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Présentation de l’élevage au Tchad
L’essentiel de l’économie tchadienne repose sur l’agriculture et l’élevage. Ces sous-secteurs économiques sont très variés. Le Tchad pays agro-sylvo-pastoral par excellence, produit en culture sèche plus de 90% de céréales dont le sorgho, le mil, le maïs, le béré béré (sorgho blanc). Le riz et la canne à sucre sont irrigués. Le coton qui est produit en pluvial, est destiné exclusivement à l’exportation. L’élevage concerne les bovins, les ovins, les caprins, les camélins, les équins, les asins et les porcins. Les bovins dominent l’élevage transhumant, à hauteur de 75%.
Les espèces animales domestiques rencontrées
Les bovins. On trouve parmi les bovins les races suivantes :
Le zébu arabe, Le zébu M’Bororo à longues cornes en lyre le zébu Foulbé, le taurin Kouri et le bovin toupouri.
Le cheptel bovin estimé à plus d’un million de têtes (Office national de développement rural, 2002)
Caractéristiques du taurin Kouri.
Le taurin Kouri est de grande taille, vit dans les îles et les rives du lac Tchad. Il se caractérise par d’énormes cornes creuses à l’intérieur qui lui servent de bouées. Ce sont des animaux très aquatiques. Le Kouri est un animal unique en son genre dans le monde. C’est un bon animal de boucherie et laitier. Le poids du mâle adulte oscille autour de 700 à 800 kg. La femelle a 500 à 550 kg (LRVZ, 1996). Le rendement viande varie de 55 à 60% pour les animaux bien engraissés. La production laitière journalière varie de 8 à 10 litres voire plus pour les meilleures laitières (Figure 3).
Les animaux sont conduits de manière traditionnelle. En saison sèche les animaux sont maintenus au bord du Lac Tchad et utilisent les fourrages des plateaux sableux et des rives des polders. Ils associent à cet effet, du fourrage sec et du fourrage vert. En effet, le troupeau transhume au mois de juillet en dehors du lac Tchad, qui correspond à la saison des pluies dans la région, pour revenir au bord et dans les îles au début de la saison sèche, à partir du mois de novembre de chaque année.. En saison des pluies, les animaux sortent du Lac pour pâturer sur les terres sèches afin de fuir les mouches et les insectes piqueurs.
Les ovins et les caprins :
Les moutons et les chèvres du sahel de grande taille (0,80 à 0,90m), les chèvres de petite taille ( 0,50 à 0,6m) robuste résistante à la trypanosomose se trouvent un peu au Centre et en majorité au Sud duTchad.
Les équidés :
Une population asine et chevaline est assez importante et sert de moyens de transport. De nos jours l’âne et le cheval sont utilisés au Sud du Tchad dans l’agriculture attelée ainsi que les bovins (Les bovins sont utilisés dans l’agriculture à raison de deux par charrette)
Les dromadaires :
Les dromadaires présentent sur les ergs sableux au Nord. Dans cette région où l’élevage des dromadaires est très développé, c’est une espèce adaptée au désert.
Les porcins
Le porc local d’origine ibérique a été introduit au Tchad en 1918, par des missionnaires en provenance du Cameroun. Ensuite en 1951, le porc limousin originaire de France fut importé par le service de l’élevage afin d’améliorer le format et le rendement du porc local. Après quatre années d’essais, ce programme a été abandonné au Nord, essentiellement pour des raisons religieuses. En revanche, dans la partie sud majoritairement non musulmane, la diffusion a enregistré un succès relatif jusqu’en 1958. Par la suite, des géniteurs de la race Yorkshire et Berkshire furent importés du Congo.
Les porcins sont issus d’un croisement entre la race locale d’origine ibérique et des animaux de races exotiques. Le Limousin en race pure ou des produits issus du croisement du Limousin avec le porc local ont d’abord été utilisés. Ensuite, les races Yorkshire (ou Large White) et Berkshire ont été importées. L’élevage des porcins est très développé au Tchad, les porcins sont estimés à cent mille têtes (Mopaté, 2001).
