Analyse géo-historique du paysage des rivières urbaines

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Analyse géo-historique du paysage des rivières urbaines

Ville d’Angers

Angers est la ville centrale de la deuxième plus grande métropole des Pays de la Loire. Connue sous le nom de pôle végétal de France (PAVIE; RIVIÈRE, 2011), elle a une superficie de 42,7 km² et une population de 154.508 habitants avec une densité de population de 3581 hab/km², selon le dernier recensement réalisé par l’Institut national de statistiques et d’études économiques en 2018, (INSEE, 2020). Elle présente un climat océanique Cfb selon le classement de Köppen (MBALLO et al, 2021). La densité hydrographique est une caractéristique marquante du territoire, avec l’une des plus grandes zones de confluence de la France avec l’ensemble des basses vallées angevine (Scot, 2016), classé comme zone humide d’importance internationale (RAMSAR).
La ville est coupée en grande partie par la rivière la Maine et ses affluents, qui débouchent sur la Loire au sud du territoire (Figure 1). À l’intérieur de la zone urbaine, sur sa rive droite, la Maine présente des affluents avec des paysages naturels préservés et sur la rive gauche un réseau de drainage plus dense, qui est actuellement en grande partie enterré (CARCAUD et al. 2019). Les rivières traversent la ville et la zone urbaine de la ville (délimitation avec la ligne noire (Figure 1c)) occupe déjà pratiquement tout le territoire municipal.
Angers a été élue par l’Union Nationale des Entreprises de Paysage (UNEP) comme la ville la plus verte de France en 2014 et à nouveau en 2020, et aussi celle qui a investi le plus dans l’infrastructure verte et bleue, étant considérée comme une ville attrayante où il fait « bon vivre » (PALMARÈS, 2020).

Délimitation de la zone d’étude autour des cours d´eau urbains

Cette étude a analysé les zones autour des grands axes fluviaux qui traversent la commune, ainsi que les petits cours d’eau composant le réseau de drainage de la ville, en tenant compte de la zone inondable figurant dans le plan de prévention des risques d’inondation (PPRI, 2015) et le cadre immédiat des petits cours d’eau identifiés sur les cartes les plus grandes, dont certains ne sont pas enregistrés dans la cartographie des cours d’eau du Maine et Loire.
Ont été considérés les cours d’eau qui avaient un lit naturel à leur origine, même lorsqu’ils étaient fortement anthropisés, comme les cours d’eau canalisés, qui ont perdu leurs caractéristiques naturelles et devenant sans vie (IG, 2015).
Ainsi, un « buffer » de 100 m a été fait dans le cadre de la zone inondable englobant les rives de la Maine et de 30 m pour des cours d’eau plus petits (jusqu’à 10 m de large) (Figure 2).
La méthodologie utilisée visait à analyser comment les processus naturels, socioculturels, économiques et leurs interactions se matérialisent dans le paysage des rivières urbaines et comment les politiques publiques y contribuent.
Pour cette analyse, trois niveaux ont été combinés : a) analyse géo-historique du paysage. Pour cette analyse, on a utilisé le modèle Patchwork Quilt (PAIVA et al, 2021), développé pour des études de jardins historiques et qui intègre des analyses dans différents domaines pour structurer l’histoire et l’évolution d’un espace ; b) Analyse quantitative de l’utilisation et de l’occupation des sols autour des rivières ; c) Analyse quali-quantitative (questionnaires et entretiens) (Figure 3).

Analyse géo-historique

Afin de comprendre l’évolution du paysage des rivières dans ses dimensions naturelles, sociales et économiques, une compilation d’informations géo-historiques sur l’origine et la formation de la ville a été réalisée à travers la bibliographie, les iconographies, les cartes topographiques de 1776 à 2016 et les photographies aériennes de 1958 à 2016. Les photographies aériennes ont été les dernières images publiquement accessibles pour l’analyse, disponibles sur le site de l’Institut national d’information géographique et forestière (IGN) et les Archives municipales d’Angers.
Les cartes et photographies aériennes ont été géoréférencées et analysées à l’aide du logiciel QGIS 3.6.(QGIS, 2017) suivant la normalisation cartographique proposée par Menezes (2016). Par la suite, ils ont été analysés en observant les changements survenus dans le paysage des cours d’eau à différentes époques, ainsi que leurs usages, en tenant compte des principales transformations du paysage selon les bibliographies (ANNEXE A).
Dans ce travail ont été considérées les dimensions sociales comme les fonctions impliquant le bien-être social, comme les loisirs, le divertissement, la culture ; les dimensions naturelles impliquant le maintien des cours d’eau et des berges naturelles des rivières avec des espèces animales et végétales et la dimension économique impliquant des activités commerciales, l’industrie et la mise en valeur des terres adjacentes aux rivières. Les trois dimensions sont en fait interconnectées, mais dans certaines situations, une certaine prédominance peut se produire.

