Analyse des modalités de livraison liées à l’évolution technologique du e-commerce
Introduction
Le marché économique actuel est en pleine transformation. Ceci est d’autant plus vrai que le World Économique Forum – WEF – a annoncé que la 4ème révolution industrielle était lancée (RTS Info, 2016).L’inter-connectivité permise par l’outil internet transforme nos activités quotidiennes les rendant plus rapides, plus sûres et même moins chères.Tout cela semble possible. Mais à quel prix?
Contexte
Le commerce électronique, communément appelé e-commerce, est la méthode de consommation complémentaire qui devient de plus en plus indispensable pour les entreprises qui veulent rester compétitives sur le marché des biens et services. En Suisse, le marché représente environ 8 milliard de francs par année (Bilan 2017). Selon l’Office Fédéral de la Statistique – OFS, une large majorité de la population suisse âgée de 16 à 74 ans – 62% pour être précis – a effectué au moins un achat sur internet en un trimestre durant l’année 2015 (OFS 2016). Ce chiffre est bien plus élevé que la moyenne européenne qui se situe à 43% (OFS 2016). Au niveau des dépenses annuelles des ménages privés, le e-commerce affiche une croissance continue depuis 20041 (OFS 2016).
En parallèle, afin de profiter au maximum des apports d’internet, le domaine de la logistique cherche à se réinventer. Il est sans cesse à la recherche d’innovations permettant de soutenir la hausse de la demande tout en restant compétitif au niveau tarifaire. Le défi est de taille. En 2016, ce n’est pas moins de 122 millions de colis que la Poste suisse a distribués. Cela représente une augmentation de 6% par rapport à 2015 (Bilan 2017). Confrontés à une clientèle de plus en plus exigeante, les acteurs cherchent activement des solutions d’avenir. Certaines sont déjà en cours de déploiement sur le marché. Ces solutions se veulent plus pratiques pour le client et visent notamment à maximiser l’efficacité des tournées réalisées par les livreurs. Depuis la libéralisation du marché suisse des colis en 2004, la concurrence acharnée sur ce créneau avec des acteurs internationaux, à l’instar de DHL, incite désormais la Poste à plus d’inventivité et de dynamisme pour garder et consolider ses parts de marché. Les autres acteurs, plus familiers de la concurrence internationale, se livrent une course à l’innovation sans précédent. Autant sur les procédés que sur les dispositifs autonomes, les projets fusent.
Enjeux
Face à cette évolution rapide, il est important de prendre un peu de recul et de réfléchir au futur paysage de la logistique et plus particulièrement celui de la livraison au client. Il est important de se rappeler que la dernière étape de la chaîne logistique revient en moyenne à environ 20% du coût total du transport (GUILLEMINOT, Adrien, 2015). Ceci s’explique par la baisse de la densification des colis au fur et à mesure que l’on s’approche du client final. Et pourtant, c’est cette dernière prestation qui offre une des plus grandes valeurs ajoutées au client final sur l’ensemble de l’acheminement du produit. En étant schématique, on peut avancer en vertu de la loi de Pareto que 20% du coût d’acheminement entraîne 80% de la satisfaction du client. C’est donc une étape fondamentale du succès d’un commerce.
Ensuite, bien que les mentalités évoluent sur les principes du développement durable, cet aspect ne fait, hélas, pas forcément partie des besoins primaires des clients et des commerçants. Conscient qu’une modification du comportement doit être stimulée par des avantages liés aux attentes, l’analyse des parties prenantes permettra de savoir comment influencer ces dernières. Cette étape préliminaire est importante, car ce sont des critères fondamentaux de réussite. Si la solution ne comble pas leurs besoins et leurs attentes, elle ne sera tout simplement pas adoptée. En poursuivant l’étude par le biais d’une analyse multicritères sur les parties prenantes, il sera possible de faire ressortir les différents éléments de comparaison des diverses modalités de livraison. Afin de gagner en précision, l’analyse sera divisée en deux parties. On aura d’une part les moyens d’acheminement et de l’autre les points de dépôt. Un bilan des éléments durables, viables et non durables sera réalisé. Suite à cela, il sera possible de les intégrer pour déterminer les solutions capables de répondre au mieux aux besoins et attentes de toutes les parties. Pour la dernière phase, les modalités de livraison seront synthétisées par le biais d’analyses SWOT – Strengths, Weaknesses, Opportunities, Threats en français Forces, Faiblesses, Opportunités, Menaces. Celles-ci permettront de faire une synthèse de chacune des modalités afin de mettre en évidence les éléments utiles pour la mise en place des recommandations. Complété par une exploration des impacts sur le marché de l’emploi, il sera alors possible de donner des perspectives de développement dans le but d’inscrire une conscience économique responsable de cette transformation dans le modèle social et économique actuel.