Situation zoosanitaire
L’élevage des camélins est très développé au Nord du Tchad Les pathologies des animaux sont signalées par le Réseau d’épidémio–surveillance des maladies au Tchad (Repimat) et les services vétérinaires [7].
Pathologies bovines
La Trypanosomose
La Trypanosomose reste la maladie parasitaire la plus importante de la zone des savanes.. Une prévalence de 3 % a été signalée lors d’une enquête effectuée par CUISANCE en 1995, l’infection à Trypanosoma vivax est dominante. Dans le cadre des surveillances épidémiologique des principales maladies animales, beaucoup de frottis réalisés sur des animaux supposés trypanosomés ont donné pour la plupart des résultats négatifs (Bulletin Repimat, 1996 ; 1997). Des enquêtes récentes ont montré qu’il existe encore des gîtes à glossines. Des investigations entomologiques plus poussées sont encore nécessaires compte tenu des intenses activités et des mouvements de bétail qui se développent dans la zone pétrolière. Les parasitoses gastro-intestinales sont aussi citées ; les parasites fréquemment rencontrés sont les strongles et les coccidies. Les incidences de ces parasitoses et leurs variations saisonnières méritent d’être mieux connues. Pour les maladies transmises par les tiques, comme les piroplasmoses, la zone méridionale constitue une zone de prolifération par excellence. Les animaux des sédentaires et ceux des transhumants s’infestent au début de la saison des pluies.
La peste bovine :
Le Tchad a été déclaré indemne de toute infection bovipestique par la résolution internationale de l’OIE en Mai 2006 (OIE 2006).
Autres pathologies
La dermatophylose, la fièvre aphteuse et les maladies telluriques restent importantes et d’actualité. En ce qui concerne la dermatophilose, des enquêtes ont révélé la présence de plusieurs souches de Dermatophilus congolense et des essais vaccinaux ont été effectués. Les résultats, bien que concluants, n’ont malheureusement pas été suivis d’actions, du fait de l’existence de plusieurs souches dans la zone (Cheneau, 1977 ; Faibra 1989). En attendant, cette maladie engendre chaque année beaucoup de pertes dans le cheptel bovin, avec une incidence très élevée en saison des pluies. L’antibiothérapie est le moyen de lutte utilisé par les éleveurs. La fièvre aphteuse est également signalée, avec des morbidités de 30-50%, une mortalité faible (5 %, variable selon l’âge), une létalité supérieure à 10 %. Les pertes enregistrées concernent la baisse de production de lait (75 %), la diminution de la force de travail (67 %) et la perte des animaux (52 %) (Bulletin Repimat, 2000 ; 2001). Il n’existe pas de mesure officielle de lutte. Le charbon bactéridien, le charbon symptomatique et la pasteurellose sont également signalés, surtout en saison des pluies. La prophylaxie effectuée annuellement contre ces maladies limite fortement la mortalité.
Pathologies des petits ruminants
Chez les petits ruminants, les pathologies les plus signalées sont les phénomènes diarrhéiques associés aux troubles respiratoires ; elles induisent une mortalité assez élevée, surtout en saison de pluies et en période froide. La peste de petits ruminants (PPR) a été diagnostiquée par le réseau d’épidémiosurveillance (Bull. Repimat, 1999 ; 2000) et par des enquêtes ponctuelles (Delafosse, 2000). La PPR est à l’heure actuelle la principale pathologie des petits ruminants de la zone soudanienne. Les informations sur les autres pathologies, pneumopathie et diarrhées, sont peu précises. Il est donc important que des enquêtes soient menées dans ce sens. En matière de parasitoses externes, les tiques dominent, surtout en saison des pluies.
Pathologies aviaires
Les volailles, notamment les poules, contribuent significativement aux revenus des paysans de la zone méridionale du Tchad (Maho, 2000). Mais le développement de l’aviculture est fortement compromis par la maladie de Newcastle. Les enquêtes menées dans le cadre du PRASAC ont montré que la maladie de Newcastle reste la principale contrainte au développement de l’aviculture. Les périodes explosives de cette maladie ont été déterminées et des vaccinations test ont été effectuées. Les résultats sont prometteurs. Les paysans ont trouvé la vaccination très intéressante et une méthode d’approche pour une lutte intégrée efficace est en cours d’élaboration. Par ailleurs, les prélèvements de matières fécales et des sérologies de quelques oiseaux réalisés dans le cadre du PRASAC ont permis de déceler la présence de mycoplasmes aviaires et de quelques parasitoses gastro-intestinales. L’Argas persicus est reconnu deuxième cause de mortalité des volailles, après la maladie de Newcastle [7].