Analyse quantitative de l’utilisation et de l’occupation des sols autour des rivières urbaines (Plui)

Les données relatives à l’utilisation et à l’occupation des sols ont été mises à disposition pour analyse sur le site web (IGN), les plus récentes se rapportant à l’année 2016. Ceux-ci ont été actualisés par vectorisation manuelle en 2019 et regroupés en quatre catégories:
a) Zones imperméables – zones construites et/ou pavé de surfaces non perméables;
b) Végétation herbacée et autres zones perméables – formations herbacées (pelouses et pâturages, terres arables, rosiers); formations ligneuses telles que vignes et lianes (plantes grimpantes) et zones contenant des matériaux minéraux (pierre-terre, voies ferrées, sentiers, parterres;
c) Végétation arborée (espaces boisés) – formations arboricoles à dominante de feuillus ou de conifères à surface variable (de bois à forêt). Formations arbustives et subarbustives;
d) Surface d’eau – surface occupée par des rivières, lacs, barrages, etc.
Le pourcentage de chaque classe dans la zone d’étude a été calculé initialement. Les composants végétaux présents dans le plan de zonage et prévus dans les documents d’urbanisme (Tableau 1) ont ensuite été identifiés. Toujours en ce qui concerne le plan de zonage, les utilisations multifonctionnelles autour des rivières ont été mises en évidence sur la base du cadastre des espaces verts fourni par le service des parcs et jardins d’Angers.

Analyse quali-quantitative – questionnaires et entretiens

Pour comprendre les actions et les perceptions des différents acteurs concernant les cours d’eau urbains d’Angers, des questionnaires ont été appliqués à la population et des entretiens ont eu lieu  avec les principaux acteurs du territoire.

Questionnaires directifs

La population et les utilisateurs de la ville ont fait partie d’une recherche d’opinion développée à partir de l’application de questionnaires composés de questions directes et descriptives. Au total, 22 questions ont été posées, portant sur des caractéristiques socio-économiques (âge, sexe, revenu et scolarité), des opinions sur les cours d’eau et leurs paysages tenant compte de la qualité et de l’accessibilité, la valorisation de la présence de l’eau dans les espaces verts publics, utilisations souhaitées pour ces espaces, ainsi que leur relation avec les espaces verts et le contact avec les jardins potagers et d´ornement.
Le questionnaire a été appliqué auprès de 433 habitants d’Angers et de la région métropolitaine. L’application du questionnaire a eu lieu entre octobre 2019 et juillet 2020, en utilisant la plateforme Google Forms (APPENDICE B). Tous les répondants étaient volontaires et anonymes, l’échantillonnage non probabiliste étant adopté pour l’accessibilité, où les éléments sont sélectionnés pour leur convenance, pour leur volontariat ou encore accidentellement selon la méthodologie indiquée par AAKER et al. (2001). Cet échantillon a retenu une marge d’erreur de 5 %, avec un degré de confiance de 95 %.
Des statistiques descriptives de la distribution de fréquence (MARTINS; THEÓPHILO, 2009), compilées et analysées par le logiciel R (R CORE TEAM, 2016) ont été utilisées pour l’analyse des données.

Entretiens semi-directifs

Des entretiens semi-directifs explorent des faits dont le discours est le vecteur principal. Ces faits concernent les systèmes de représentation (pensées construites) et les pratiques sociales (faits vécus) (BLANCHET; GOTMAN, 1992).
Les entretiens ont été semi-directifs (APPENDICE C) et menés avec différents acteurs du territoire. Parmi ceux-ci, des représentants de la société civile comme de l’Association de la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) ( Représentant 1), du secteur privé avec la Chambre du Commerce et de l’industrie (CCI) (Représentant 2), du secteur public comme la Direction des parcs et jardins d’Angers (Représentant 3) et le vice-président chargée de la transition écologique et des déplacements (Représentant 4). Ces acteurs ont été interviewés au moyen de questions préétablies, et adaptées selon le profil/performance de l’acteur interviewé, qui visaient à identifier leur perception de ce que sont les IVBs, quelles sont leurs principales composantes, les principales difficultés rencontrées pour la mise en œuvre de l´IVB, si la législation est claire à ce sujet et ce qui a été fait pour améliorer cette question.
Les entretiens ont été enregistrés sur l’autorisation des acteurs et les extraits qui répondent aux questions de la recherche ont été transcrits et utilisés dans la discussion.

