรฉsions sont profondes et affectent lโ€™hypoderme et le fascia. La peau nโ€™est atteinte que secondairement alors que les vaisseaux nourriciers sont thrombosรฉs ou nรฉcrosรฉs. Le tissu adipeux est alors oedรฉmatiรฉ et friable. Le fascia est dรฉchiquetรฉ, nรฉcrotique et grisรขtre.
๏ƒ˜ Au stade de nรฉcrose : le tissu sous-cutanรฉ se dรฉcolle facilement de lโ€™aponรฉvrose, guidant le chirurgien dans sa rรฉsection. A lโ€™extrรชme, le tissu sous-cutanรฉ entiรจrement nรฉcrotique peut disparaรฎtre, vรฉritable dissection anatomique, toujours plus รฉtendue en profondeur quโ€™en superficie : le derme cyanotique repose alors directement sur les รฉlรฉments musculo-tendineux.
Le processus pathologique dรฉbutant au niveau du fascia, lโ€™atteinte profonde sera souvent plus รฉtendu que lโ€™atteinte cutanรฉe.

Aspect microscopique

๏ƒ˜ Au stade initial : les lรฉsions occupent uniquement le derme profond et le fascia, associant :
– un infiltrat inflammatoire massif de lymphocytes, macrophages, et polynuclรฉaire ;
– une thrombose vasculaire prรฉdominant dans le derme profond et lโ€™hypoderme ;
– une nรฉcrose du fascia superficiel.
๏ƒ˜ Ultรฉrieurement : lโ€™examen anatomopathologique met en รฉvidence :
– des lรฉsions dermo-hypodermiques profondes sโ€™รฉtendant jusquโ€™ร  lโ€™aponรฉvrose avec un รฉnorme ล“dรจme dissociant le derme, les fibres รฉlastiques et conjonctives apparaissent tassรฉes, des thromboses artรฉrielles et veineuses multiples avec nรฉcrose fibrinoide des parois.
– la peau surplombant la zone de nรฉcrose prรฉsente frรฉquemment de nombreuses bulles superficielles pouvant contenir des micro-organismes. Lโ€™รฉpiderme au niveau des berges est intact.
– le muscle est en principe respectรฉ.

Autres examens complรฉmentaires

Ils sont destinรฉs ร  apprรฉcier la gravitรฉ du syndrome septique et son retentissement sur les grandes fonctions vitales ร  savoir :
– une hyperleucocytose ;
– une anรฉmie ;
– une hypoalbuminรฉmie ;
– une augmentation de lโ€™urรฉe ;
– une hypocalcรฉmie ;
– une coagulation intravasculaire dissรฉminรฉe ;
– lโ€™รฉlรฉvation des CPK qui tรฉmoigne dโ€™une myonรฉcrose associรฉe.

Diagnostic diffรฉrentiel

On distingue :
๏ƒ˜ se qui ressemble ร  la DHBN et FN mais qui ne l est pas avec :
– Lโ€™รฉrysipรจle
Le problรจme majeur est de diffรฉrentier la fasciite nรฉcrosante en dรฉbut dโ€™รฉvolution de lโ€™รฉrysipรจle car les signes initiaux peuvent รชtre proches.
Cependant, si lโ€™รฉrysipรจle comporte parfois des phlyctรจnes ou un dรฉ collement post-bulleux, on ne trouve ni de modification de couleur de la peau ni dโ€™hypoesthรฉsie, ni de crรฉpitation. La douleur est intense et diminue rapidement sous traitement. Le syndrome toxique est en principe plus discret.
Lโ€™รฉvolution de lโ€™รฉrysipรจle est trรจs rapidement favorable sous perfusion de pรฉnicilline, avec retour ร  une apyrexie stable.
๏ƒ˜ les DHBN et FN non bactรฉriennes avec :
– Les gangrรจnes ischรฉmiques
Elles sont secondaires ร  u ne insuffisance artรฉrielle dรฉcompensรฉe. Elles sont rattachables ร  leur cause et imposent une stratรฉgie thรฉrapeutique visant avant tout ร  รฉvaluer la faisabilitรฉ dโ€™une repermรฉabilisation artรฉrielle plus quโ€™ร  une excision des nรฉcroses cutanรฉes.
Elles peuvent en outre รชtre surinfectรฉes, rendant le problรจme plus complexe.
– Le pyoderma gangrenosum
Il sโ€™agit dโ€™une entitรฉ dโ€™รฉtiologie mal connue. Elle survient souvent en post-opรฉratoire, et se prรฉsente sous forme dโ€™ulcรฉrations.
Lโ€™ulcรจre est rond, bien limitรฉ, ร  bord circulaire nettement saillant, formant un bourrelet inflammatoire rouge violacรฉ, lisse et dur. Il contient des cloques purulentes. Le versant externe rejoint la peau saine en pente douce, tandis que le versant interne surplombe lโ€™ulcรฉration de faรงon abrupte. Lโ€™รฉvolution est centrifuge.
Le syndrome infectieux est absent. La guรฉrison est de rรจgle aprรจs traitement รฉtiologique et une รฉventuelle corticothรฉrapie gรฉnรฉrale. Cependant les rรฉcidives sont frรฉquentes.
– Les lymphomes cutanรฉs
Le lymphome cutanรฉ est une tumeur maligne rare constituรฉe par la prolifรฉration de cellules tumorales malignes rรฉsidant dans la peau. Leur diagnostic est fait par l’examen au microscope d’un fragments de tissu. Il pe ut donner ร  d es stades avancรฉs des lรฉsions de nรฉcrose semblables ร  celles observรฉes lors des DHBN et FN.

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Table des matiรจres

INTRODUCTION
HISTORIQUE
PREMIERE PARTIE : RAPPELS
I- ANATOMO-HISTOLOGIE ET ROLE DE LA PEAU
1. Anatomo-histologie
1.1. Structure de la peau
1.2. Vascularisation de la peau
1.3. Innervation de la peau
2. Fonctions de la peau
II. ANATOMO-PATHOLOGIE
III. BACTERIOLOGIE
IV- PHYSIOPATHOLOGIE
V. DIAGNOSTIC
1. Diagnostic positif
2. Diagnostic diffรฉrentiel
2.1. Lโ€™รฉrysipรจle
2.2. Les gangrรจnes ischรฉmiques
2.3. Le pyoderma gangrenosum
2.4. La gangrรจne synergistique post opรฉratoire
3. Diagnostic รฉtiologique
3.1.Terrain et facteurs de risques
3.2. Porte dโ€™entrรฉe
3.3 Germes-
VI. EVOLUTION-PRONOSTIC
VII- TRAITEMENT
1. But
2. Moyens
2.1. Moyens mรฉdicaux
2.1.1. Mesures de rรฉanimation et de nutrition
2.1.2. Traitement antibiotique
2.1.3. Oxygรฉnothรฉrapie hyperbare (OHB)
2.2. Moyens chirurgicaux
2.3. Autres moyens
3. Indications
Deuxiรจme partie : Notre travail
I. MATERIEL Dโ€™ETUDE
1. Cadre dโ€™รฉtude
2. Type dโ€™รฉtude
II. METHODE DE Lโ€™ETUDE
III. RESULTATS
IV. DISCUSSION
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES

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