ANALYSE DES IMPACTS D’UNE INSTITUTION DE MICROCREDIT

Les différents projets existants

Les actions du CDA peuvent être réparties en trois secteurs :
– Le secteur développement ;
– Le secteur social ;
– Le secteur économique.
Le secteur développement Le secteur développement est regroupe trois volets :
– Le volet réinsertion socio-économique ;
– Le volet éducation ;
– Le volet communautaire.
¾ Volet réinsertion socio-économique
Le volet réinsertion socio-économique regroupe le projet de Réinsertion et Formation Professionnelle (RFP) et le Projet d’Appui aux Petits Métiers (PAPM). Les axes stratégiques de ce volet sont :
– La priorisation du savoir-faire par la formation professionnelle.
– Le renforcement des collaborations en vue du placement en entreprise‚ dans le secteur formel.
– Le développement des Activités Génératrices de Revenus (AGR) par le micro crédit pour les familles du quartier
Chaque projet a ses objectifs :
• Le projet Réinsertion et Formation Professionnelle (RFP)
Objectifs :
– Dispenser une formation professionnalisante permettant d’avoir un métier ou une activité indépendante
– Prévenir la délinquance juvénile par l’insertion socio-économique. Formations dispensées : Menuiserie, Mécanique auto, ouvrage métallique, Coupe et couture, broderie, vannerie, gens de maison
Public concerné : Tous les habitants de la zone d’intervention : adultes, jeunes déscolarisés
• Le Projet d’Appui aux Petits Métiers
Objectifs :
– Rendre productives les personnes jusque là dépendantes, amener le public cible à quitter l’assistanat en devenant responsables et économiquement indépendants.
– Réduire la pauvreté
Projets financés : déblocage de fonds pour création de micro entreprise etc.
Public visé : habitants de la zone d’intervention
¾ Le volet éducation
Le volet éducation regroupe le projet Scolarisation et le projet Garderie. Ce volet a comme axes stratégiques de :
– Faciliter la scolarisation des enfants.
– Renforcer la situation économique des parents ou tuteurs de l’enfant en vue d’une prise en charge graduelle des frais de scolarité Chaque projet a ses objectif :
Projet Scolarisation
Objectifs :
– Appuyer la scolarisation des enfants issus des familles en situation difficile.
– Accompagner le redressement économique des familles bénéficiaires pour une prise en charge graduelle de la scolarisation de leurs enfants.
Actions financées : 800 enfants scolarisés, prise en charge de l’écolage par le CDA.
Public visé : enfants de la zone d’intervention du CDA
Projet Garderie
Objectifs :
– Permettre aux parents de faire face à leurs obligations professionnelles
– Subvenir aux besoins des enfants nécessiteux et délaissés
Action : Accueil chaque matin de 50 enfants du quartier
Public visé : Habitants de la zone d’intervention
¾ Volet Appui aux Initiatives communautaires
Le volet Appui aux Initiatives communautaires regroupe le Projet d’Appui aux Initiatives Communautaires (PAIC) et le projet Centre d’Animation Communautaire (CAC). Ce volet a comme axes stratégiques de :
– Renforcer le savoir faire des communautés de base en matière de : animation, montage suivi évaluation de projet, négociation de partenariat et de gestion de la localité.
– Appuyer les initiatives locales en vue de transférer aux communautés le développement de leur secteur.
– Entreprendre des activités d’IEC et de CCC (Communications par le Changement de Comportement) en vue de la renaissance de la citoyenneté.
– Former et appuyer les communautés pour le lobbying et la plaidoirie.
Les objectifs pour chaque projet sont :
Le Projet d’Appui aux Initiatives Communautaires (PAIC)
Objectifs :
– Développer des actions de solidarité,
– Appuyer la structuration des groupements de base pour la définition des projets de développement.
– Appuyer les initiatives locales
Exemples d’actions entreprises : curage des canaux ; assainissements du quartier ; projet retour en campagne etc.
Public visé : habitants de la zone d’intervention
Le projet Centre d’Animation Communautaire (CAC)
Objectifs globaux :
– Développer l’être humain par des actions de communication pour le changement de comportement.
– Faciliter l’accès aux informations à la population de la zone, en particulier aux étudiants.
Actions spécifiques :
– Sensibiliser les gens du quartier vers une prise de conscience de leur autopromotion et de leur citoyenneté (animation et sensibilisation, éducation civique)
– Faciliter l’accès aux infrastructures existantes à la population et aux groupements des jeunes
– Donner des divertissements aux jeunes du quartier (organisation de tournois sportifs, de manifestations socio – culturelles pour les diverses associations)
– Motiver les jeunes sur le développement du quartier (implication des jeunes pour les travaux communautaires)
– Développer les activités des vacances (organisation de colonies de vacances)
Public visé : habitants de la zone d’intervention Voilà en ce qui concerne le secteur développement. Passons maintenant au secteur social.
Le secteur social Le secteur social regroupe les services sociaux et les services médiaux. Ce secteur a comme axes stratégiques de :
– Plaidoyer auprès des autorités compétentes en vue d’une reprise en main graduelle par les autorités compétentes des interventions sociales.