RÉSULTATS ET DISCUSSION

Analyse géo-historique du paysage des rivières urbaines

Origine de la ville et situation des rivières avant la révolution Française

Tout au long de l’histoire, les premières civilisations se sont établies le long des rivières et de leurs rives, comme dans le cas du Tigre et de l’Euphrate, en Mésopotamie, la vallée des Indus au Pakistan, la vallée du Nil en Egypte, ou des exemples plus récents comme la Tamise à Londres, la Seine à Paris, le Tibre à Rome (NOVARESIO, 2006; COY, 2013; BAPTISTA; CARDOSO 2013; CARCAUD et al, 2019).
La ville d’Angers en France s’est également installée à la confluence des rivières Mayenne, Sarthe, Loir et la Loire, en présence d’une formation rocheuse stratégiquement positionnée le long du cours du Maine, qui a favorisé la formation du premier groupement humain durant la période romaine, au Vème siècle (ESNAUT, 2016).
Dans de nombreuses villes romaines, ainsi qu’à Angers, les rivières en plus de répondre aux besoins de base, ont également eu des fonctions culturelles et de loisirs comme pour les cultes religieux (WECH, 2013) et des événements ludiques comme les naumaquias, en plus d’approvisionner des structures comme les chafarizes et les bains publics (CARDOSO et al., 1997; PITHON, 2008; BIQUET, 2016). En outre, les rivières favorisaient l’agriculture par le biais de canaux d’irrigation (DERMODY, 2014).
Depuis la période romaine, les rivières ont commencé à ressentir les impacts de l’urbanisation, qui s’intensifient pendant le Moyen Âge avec les grandes charges sanitaires, les déchets des activités commerciales et manufacturières, la pollution urbaine diffuse, l’occupation des rives, etc. (BAPTISTA; CARDOSO, 2013).
Dans de nombreuses villes médiévales, les petits cours d’eau ont été ensevelis sous les maisons, qui étaient construites très proches les unes des autres, et ainsi ont pratiquement disparu du paysage (COY, 2013), fait également observé dans la ville d’Angers. À cette époque, le paysage de la Maine s’est matérialisé à travers ses fonctions de traversée, défense, pêche, production d’énergie et commerciales, fonctions à caractère plus économique, jusqu’à présent enregistrées sous des noms de rues comme Écorcherie, Poissonnerie, Parcheminerie (CARCAUD et al., 2019).
Dans le cadre de la ville fortifiée, le paysage de la Maine et ses affluents avaient des fonctions naturelles, avec des endroit d’aspect plus sauvage, agricoles, irriguant les vignobles, les pâturages, les jardins potagers et d’ornement des abbayes et les demeures a la campagne (Figure 4).
La ville est restée à l’intérieur des murailles et a conservé les mêmes caractéristiques du XVIe siècle au cours des deux siècles suivants (CARCAUD et al, 2019). Les cours d´eau et leurs berges remplissaient principalement des fonctions d’approvisionnement d’eau, de navigation et de commerce dans les ports, le paysage du pourtour des cours d´eau extérieurs à la ville demeurant plus naturel et agricole dans les plaines d´inondations.

Période post-révolution française, expansion urbaine et fonction économique des rivières

Après la révolution française (1799), la ville s’est élargie au-delà des murs et s’est caractérisée par un fort développement de l’industrie et par la modernisation commune à la plupart des villes françaises. À Angers, la Maine et son environnement constituaient un vecteur économique privilégié, prioritaire pour le développement de la ville (BIQUET, 2016).
De grands travaux d’expansion urbaine et de régularisation des cours d’eau (canalisation et drainage) ont contribué aux fonctions économiques de la Maine et de ses affluents, altérant considérablement son paysage. Les remparts ont été remplacés par des boulevards reliant les deux côtés de la Maine par de nouveaux ponts pour favoriser leur connexion avec la voie ferrée et les ports. Les rives de la Maine ont été canalisées et stabilisées avec des quais pavés (par exemple, Quai René-Bazin et Ligny) et ont également reçu un ensemble de bâtiments, parmi lesquels des hôtels et des maisons commerciales, construits pour répondre aux demandes du commerce et de l’industrie, avec l’arrivée des lignes de train et l’amélioration des routes, ont rapidement remplacé leurs voies navigables (BIQUET, 2016).