Légal
Commençons par le domaine de la législation. En Suisse et au sein de l’Union Européenne – UE –, le transport de colis était historiquement le monopole de la Poste nationale. Suite au mouvement de la libéralisation des économies en Europe, le marché des colis s’est retrouvé impacté. En Suisse, la tranche des colis de plus de 50 grammes a été libéralisée en 2004 (REICHMANN, Christoph, VATERLAUS, Stephan, ZENHÄUSERN, Patrick, ETTEN Melanie et STROBEL, Christian, 2007). Certaines associations telles que KEP&Mail continuent à militer pour que les règles de concurrence s’assouplissent encore davantage. Le marché du courrier par exemple reste encore un monopole de la Poste. Toutefois, des dispositions sur la libéralisation totale du marché figurent déjà dans la Loi sur la poste – LPO (Message relatif à la loi sur la poste (LPO) du 20 mai 2009). Le domaine légal comporte des enjeux qui peuvent aboutir à une redistribution des cartes. Il est donc important d’anticiper ces changements afin d’en bénéficier plutôt que d’en pâtir.
Technologique
L’avancée technologique est le principal facteur de la transformation des secteurs d’activités primaire, secondaire ou tertiaire. Dans le domaine de la logistique, c’est l’échange de données au niveau de la télécommunication qui est porteur d’un grand bouleversement des méthodes. Le fait de savoir où se trouve le client à un instant précis permet de repenser le modèle qui était jusqu’à aujourd’hui statique vers un modèle mobile ou dynamique. L’innovation permet également de faire les choses différemment et menace les méthodes traditionnelles. Il est donc important de prendre en considération les risques liés à l’obsolescence. De plus, les enjeux de fiabilité sont de nos jours un sujet délicat. Imaginons qu’une nouvelle solution sécurisée devienne du jour au lendemain perméable. Ceci créerait une obsolescence prématurée du nouvel outil ce qui représente un risque majeur d’influence externe
Economique et politique
Il y a naturellement le volet économique qui guide le marché. L’essor du e-commerce couplé à la quatrième révolution industrielle de l’inter-connectivité donne de l’élan au développement de la logistique. Le seul frein économique constaté actuellement est lié au marché de l’emploi. Les nouvelles technologies demandent des compétences nouvelles et spécialisées alors que le marché de l’emploi dispose, le plus souvent, d’une main d’œuvre non qualifiée ou pourvue d’autres qualifications. Ici aussi la politique à son influence, principalement par le biais de la fiscalité. Pour accompagner la transition du modèle économique, de nouvelles politiques fiscales sont en cours d’étude-, notamment au niveau de la fiscalisation des robots. L’introduction de tels changements est à suivre avec une vive attention. Il peut y avoir un risque de se trouver à contre-courant. Une telle situation pourrait s’avérer fatale pour la survie d’une entreprise.
Socio-culturel
L’équilibre entre vie privée et vie professionnelle est un facteur qui évolue constamment. La barrière a eu tendance à se rigidifier durant les années précédentes. Aujourd’hui, on observe une évolution inverse. Le travail s’invite à la maison au travers du home office et l’inverse tente de se produire au travers des réceptions de colis par exemple. L’augmentation de l’emploi à temps partiel non-contraint est également un indicateur de la volonté de l’employé à vouloir plus de liberté et de flexibilité dans son rapport au travail.
La démographie et la mutation des modes de consommation sont les sources des changements qui influencent de manière fondamentale les décisions des entreprises. Pour fidéliser une clientèle sur le long terme, il faut également s’intéresser à son évolution dans le temps. En partant du constat que les clients consultent les informations des produits sur internet avant de les acheter en magasin, les commerçants se sont posé la question de savoir pourquoi ils ne les vendraient pas directement depuis leurs sites internet. Le vieillissement constant de la population a conduit les entreprises innovantes à cibler le segment du 3ème âge. Il est donc vital pour chaque entreprise d’être attentive aux changements socio-culturels. Cela permet d’ouvrir de nouvelles opportunités en créant de nouveaux marchés. Actuellement, la tendance est au « consommé local ». Estce un paradoxe avec le e-commerce ou y a-t-il là aussi des opportunités à saisir ?