– Développer le partenariat local et International
– Développer progressivement la participation de la population.
• Les Services Sociaux :
Objectifs :
– Promouvoir le bien être social
– Venir en aide aux familles dans des situations d’urgence
Actions menées : Visite à domicile pour relever les problématiques sociales rencontrées par les gens du quartier en vue d’entamer un vrai travail d’accompagnement social.
Public visé : Habitants de la zone d’intervention
• Les services médicaux :
LE DISPENSAIRE
Objectif :
– Promouvoir la santé communautaire
Objectifs spécifiques :
– Intensifier la prévention et améliorer les prestations offertes (renforcement des techniques de sensibilisation auprès de la population)
– Développer les activités curatives (assurer les consultations médicales et les soins)
Résultat attendu : – Couverture maximale de la zone en matière de santé préventive et curative.
Actions menées auprès de la mère et de l’enfant :
Au niveau individuel :
– Vaccination de 1682 enfants et 522 femmes enceintes de la zone d’intervention
– 152 consultations pré et post-natales par an.
– Déparasitage de 1650 enfants par an.
– Distribution de vitamine A pour 992 enfants et mères post -accouchées
– Dépistage de la malnutrition de 1022 enfants de 0 à 5 ans et référence aux centres appropriés
– Formation en santé reproductive des adolescents
– Planification familiale
– Visite médicale de 350 bénéficiaires (enfants de la garderie, du centre de récupération nutritionnelle, des jeunes de la formation professionnelle…)
Au niveau communautaire :
– Animation et sensibilisation pour la communication sur le changement de comportement
– Surveillance des maladies épidémiques
La médecine curative :
– Consultations médicales : 3498 malades en 2005
– Soins
– Hospitalisations
– Références en des centres spécialisés
– Intervention sur terrain en cas de cataclysmes naturels (cyclone, inondation….)
LA DENTISTERIE
Objectifs : Elle est rattachée au Dispensaire et a pour but de préserver la santé bucco-dentaire de la population dans le domaine préventif et curatif. Les principales activités sont :
– Les examens bucco-dentaires afin de détecter les éventuelles affections buccodentaires et d’établir un plan de traitements appropriés
– Les préventions bucco-dentaires basées sur des séances de formation surtout au niveau des responsables des écoles primaires de la zone d’intervention, des animations préventives au niveau de 1677 écoliers et 2000 brosses à dents distribuées en 2004 lors d’une opération.
– Les thérapeutiques bucco-dentaires primaires dont 85 dents soignées, 322 dents extraites, 11 détartrages en 2005.
– Dans un contexte défavorisé, le coût de la prise en charge des maladies est trop élevé pour la population même si la médecine préventive est une des priorités de la politique de santé.
LE CRENA (Centre de Récupération Nutritionnelle)
Objectif global : Réduire la malnutrition infantile chez les enfants de 6 mois à 5 ans Objectifs spécifiques :
– Développer des activités spécifiques en matière de nutrition (renforcement de l’éducation nutritionnelle pour les parents ; collaboration avec les acteurs locaux ; visites d’autres centres pour des échanges d’expériences)
– Traiter les enfants malnutris « modérés » (distribution de repas améliorés, suivi de l’évolution des cas admis)
– Responsabiliser et éduquer les parents pour prévenir la malnutrition (hygiène, préparation culinaire, vaccination)
Résultats attendus :
– Taux de guérison 100%, moins de 2% de rechute, 3 à 6 membres d’acteurs locaux opérationnels.
– 400 parents sensibilisés par an sur le problème de malnutrition.
Voilà en ce qui concerne le secteur social. Toutefois, il faut noter que plusieurs problèmes sont fréquemment rencontrés en matières de santé comme :
– L’insalubrité de l’environnement, la précarité des logements, les promiscuités liées à la période saisonnière entraînent des infections respiratoires aigues (IRA) à 63% des cas traités.
– L’hyperthermie (suspicion de paludisme) représente 24% des cas, maladies endémiques aggravées par la présence des marécages.
– Les maladies diarrhéiques avec 13% des cas suivis par les parasitoses intestinales provoquées par le manque d’hygiène.
– Les dermatoses cutanées dues également au manque d’hygiène.
– La malnutrition chez les enfants en bas âge causée surtout par l’insuffisance alimentaire ou l’ignorance de la mère sur la diététique infantile
– Les maladies chroniques telles que la tuberculose sont en recrudescence actuellement.
– Les maladies psychosomatiques comme l’hypertension artérielle, les maladies neuropsychiatriques, les ulcères gastriques sont aussi fréquents.
– L’insuffisance et la mauvaise alimentation ont des conséquences néfastes sur la dentition.
– La négligence et l’ignorance de l’hygiène bucco-dentaire ainsi que le faible pouvoir d’achat freinent l’accès à la dentisterie
– L’insuffisance des matériels d’extraction et la vétusté de l’appareil dentaire a une répercussion sur la qualité de service.
Pour la bonne marche de ces activités sus-cités, le CDA entretient des relations avec plusieurs partenaires aussi bien nationaux qu’internationaux.