Pathologies porcines
L’élevage porcin est en plein essor dans la zone méridionale. Les principales contraintes signalées sont, entre autres, le manque de maîtrise des techniques d’élevage, surtout en saison de culture, les porcins sont sources des conflits entre éleveurs et agriculteurs du fait des dégâts causés par ces animaux dans les champs. Les pathologies ont été décrites : amaigrissement, diarrhées, (Mopaté, 2000). Sur le plan parasitaire, la cysticercose a été signalée par les acheteurs qui pratiquent un diagnostic de cette maladie par la palpation et la pression linguale. L’importance de cette pathologie peut se justifier par son caractère zoonotique. Les mouvements d’animaux, du Cameroun vers le Tchad doivent être réglementés de concert avec les autorités camerounaises, sur la base des législations sous-régionales (CEBEVIRHA) [25].
Pathologie des dromadaires
Les camélidés en général, le dromadaire en particulier, sont parmi les espèces les moins étudiées. Le dromadaire, après avoir été pratiquement ignoré pendant plusieurs décennies, suscite depuis quelques années l’intérêt des organisations nationales et internationales responsables du développement de l’élevage. La crise de l’énergie a fait redécouvrir l’intérêt du dromadaire pour le transport, la sécheresse a rappelé son adaptation particulière aux milieux difficiles ; les revenus que tirent les populations nomades. Sa production, qu’il s’agisse du lait, de la viande ou des peaux, est un facteur non négligeable [14]. Les problèmes de pathologie constituent une contrainte majeure au développement de l’élevage camelin.
Les helminthoses gastro intestinales
Les maladies parasitaires constituent la dominante pathologique majeure du dromadaire. Contrairement à ce que l’on pourrait attendre, compte tenu de l’environnement, a priori défavorable à leur développement, les helminthes du tractus gastro-intestinal sont très nombreux. La plupart des maladies parasitaires sont communes au dromadaire, au mouton, à la chèvre, voire aux bovins, mais parmi les nématodes, certains apparaissent quasi exclusifs du dromadaire. Les progrès récents des connaissances en parasitologie donnent une explication à la contradiction apparente entre infestation parasitaire du dromadaire et conditions défavorables à cette infestation du fait des températures élevées et d’une humidité insuffisante. Le parasitisme de saison ou de région sèche s’explique en effet par la modification du cycle évolutif des parasites lorsqu’ils ne peuvent pas survivre dans un milieu extérieur hostile. Les larves de strongles ingérées avant le début de la période sèche se mettent en hypobiose, dans les parois du tube digestif, pour ne reprendre leur développement qu’après le retour de conditions climatiques favorables.[14]
La Trypanosomose
Elle constitue une des dominantes pathologiques du dromadaire. Le principal agent causal est le Trypanosoma evansi qui est signalé dans tous les pays d’élevage camelin. La transmission de T.evansi étant assurée par des mouches hématophages, essentiellement des Tabanidés, l’incidence de la Trypanosomose est en corrélation étroite avec les conditions favorables au développement des vecteurs : elle est donc élevée dans les régions marécageuses, le long des rivières, à la fin de la saison des pluies. Dans les zones d’habitat des glossines, la Trypanosomose du dromadaire peut être due secondairement à T.vivax, T.congolense et T.brucei.[14] qui provoquent une maladie aiguë mortelle.
La gale du dromadaire
Elle est provoquée par un acarien, parasite quasi-exclusif du genre Camelus:
Sarcoptes scabiei var. cameli.