L’autre candidat viable est le véhicule de livraison standard, soit la camionnette à moteur thermique. Elle partage les qualités du véhicule électrique lourd en termes de capacité de chargement et d’impact social mais avec le bruit moteur et la pollution de l’air à ses dépens. Ce type de véhicule reste viable car il permet d’assurer la livraison à moyen terme pendant la période de transition. Il peut suppléer les véhicules électriques en termes d’autonomie et ne présente pas d’anomalies liées aux variations des températures extérieures. Dans tous les cas, il est bien clair que ce n’est pas une solution d’avenir. Il lui reste en revanche encore quelques années avant de tirer définitivement sa révérence du paysage de la livraison en Suisse.
Point de dépôt
Les BAL connectées sont intéressantes sur plusieurs aspects. Non seulement elles se retrouvent en haut du classement de l’analyse multicritères, mais elles permettent également d’atteindre un plus large spectre d’intervenants. Certes, elles visent directement les clients et les entreprises de livraison qui font partie des groupes cibles. Mais elles impliquent également le citoyen. Ce dernier, par son statut de bénéficiaire final, n’a pas d’intérêt marqué sur l’évolution des modalités de livraison. C’est le client qui a un tel intérêt. Par contre, il a une grande d’influence surtout dans un système de démocratie directe suisse. Il est également un client potentiel. Cette solution est durable et peut permettre d’accroitre substantiellement la clientèle du e-commerce. La livraison dans le coffre de la voiture présente également plusieurs ses qualités. Elle permet d’atteindre le client là où il se trouve sans solliciter sa présence. Aussi bonne que les BAL connectées lors de l’analyse comparative, cette méthode s’adresse aux clients, aux e-commerçants et aux transporteurs, tous faisant partie du groupe cible d’influence. La livraison dans le coffre de la voiture ajoute un autre acteur : le constructeur automobile. Les constructeurs automobiles seront sollicités comme partie prenante pour intégrer les éléments techniques permettant aux livreurs de localiser la voiture et d’accéder au coffre. Cependant, cette implication est marginale. C’est un partenariat permettant au constructeur d’offrir une option complémentaire au véhicule.
Les modalités de livraison
A l’issu de ce bilan intermédiaire, Il est maintenant possible de réaliser un regroupement en modalités. La liste ci-après récapitule les modalités de livraisons en fonction des choix réalisées précédemment. Pour chacune des catégories, le point de collecte est implicitement lié à un moyen d’acheminement par véhicule électrique, parce qu’il ressort des analyses précédentes qu’il est le moyen de livraison les plus durable. Il faut noter ici que l’ensemble des modalités listées sont compatibles avec tous les moyens d’acheminement retenus à l’exception de la dernière catégorie créé spécifiquement pour la livraison autonome. Cette catégorie est d’ailleurs présente grâce à son moyen d’acheminement unique et avantageux pour les parties prenantes les plus influentes du marché.
Forces
Les boîtes aux lettres connectées ont l’avantage d’être sécurisées contre le vol de colis et sont disponibles en tout temps parce qu’elles sont directement installées dans le hall d’immeuble. Dans le contexte social et économique actuel, il est important de favoriser des solutions capables d’être compatibles avec les ressources humaines. Le fait de solliciter le passage d’un livreur permet de sauvegarder les emplois des livreurs. Leur confort est également amélioré : colis acheminé égal colis livré. On peut également citer une meilleure compétitivité du marché par l’augmentation de la productivité des livraisons. Par conséquent, cette modalité offre un excellent compromis entre la productivité et le maintien des emplois. Les livreurs continuent à se déplacer jusqu’au domicile. Le client n’a plus besoin de se déplacer d’où une économise considérable d’émission de CO2. Le bénéfice est double parce qu’on augmente la satisfaction client tout en réduisant l’impact négatif sur l’environnement.
Faiblesses
Cette solution présente également quelques écueils. La première est qu’il faut remplacer les boîtes aux lettres actuelles. Cela a naturellement un coût. Au surplus, comme l’adaptation est à l’échelle d’un immeuble, il faut convaincre tous les locataires ou lescopropriétaires du bien-fondé de ce changement avec une augmentation des charges à la clé. Comme les habitudes acquises offrent un certain confort, l’être humain est souvent rétif aux changements.