Les partenaires associatifs historiques du CDA

                  Développement et Paix du CANADA qui fournit des aides financières depuis 1987 pour le développement économique et social (investissement en matière d’équipement pour les ateliers de production et formation des jeunes : atelier de bois, atelier de fer et la décortiquerie) Misereor (Allemagne) qui s’occupe d’appui financier pour le fonctionnement administratif depuis 1989. Secours Catholique (France) qui s’occupe de l’appui financier pour la réinsertion des jeunes menacés par la délinquance depuis 1987. Enfance et Partage (France) qui assure l’appui financier à la scolarisation des enfants issus des familles nécessiteuses depuis 1985. Comité Catholique Contre la Faim et pour le Développement (CCFD – France) qui assure l’appui financier pour la promotion des micros entreprises de quartier depuis 1989.

Définition de la pauvreté

             Selon le PNUD « la pauvreté n’est pas un phénomène unidimensionnel car un manque de revenus pouvant être résolu de façon sectorielle ». De même, la Banque mondiale affirme que la pauvreté a des « dimensions multiples », de « nombreuses facettes » et qu’elle est « la résultante de processus économiques, politiques et sociaux interagissant entre eux dans des sens qui exacerbent l’état d’indigence dans lequel vivent les personnes pauvres » Selon les normes internationales, ceux qu’on peut appeler « pauvres » : ce sont des individus dont les ressources sont insuffisantes et ne peuvent disposer d’une ration alimentaire conforme à la norme internationale : 213322 calories par jour, et des éléments non alimentaires indispensables. Donc, la pauvreté est caractérisée par la faiblesse du revenu et par l’incapacité de satisfaire des besoins essentiels. En se référant à cette dernière définition, le seuil de pauvreté a été évalué à 338.272 Ariary par an par individu en 2006. Donc en 2006 un individu est classé comme pauvre si le revenu par an est moins de 338.272 Ariary.  On remarque à partir de ce tableau que le seuil de pauvreté n’a cessé d’augmenter de 2001 à 2006. En 2002 le seuil de pauvreté a presque doublé par rapport à celui du 2001, cela est dû en grande partie par la crise que Madagascar a traversé lors de l’élection présidentielle de la fin d’année 2001.