Période hygiénique – les sources d’eau potable

Entre 1832 et 1854, Angers ne disposait plus d’eau potable suffisante pour répondre aux besoins de la population, et les épidémies de choléra et de tuberculose ont frappé la ville (BERTOLDI, 2015). Afin d’améliorer les conditions de vie et de logement, la ville s’est modifiée en suivant les principes hygiéniques qui visaient à la construction de systèmes d’aménagement sanitaire et de drainage pluvial afin de contrôler les inondations et les maladies à véhiculation hydrique par l’évacuation rapide des eaux de pluie et des eaux usées (BAPTISTE, CARDOSO, 2013).
Ainsi, de nombreux ruisseaux et sources d´eau d’Angers ont été déviés vers les réseaux pluviaux et remplacés par un réseau de fontaines, en plus de la construction de bains et de blanchisseries publics (Figure 5) (BERTOLDI, 1991; BERTOLDI, 2000; BERTOLDI, 2008; BERTOLDI, 2010; POINTEREAU, 2016).

Révolution industrielle et disparition des canaux et des rivières

Après une grande inondation en 1856, un canal qui détournait une partie du Maine formant l’île de Carmes (canal de Tannerie) a été comblé et remblayé. Des parties de la rive droite ont été remblayées pour créer des places et des quais pavés. Sur la rive gauche, la zone d’inondation a également été remblayée, donnant lieu à de nouveaux quartier portuaires et industriels (Thiers-Boisnet et Luisette), à côté de la gare Saint Serge (CARCAUD et al., 2019).
À la fin du XIXe siècle, la zone urbaine était déjà trois fois plus grande qu’à l’époque médiévale et toutes les rives du Maine étaient englobées par la zone urbaine. À l’époque des soit-disant « rivières industrielles » (FRIOUX, 2010), les cours d’eau urbains des pays dits industrialisés ont été presque systématiquement canalisés et murés pour l’assainissement et la réception des infrastructures routières, ce qui a fait disparaître les rivières du paysage urbain (BERNHARDT; PALMER, 2007; COY, 2013), et donc de l’inconscient collectif.

Mise en valeur des cours d’eau par la construction d’espaces verts et la mise en valeur du paysage

En France, l’architecte paysager Édouard André a formulé en 1879 le « Traité général de la composition des parcs et jardins », où il a écrit sur le rôle important de l’eau dans le choix du lieu et de la composition du paysage dans les parcs et jardins (ANDRÉ, 1879).
À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, les vallées, naturellement fertilisées par le chargement de matière organique pendant les inondations, ils subissent une déprise agricole et de transport fluvial en raison de la modernisation de l’agriculture irriguée et du développement du transport routier (MONTEMBAULT, 2004). En même temps, ils ont commencé à attirer l’attention sur la construction d’espaces verts comme les parcs, les jardins, les cimetières et les promenades publiques (MEHDI, 2012; BODÉNAN, 2013).
Dans le cas des rivières d’Angers ont émergé des espaces verts comme le Jardin des Plantes, le Cimetière de l’Est, la Promenade des Fours à Chaux, la Promenade de la Baumette, le quai de la Savatte, le jardin de la Tour des Anglais, le Square Jeanne D’Arc mais aussi, les sites concernés par la loi de 19301 sur les prairies de Baumette et Etang Saint Nicolas avec son ensemble de parcs, qui sont actuellement protégés (ALM, 2019). Ce phénomène atteste la patrimonialisation des espaces verts à proximité de la Maine et de ses affluents.

Les « Trente Glorieuses » et la nouvelle pression urbaine sur les rivières

Au cours des trente années qui se sont écoulées entre 1945 et 1975, la France a connu une période de forte activité économique, industrielle, connue sous le nom de « Trente Glorieuse ». Des terrains existants sur des zones inondables ont été exploités et des carrières ont été créées pour agrandir de nouveaux quartiers, et la construction de routes reliant le réseau routier au centre-ville, dans une opération appelée « Pénétrante » (Figure 6) (CARCAUD et al., 2019). Le site d’où ont été extraits des granulats dans la vallée de la Maine a donné naissance à un lac qui est ensuite devenu une base de loisirs, aujourd’hui connu sous le nom de Lac Maine (ANGERS, 2020).
Les rivières ont en quelque sorte délimité la croissance urbaine jusqu’au milieu du XIXe siècle. Les avancées technologiques et les principes hygiéniques ont propulsé l’expansion urbaine sur les cours d´eau et les zones inondables, conduisant à la canalisation et au drainage de la Maine et de ses affluents, en même temps que la mise en valeur des vallées pour la mise en place d’espaces verts publics (Figure 6).