Opportunités
Afin de pallier les faiblesses de cette solution, une première opportunité serait d’investir prioritairement dans les immeubles en construction. Dans ce cas, il n’y a rien à remplacer. La nouveauté du dispositif s’inscrirait directement dans la nouveauté du bâtiment. On peut même argumenter que proposer prioritairement ce dispositif dans les zones où les offices de poste ferment permet de palier directement à un manque. Pour un promoteur immobilier, ce dispositif est clairement un argument qui doit lui permettre de booster ses locations voire ses ventes.
Menaces
Le risque des nouvelles technologies est souvent lié aux pannes de fonctionnement rendant l’usage impossible dans un laps de temps. Toute nouvelle technologie comporte des péchés de jeunesse qui sont éliminés au fur et à mesure de son développement. Ceci a tendance à rendre les utilisateurs potentiels réticents. De plus, dans un contexte économique en forte accélération, les nouveautés ont tendance à se retrouver rapidement obsolètes. Ce risque est à prendre en compte au niveau des protocoles de sécurité informatique.
Forces
Sécurisé et disponible à n’importe quelle heure, l’immense avantage d’une livraison autonome est sa réactivité. Un humain pourrait tout aussi être réactif, mais cela implique de mobiliser une main d’œuvre à attendre qu’une demande se manifeste. Or, il est inconcevable qu’une entreprise doive supporter les lourdes charges liées à l’inactivité de ses employés pendant les phases d’attente. Il faut ensuite compter avec les horaires de travail de l’entreprise et les jours fermés. Le robot ne connaît aucune de ces contraintes. Cette modalité permet de livrer rapidement et directement le client à l’endroit où il se trouve.
Faiblesses
Cela dit, plusieurs contraintes limitent encore l’utilisation de ces dispositifs. Les intempéries sont la première. En cas d’enneigement, le robot risque de s’enliser. Les capacités techniques limitent le volume et le poids du colis. Le rayon d’action est aussi limité parce que l’autonomie des robots est faible. Enfin, les dispositifs qui se développent sont généralement programmés pour un seul client par trajet.
Opportunités
Il y a deux axes de développement clairement identifiés. Le premier est le redimensionnement des robots. Ils doivent prendre plus de colis par trajet. Dans ce cas, les livreurs humains et la livraison standard risquent de disparaître. Surtout si Google concrétise son projet du camion livreur autonome avec des compartiments en parcel lockers. La seconde option consiste à utiliser cette modalité en complément du véhicule de livraison pour optimiser la tournée du livreur. Etant limité par son faible rayon d’action, le livreur peut assigner au robot des tâches spécifiques en cours de tournée.
Menaces
La grande menace ici est l’emploi des livreurs. Si leur travail est fait par des robots alors ils seront tout simplement remerciés ou leur nombre réduit drastiquement. Ensuite, comme tout outil technologique, le robot peut être sujet à des failles de sécurité et des pannes de fonctionnement. On ose imaginer les conséquences si le robot emprunte les voies de circulation…
Impacts sur le marché de l’emploi
Economiquement, la différence de coût entre un livreur et un robot est structurelle. L’employé est payé au temps de travail alors que le robot se paie à l’achat et à l’entretien. Le temps d’inactivité du robot ne représente pas une perte d’argent contrairement à un employé à disposition. Il n’y a pas non plus de majoration liée aux heures supplémentaires. Pas de congé maladie ou maternité pour le robot. Disponible 24 heures et 7 jours, sauf maintenance. Il y a donc une forte incitation pour les entreprises de livraison à développer l’option des robots livreurs. Cependant, le remplacement des livreurs par des robots créerait un déséquilibre sur le marché de l’emploi. Il est préférable pour l’Etat et les citoyens que le remplacement total ne se produise pas. Cependant, plutôt que de freiner une avancée technologique qui peut présenter quelques bénéfices, il est préférable de trouver les moyens de l’intégrer dans le circuit économique.