La phase de développement et de croissance (depuis 1996)

                  La phase de développement et de croissance est surtout marquée : d’abord par l’extension géographique et la consolidation des réseaux préexistants, ensuite par la création de nouvelles Structures de la Microfinance, puis par la mise en place de la Cellule de Coordination Nationale de la Microfinance (CNMF) et l’élaboration du Document de Stratégie Nationale de Microfinance (DSNMF) et enfin par la nouvelle loi relative à l’activité et au contrôle des Institutions de Microfinance.
¾ L’extension géographique et la consolidation des réseaux préexistants : Avant, la majorité des acteurs en microfinance n’intervient que dans les zones rurales comme le BTM par exemple. A partir de cette phase, plusieurs opérateurs commencent à s’étendre aussi bien dans les zones rurales que dans les zones urbaines.
– OTIV/DID : extension des activités avec l’ouverture de nouvelles caisses dans la zone périurbaine de la capitale Antananarivo et du Nord Est (SAVA) en 1996, puis dans la zone urbaine d’Antananarivo en 2000.
– CECAM/FERT : une première extension du réseau a eu lieu à partir de 1996 dans les régions d’Amoron’i Mania, Vakinankaratra et Ivon’Imerina sur les Hautes Terres Centrales. Une deuxième extension en 1998 a permis au réseau de s’installer dans le Moyen Ouest (Bongolava et Itasy), le Nord Ouest (Sofia) et sur la Côte Ouest (Menabe).
– TIAVO/IRAM : redynamisation du réseau avec l’arrivée du nouvel opérateur IRAM en 1999 et extension du réseau dans le Sud Est à Manakara et Farafangana.
– AECA/CIDR : extension du Réseau AECA à Ambato Boeni en 1998.
– EAM, Projet appuyé par PNUD/BIT depuis 1990, s’est transformé en Association en 1996. A partir de 1999, EAM s’est érigée en Institution de Microfinance Non Mutualiste.
¾ La création de nouvelles Structures de la Microfinance : Il s’agit principalement des Pré-Institutions de Microfinance qui se sont créées mais qui n’appartiennent à aucune des deux catégories d’IMF et qui ne sont pas encore suffisamment structurées en tant que IMFs.
¾ La mise en place de la Cellule de Coordination Nationale de la Microfinance (CNMF) et l’élaboration du Document de Stratégie Nationale de Microfinance (DSNMF) : De concert avec tous les acteurs et intervenants du secteur, la Cellule de Coordination Nationale de Microfinance (Entité rattachée au Ministère de l’Économie, des Finances et du Budget, mise en place en décembre 2003) a validé lors d’un atelier en Avril 2004 le Document de Stratégie Nationale de Microfinance à Madagascar. Ce document a eu l’approbation du Gouvernement en juin 2004 et contient les dispositifs permettant l’atteinte des objectifs suivants25 :
– la réduction de la pauvreté : amélioration des revenus des populations pauvres, développement des activités génératrices de revenus, amélioration de la sécurité alimentaire ;
– l’atteinte des OMD ;
– le développement et la consolidation des MPE ;
– la promotion du secteur privé.
En vue d’atteindre ces objectifs, trois axes stratégiques ont été définis :
Axe Stratégique 1 : Amélioration du cadre économique, légal et réglementaire pour un développement harmonieux et sécurisé du secteur
Axe Stratégique 2 : Offre viable et pérenne de produits et services adaptés, diversifiés et en augmentation, notamment dans les zones non encore couvertes par des IMF professionnelles
Axe Stratégique 3 : Organisation du cadre institutionnel de manière à permettre une bonne structuration du secteur, une coordination efficace du secteur et une conduite efficiente de la Stratégie Nationale de Microfinance
¾ La nouvelle loi relative à l’activité et au contrôle des Institutions de Microfinance Il s’agit de la loi N° 2005-016 du 29 septembre 2005 dont le décret d’application N°2007-012 fixant les formes juridiques des IMF (institutions de microfinance mutualistes et institutions de microfinance non mutualistes) et les modalités de leur immatriculation au Registre du Commerce des Sociétés et le décret d’application N° 2007-013 portant fixation du capital minimum des établissements de crédit et de la valeur nominale des titres de participation. La loi N° 2005-016 du 29 septembre 2005 contient les quatre grandes lignes ci après :
– Définition de l’activité de microfinance
– Classification en trois niveaux des Institutions de Microfinance
– Méthodes de suivi et de contrôle adaptées
– Dispositions diverses