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Table des matières

PRIMEIRA PARTE
1 INTRODUÇÃO
2 REFERENCIAL TEÓRICO
2.1 Paisagem: conceito e etimologia da palavra
2.2 Urbanização e suas consequências para os cursos d’água e saúde humana
2.3 Cursos d’água e sua importância para as cidades
2.3.1 Funções ecossistêmicas
2.4 Mudanças climáticas e o agravamento de problemas ambientais urbanos
2.5 Desenvolvimento sustentável e a noção de multifuncionalidade
2.6 Instrumentos legais para o desenvolvimento sustentável da cidade e seus rios
2.7 Infraestrutura Verde e Azul (IVA) e soluções baseadas na natureza
2.7.1 Áreas verdes
2.7.2 Agricultura urbana
2.8 Análise geo-histórica e Sistemas de Informação Geográfica (SIG)
2.9 Analise Quantitativa – Índice de áreas verdes (IAV) e Percentual de Áreas Verdes (PAV)
2.10 Análise quali-quantitativa – questionários e entrevistas
REFERÊNCIAS
SECOND PART – ARTICLES
ARTICLE 1 – TRAJECTOIRE DE MISE EN PAYSAGE ET MULTIFONCTIONALITE AUTOUR DES RIVIERES URBAINES : ANALYSE DE CAS D’ETUDES DE LA VILLE D´ANGERS
1 INTRODUCTION
2 MÉTHODOLOGIE
2.1 Analyse géo-historique du paysage des rivières urbaines
2.1.1 Ville d’Angers
2.1.2 Délimitation de la zone d’étude autour des cours d´eau urbains
2.1.3 Analyse géo-historique
2.2 Analyse quantitative de l’utilisation et de l’occupation des sols autour des rivières urbaines (Plui)
2.3 Analyse quali-quantitative – questionnaires et entretiens
2.3.1 Questionnaires directifs
2.3.2 Entretiens semi-directifs
3 RÉSULTATS ET DISCUSSION
3.1 Analyse géo-historique du paysage des rivières urbaines
3.1.1 Origine de la ville et situation des rivières avant la révolution Française
3.1.2 Période post-révolution française, expansion urbaine et fonction économique des rivières
3.1.3 Période hygiénique – les sources d’eau potable
3.1.4 Révolution industrielle et disparition des canaux et des rivières
3.1.5 Mise en valeur des cours d’eau par la construction d’espaces verts et la mise en valeur du paysage
3.1.6 Les « Trente Glorieuses » et la nouvelle pression urbaine sur les rivières
3.1.7 Développement durable et recherche de revitalisation des cours d’eau
3.2 Analyse quantitative de l’utilisation et de l’occupation des sols autour des rivières urbaines (PLUi)
3.3.1 Questionnaires directifs
3.3.2 Entretiens semi-directifs
4 CONCLUSION
RÉFÉRENCES
APPENDICE A – Corps cartographique et photographie aérienne selon les échelles d’étude
APPENDICE B – Questionnaire diffusé parmi les habitants et utilisateurs des cours d’eau
APPENDICE C – Guide d’entretiens avec des acteurs publics et privés
ARTICLE 2 – TRAJECTORY OF THE LANDSCAPE AND FUNCTIONALITY OF URBAN WATERCOURSES OF LAVRAS – MG
1 INTRODUCTION
2 METHODOLOGY
2.1 The city of Lavras
2.2 Delimitation of the study zone around urban watercourses
2.3 Geo-historical analysis of the landscape around watercourses
2.4 Quantitative analysis of land use and occupation around watercourses
2.5 Quali-quantitative analysis – questionnaire and interviews
2.5.1 Structured questionnaires
2.5.2 Semi-structured interviews
3 RESULTS AND DISCUSSION
3.1 Geo-historical analysis of the landscape around watercourses
3.1.1 City origins
3.1.2 Mine depletion and agricultural development
3.1.3 Urban expansion and the canalization of watercourses
3.1.4 New Forest Code and conflicts of use and occupation around watercourses
3.1.5 Urban Land Regularization and the multifunctionality proposal
3.2 Quantitative analysis of land use and occupation around watercourses and springs (Master Plan)
3.3 Quali-quantitative analysis – structured questionnaires and semi-structured interviews
3.3.1 Questionnaires
3.3.2 Interviews
4 CONCLUSIONS
REFERENCES

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