Conclusion
Solution les plus durables Solutions complémentaires Cette étude a pour objectif de déterminer les modalités de livraison les plus durables face au développement technologique du e-commerce et à l’augmentation du nombre de colis associés-. Les résultats montrent clairement que les boîtes aux lettres connectées, la livraison en coffre de voiture et les livraisons traditionnelles moyennant quelques ajustements sont les modalités les plus durables. La livraison traditionnelle a en outre l’avantage de sauvegarder l’emploi et la cohésion sociale au sein de notre économie. La livraison traditionnelle peut se moderniser moyennant quelques modifications dans les procédures et l’adoption des outils technologiques modernes. La prise en compte des disponibilités horaires du client et la livraison en soirée sont des exemples d’améliorations qui permettraient de répondre à leurs attentes. Les boîtes aux lettre connectées améliorent le confort des livreurs. Ils peuvent toujours poser le colis sans se soucier des aléas du client. Ce dernier a ses attentes entièrement satisfaites. Il sait qu’il trouvera son colis à son habitation comme si c’était un courrier ordinaire. Cette modalité a l’avantage d’apporter de bonnes réponses aux insuffisances de la livraison traditionnelle. Mais pour cela, elle a un coût. La BAL connectée nécessite un investissement. Le coffre de voiture est un nouveau moyen d’atteindre directement le client. Ce système permet notamment d’accroitre les besoins en main d’œuvre. Généralement spacieux, le coffre offre un emplacement suffisant pour les colis. Cette modalité ne nécessite pas la création de dispositif supplémentaire. Le système de livraison en coffre de voiture peut également être complémentaire de la BAL connectée lorsque le volume de contenance de cette dernière est insuffisant. En fait, ce qui rend le coffre de voiture et les BAL connectées aussi durables, c’est leur polyvalence. Non seulement ils offrent des prestations nouvelles et uniques, mais ils sont également à même d’apporter des solutions aux défauts d’autres modalités. Pour la livraison traditionnelle à domicile, ils permettent la livraison en tout temps. Pour la livraison Analyse des modalités de livraison liées à l’évolution technologique du e-commerceau travail, elles se font en toute discrétion sans encombrer le service réception de l’entreprise.
|
Table des matières
1. Introduction
1.1 Contexte
1.2 Enjeux
1.3 Objectifs du travail
2. Limites et méthodologie de l’étude
2.1 Définition et périmètre de recherche
2.2 Méthode de recherche
3. Analyse des enjeux et impacts
3.1 Analyse PESTEL
3.1.1 Légal
3.1.2 Technologique
3.1.3 Environnemental
3.1.4 Economique et politique
3.1.5 Socio-culturel
3.2 Analyse des parties prenantes
3.2.1 Les groupes de parties prenantes
3.2.2 Les parties prenantes clés
3.2.3 Attentes & Besoins
3.3 Analyse multicritères
3.3.1 Moyen d’acheminement
3.3.1.1 Durable
3.3.1.2 Viable
3.3.1.3 Non durable
3.3.2 Point de dépôt
3.3.2.1 Durable
3.3.2.2 Viable
3.3.2.3 Non durable
3.4 Bilan
3.4.1 Moyen d’acheminement
3.4.2 Point de dépôt
3.4.3 Les modalités de livraison
4. Synthèse & Recommandations
4.1 Boîtes aux lettres connectées
4.1.1 Forces
4.1.2 Faiblesses
4.1.3 Opportunités
4.1.4 Menaces
4.1.5 Impacts sur le marché de l’emploi
4.1.6 Recommandations
4.2 Coffre de voiture
4.2.1 Forces
4.2.2 Faiblesses
4.2.3 Opportunités
4.2.4 Menaces
4.2.5 Impacts sur le marché de l’emploi
4.2.6 Recommandations
4.3 Livraisons traditionnelles
4.3.1 Forces
4.3.2 Faiblesses
4.3.3 Menaces
4.3.4 Opportunités
4.3.5 Impacts sur le marché de l’emploi
4.3.6 Recommandations
4.4 Au travail
4.4.1 Forces
4.4.2 Faiblesses
4.4.3 Menaces
4.4.4 Opportunités
4.4.5 Impacts sur le marché de l’emploi
4.4.6 Recommandations
4.5 Parcel locker
4.5.1 Forces
4.5.2 Faiblesses
4.5.3 Opportunités
4.5.4 Menaces
4.5.5 Impacts sur le marché de l’emploi
4.5.6 Recommandations
4.6 Livraison autonome
4.6.1 Forces
4.6.2 Faiblesses
4.6.3 Opportunités
4.6.4 Menaces
4.6.5 Impacts sur le marché de l’emploi
4.6.6 Recommandations
5. Conclusion
Télécharger le rapport complet