Considérée à l’époque des grandes caravanes et des fortes concentrations de dromadaires comme l’affection majeure de cette espèce, est maintenant moins fréquente, les conditions de surpeuplement favorables à la contagion étant plus rarement remplies. La dénutrition et les carences en vitamine A notamment, sont des facteurs favorables au développement de la gale. C’est pourquoi, il est conseillé à titre prophylactique de donner une complémentation alimentaire aux animaux à risque.
Les autres maladies parasitaires
Les coccidioses, sarcosporidiose, toxoplasmose et balanitiose ont un rôle secondaire.
Importance économique de l’élevage au Tchad
Le Tchad est un pays d’élevage où ce secteur a, été largement soutenu par les bailleurs extérieurs au développement. Malgré l’exploitation du pétrole le Tchad demeure tributaire de l’élevage et de l’agriculture. Son impact sur la balance commerciale est important, puisque le bétail sur pied représente, en valeur, une part importante d’exportation.
L’élevage représente 40% du PIB du secteur agricole, 51% des exportations et fait vivre près de 40% de la population, éleveurs mais aussi tous les intervenants le long des filières. En outre l’élevage occupe 80% de la population sahélienne, soit environ 3 millions d’habitants L’immense majorité du cheptel :
5,3 millions bovins, 1 million camélins et 6,6 millions de petits ruminants est élevé suivant des systèmes extensifs mobiles transhumants. Les productions sont commercialisées localement ou exportées sur pied vers le Nigeria, le Cameroun et la République Centre africaine (RCA) pour les bovins et vers la Libye pour les camelin. Le capital cheptel est estimé à environ 1,5 milliard € (982,5 milliards de FCFA) engendrant un flux financier annuel supérieur à 150 millions € [16] (Ministère de l’élevage, 1998)
Les productions animales sont estimées, en 2004 à 92 160 tonnes de viande bovine et 172 800 tonnes de lait de vache, tandis que les importations de lait entier sec se sont élevées à 600 tonnes (FAO, 2005)
L’exportation des bovins à elle seule, a rapportée 134,7 milliards de francs CFA en 2003 avoisinant les recettes du pétrole qui s’élevaient à 135,7 milliards de francs CFA (MINISTERE DE L’ELEVAGE, 2005) [16]. La pêche également joue un rôle non négligeable dans l’économie nationale avec une production de 30 000 à 40 000 tonnes, ce sous-secteur représente 10% du PIB. Ces données montrent l’importance de l’élevage dans la couverture des besoins nutritionnels mais aussi l’intérêt de porter une attention particulière à la commercialisation des bétails et viandes comme source de revenus.
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Table des matières
Introduction:.
Première Partie : Synthèse bibliographique
CHAPITRE I : GENERALITES SUR L’ELEVAGE AU TCHAD
I. Présentation générale de la république du Tchad
I.1. Situation géographique du Tchad
I.2. Le climat
I.3. La pluviométrie
I.4.Hydrographie
I.5 La végétation
I.6. Le relief
I.2. L’élevage au Tchad
I.2.1. Les différentes espèces domestiques
I.2.1.1. Les bovins
I.2.1.1.1. Le Taurin Kouri
I.2.2. Situation zoosanitaire
I.2.2.1. Pathologie bovine
I.2.2.2. Pathologie des petits ruminants
I.2.2.3. Pathologie aviaire
I .2.2.4. Pathologie porcine
I.2.2.5. Pathologie des dromadaires
I.3.Importance économique de l’élevage au Tchad
I.4. Evolution du cheptel au Tchad
I.5. Les institutions de recherches et de développement de l’élevage
I.5.1. Laboratoire de recherches vétérinaires et zootechniques
I.5.2. Pôle régional et de recherche appliquée au développement des savanes en Afrique centrale
I.5.3. Centre national d’appui à la recherche (CNAR)
I.5.4. Direction de l’hydraulique (DH)
I.5.5.Ecole nationale d’agents technique de l’élevage (ENATE)
II.1. La préparation de la viande à l’abattoir
II.1.1. Les abattoirs
II.1.2. Principe et choix de l’emplacement des abattoirs
II.2. Les opérations d’abattage
II.2.1. La réception et l’attente des animaux
II.2.2. L’amenée et la contention
II.2.3. Etourdissement et la saignée
II.2. 4. Habillage, Eviscération et Fente
II.2.4.1. Habillage du gros bétail
II.2.4.2. Eviscération
II.2.4.3. Fente médiale de la carcasse
II.2.5. Finition- Emoussage- douchage
II.2.6. Habillages des petits ruminants
II.3. Les transformations de la viande
II.3.1. La première transformation
II.3.2. La deuxième transformation :
II.3.3. La troisième transformation
II.3.4. La filière viande
II.4. les différentes types de viandes
II.4.1. Les viandes normales
II.4.2. Les viandes sombres
II.4.3. Les viandes acides
II.5. Transport et distribution des viandes
II.5.1. Transport
II.5.2. Distribution
II.6. Caractéristiques organoleptiques
II.6.1. La couleur
II.6.2. La jutosité et la succulence
II.6.3. La sapidité
II.6.4. La flaveur
II.6.5. La tendreté
II.7.1. Importance alimentaire
II.7.2. Importance sanitaire
II.7.2.1. Zoonose alimentaire
II.7.2.1.1. Zoonose infectieuse
II.7.2.2. Zoonose parasitaire
Deuxième partie : Analyse critique et proposition d’amélioration des texte réglementaires.