Définition de l’impact

                L’impact c’est « l’ensemble de répercussions de quelque chose sur autre chose ». Au sens large, l’analyse d’impact désigne tous les moyens utilisés pour déterminer si une intervention a aboutit au résultat recherché. En microfinance29, l’analyse d’impact est « le processus de détermination des effets de la microfinance en tant qu’intervention ». D’après cette définition, les impacts étudiés dépendent des résultats recherchés c’est-à-dire de l’atteinte ou non des objectifs imposés par l’institution. Par exemple, si l’objectif est de promouvoir la participation des femmes à un projet, alors l’étude serait axée sur le taux de participation féminine. Selon Geneviève NGUYEN 30 « L’analyse de l’impact est définie comme l’analyse des changements induits par les interactions entre IMF et son environnement socioéconomique » La détermination de l’impact consiste essentiellement à établir de façon crédible le lien entre le programme et les changements observés ou rapportés, autrement dit que la participation au programme favorise les changements. Pour autant, cela n’implique pas que ces changements sont systématiquement liés à la participation au programme mais Il s’agit plutôt de montrer que la probabilité que les changements observés soient liés à la participation au programme est élevée.

Les effets attendus des microcrédits en général

               Trois points peuvent être généralement pris en compte dans l’analyse d’impact des activités de microfinance :
• Économique
• Social
• Personnel ou psychologique.
Chacun d’eux se caractérise par des degrés d’impact différents ainsi que des cibles distincts.
Impact économique Il se situe au niveau même de l’économie du pays. Une institution de microfinance importante peut espérer comme impact la croissance économique de toute une région ou d’un secteur tout entier. Une institution de microfinance peut alors rechercher :
– des résultats au niveau de l’entreprise ; l’impact direct visé consistera dans ce cas en la croissance ou la mutation de l’entreprise.
– une hausse nette des revenus dans un secteur particulier de l’économie informelle
– une augmentation de l’ensemble des richesses de la communauté ou du ménage
– un impact positif en termes de revenus
Impact Social Une institution de microfinance peut chercher des impacts sociaux. Un programme de microfinance ciblant les mères par exemple peut rechercher à améliorer l’alimentation ou l’éducation des enfants
Impact personnel ou psychologique La microfinance a un impact sur l’estime que l’emprunteur a de lui-même. Cet impact vient en complément aux effets du renforcement de la position sociale de la population cible. Lorsque la modification est positive, elle peut ouvrir la voie à d’autres changements. Une personne qui a confiance en elle sera prête à prendre des risques nouveaux, par exemple, la création ou le développement d’une entreprise.

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Table des matières

REMERCIEMENTS
LISTE DES ABREVIATIONS
LISTE DES FIGURES
LISTE DES TABLEAUX
MÉTHODOLOGIE
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I : GENERALITES
I.1. PRÉSENTATION GÉNÉRALE DU CDA
I.1.1. Localisation géographique de la zone d’intervention
I.1.2. Historique
I.1.3. Structure de gestion
I.1.4. Les différents projets existants
I.1.5. Les partenaires du CDA
I.1.6. Financement et transparence
I.1.7. Actions mises en place et réalisations
I.2. QUELQUES NOTIONS SUR LA MICROFINANCE
I.2.1. La microfinance
I.2.2. Microfinance et lutte contre la pauvreté
I.3. LA MICROFINANCE À MADAGASCAR
I.3.1. Historique de la Microfinance à Madagascar
I.3.2. Les institutions de microfinance à Madagascar
I.3.3. Quelques chiffres sur l’évolution des activités des institutions de microfinance
PARTIE II : IMPACTS DU MICROCREDIT (CAS DU PAPM)
II.1. PRÉSENTATION DU PAPM
II.1.1. Situation dans laquelle s’inscrit le projet
II.1.2. Historique du projet
II.1.3. Objectifs du projet
II.1.4. Partenaires du projet
II.1.5. Activités
II.2. NOTION THÉORIQUE SUR L’IMPACT
II.2.1. Définition de l’impact
II.2.2. Les indicateurs
II.2.3. Les effets attendus des microcrédits en général
II.2.4. Niveau d’impact
II.2.5. Microcrédits et externalité négative
II.2.6. Approche méthodologique de l’analyse d’impact
II.3. LES IMPACTS SOCIO-ÉCONOMIQUES DU PAPM
II.3.1. Présentation de la méthodologie
II.3.2. Analyses et interprétations
II.3.3. Recommandations
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES
RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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