Soutenance mémoire
Actuellement, nombreux pays en voie de développement cherchent à stabiliser leur économie en s’accrochant à cet espoir ultime de bénéficier des relations et des échanges réalisés avec des pays de grande puissance comme les pays de l’Union Européenne, les États Unis ou la Chine. La mondialisation est surtout marquée par de nombreux échanges notamment les échanges économiques, culturels, financiers et technologiques. L’ouverture du marché international profite aux pays riches qu’au pays pauvres notamment par le tissage de lien donnant naissance à de nombreux partenariats inter-pays. Or, ce profit n’est pas balancé entre les deux acteurs économiques se trouvant à deux échelles différentes et très éloignées. Le marché international note particulièrement l’exploitation des pays sous-développés par les pays florissants qui sont davantage bénéficiaires.
Cadre théorique
Afin d’approfondir notre étude, nous étalerons dans cette section quelques théories relatives à nos variables et précisément à notre thème de mémoire. Les aspects théoriques nous permettent d’exposer des notions de base pour une meilleure compréhension de cet ouvrage.
Etats financiers
Les théories correspondantes aux fruits de la comptabilité à savoir les états financiers seront présentés dans cette subdivision. En quelques mots, ces derniers sont les produits finis directs de la fonction comptable. L’établissement des états financiers n’est certes facile, il s’agit d’une longue procédure à suivre. Tout d’abord, nous parlerons de l’établissement des états financiers pour de plus amples discernement ensuite nous verrons ce qu’est l’analyse financière proprement dite.
Etablissement des états financiers
Les états financiers sont un ensemble de documents qui synthétisent la situation de l’entreprise. Cette partie représentant l’établissement des états financiers est composé de notre apport personnel suite aux réalités rencontrées. Les états financiers sont au nombre de cinq, nous distinguons le bilan, le compte de résultat, le tableau des flux de trésorerie, le tableau de variation des capitaux propres et les annexes . En effet, la connaissance du fonctionnement de ces comptes facilite l’interprétation des résultats quant à la condition financière de l’entreprise.
Les tâches du comptable sont compilées en trois étapes sans considération des tâches administratives. D’abord, nous allons expliquer en quelques lignes la première étape. Il s’agit de la saisie des écritures comptables c’est-à-dire l’enregistrement des opérations dans le journal du logiciel comptable utilisé par la société. Le grand livre répertorie chaque opération que l’entreprise exerce tout au long de l’année. Ensuite, la seconde étape est la préparation à l’établissement proprement dit des états financiers. Il consiste à s’assurer que les comptes imputés soient exacts par rapport aux opérations effectuées et régler tous les comptes d’attente. Le comptable doit finir l’exercice par la saisie des différentes modifications, les lettrages, les rapprochements bancaires, les rapprochements des comptes tiers, les écarts de change s’il en existe ainsi que toute éventuelle finalisation avant de passer aux clôtures des comptes. Enfin dans la dernière étape, le comptable passe à l’établissement des états financiers. Pour l’achèvement de cette étape, il faut s’équiper de la balance générale et du tableau d’amortissement de l’entreprise. Les comptes de la classe 1 à la classe 5 et certains éléments du tableau d’amortissement forment les éléments de base du bilan comptable. Les comptes de la classe 6 et de la classe 7 forment les piliers du compte de résultat par nature et par fonction. Les annexes sont principalement les détails de ces deux grands comptes annuels. Pour ce qui concerne le tableau des flux de trésorerie, il se subdivise en trois grandes rubriques à savoir les flux d’investissement, les flux de financement et les flux d’exploitation. Le tableau de variation des capitaux propres indique les opérations en capital et exhibe les comptes de la classe 1 comme le résultat, les réserves et le capital. Les montants à imputer dans ces tableaux et annexes sont accessibles dans la balance générale de l’entreprise.
Présentation du bilan et du compte de résultat
Le bilan et le compte de résultat sont les deux principaux éléments des états financiers concernés par ce mémoire. Ils ont chacun leur précepte et jouent des rôles primordiaux pour une entreprise. D’après Claude ANNIE-DUPLAT , le bilan est un document comptable qui synthétise en groupe de droits et d’engagements le patrimoine accumulé de l’entreprise. Son ouvrage décrit l’établissement des états financiers et arbore la présentation de ces derniers au deuxième chapitre. Le bilan se divise en deux parties, la première est représentée par les actifs qui enregistrent les principaux droits de propriété et de créances de l’entité, la seconde est formée par les apports des associés à savoir les capitaux propres et les passifs. Ces passifs définissent les obligations et les engagements dus par l’entreprise. « Le bilan décrit séparément les éléments actifs et passifs de l’entreprise et fait apparaître de façon distincte les capitaux propres et, le cas échéant, les autres fonds propres. Il présente le patrimoine de l’entreprise à la date de clôture de l’exercice ». C’est également un document comptable de synthèse et un outil d’analyse pour toute organisation souhaitant connaître son état de santé financière.
D’après ce même auteur, le compte de résultat est un document qui enregistre les charges et les produits de l’entreprise au cours d’un exercice comptable. Les charges représentent l’utilisation des fonds par l’entité et les produits affichent l’origine des entrées de fonds. Ce grand compte annuel fait apparaître le résultat global de l’exercice que ce soit un bénéfice ou une perte et le calcul de l’impôt à verser.
Ainsi, le bilan comptable et le compte de résultat forment un tout indissociable pour les états financiers d’une entreprise. Nous pouvons dire que l’un est la contrepartie de l’autre mais également que l’un complète l’autre. En effet, chaque montant affiché au compte de résultat doit avoir sa place au bilan. Néanmoins, le bilan répertorie exactement les biens et les obligations accumulés de la société tandis que le compte de résultat arbore les valeurs des opérations d’un exercice donné c’est-à-dire des montants non cumulés. Nous allons présentement continuer avec l’analyse financière après avoir vu les généralités sur les outils nécessaires.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I : MATERIELS ET METHODES
CHAPITRE I : ZONE D’ETUDE ET CADRE THEORIQUE
Section 1 : Description des zones d’étude
Section 2 : Cadre théorique
CHAPITRE II : METHODES
Section 1 : Méthodes de collecte de données
Section 2 : Méthodes de traitement des données
Section 3 : Méthode d’analyse des données
Section 4 : Chronogramme des activités et limites
PARTIE II : RESULTATS
CHAPITRE I : PRESENTATION DES RESULTATS : CAS SICR S.A
Section 1 : Analyse de l’équilibre financier
Section 2 : Analyse de la pérennité de l’entreprise
CHAPITRE II : PRESENTATION DES RESULTATS : CAS de Landitex
Section 1 : Analyse de l’équilibre financier
Section 2 : Analyse de la pérennité de l’entreprise
CHAPITRE III : PRESENTATION DES RESULTATS : CAS RCT MADAGASCAR SARLU
Section 1 : Analyse de l’équilibre financier
Section 2 : Analyse de la pérennité de l’entreprise
PARTIE III : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
CHAPITRE I : DISCUSSIONS
Section 1 : Discussions relative à l’hypothèse H1
Section 2 : Discussions relatives à l’hypothèse H2
Section 3 : Vérification des hypothèses
CHAPITRE II : RECOMMANDATIONS
Section 1 : Recommandations pour SICR S.A
Section 2 : Recommandations pour Landitex
Section 3 : Recommandations pour RCT Madagascar SARLU
CONCLUSION GENERALE