CHAPITRE I : BASES JURIDIQUES DES TEXTES REGLEMENTAIRES
I.1. La période coloniale
I.1.1. Textes réglementant la surveillance des denrées alimentaires
I.1.1.1. Loi fondamentale du 1er Août 1905
I.1.1.2. Acte législatif du 29 novembre 1957
I.1.1.2.1. Dispositions générales
I.1.1.2.2.Taxes
I.1.1.2.3. Personnel et attributions
I.1.1.2.4. Dispositions relatives à l’abattage et à l’installation des locaux de l’abattoir
I.1.1.2.5. Mesures générales de police
I.1.1.2.5.1. Classement des viandes
I.1.1.2.5.2. Estampillage
I.1.1.2.5.3. Motifs du classement des viandes et motifs de saisie
I.1.1.2.5.4.1. Maigreur
I.1.1.2.5.4.2. La trypanosomose
I.1.1.2.5.4.3. La PPCB
I.1.1.2.5.4.4. La Cysticercose
I.1.1.2.5.4.6. La peste bovine
I.1.1.2.6. Inspection des viandes destinées à être conservées par le froid
I.1.1.2.6.1. Dispositions générales
I.1.1.2.7. Inspection des viandes et des denrées foraines d’origine animale
I.1.1.2.7.1. Dispositions générales
I.2. La période post coloniale
I.2.1. Le contenu des textes législatifs et règlementaires
I.2.1.1.1. Loi
I.2.1.1.2. Les décrets
I.2.1.1.3. Les arrêtés
I.2.2.. Les textes de portée générale
I.2.2.1. Loi fondamentale
I.2.2. Les textes spécifiques
I.2.2.1. Les textes régissant les bétails et les sous produits
I.2.2.1.1. Ordonnance n° 14/63 de 28 Mars 1963
I.2.2.1.2. Ordonnance N° 07 du 7 Juin 1975,
I.2.2.1.3. Ordonnance n°18 du 22 Septembre 1977
I.2.2.1.4. Le Décret n°021 du 31 Janvier 1985
I.2.2.1.5. Arrêté n°041 du 22 Mars 1996. [9
I.2.2.1.6. Décret n ° 656/PR/MEHP du 9 Septembre 1985
I.2.2.1.7. La loi 14/PR/98 du 17 août 1998
I.2.2.1.8. Arrêté interministériel n°003 du 22 Mars 2005
I.2.2.1.9. Loi n° 09/PR/ du 12 Mai 2004
I.2.2.1.10. Arrêté n°15/ME/DSV/05
I.2.2.1.11. Décret n°68/PR/ME/2006 du 12 Janvier 2006
I.2.2.1.12. Règlement n°01/UEAC-CEBEVIRHA -129-CM-07
CHAPITRE II : METHODOLOGIE DU CONTROLE ET DE L’INSPECTION
II.1. Méthodologie du contrôle
II.2. Méthodologie de l’inspection
II.2.1.Cadre général d’une inspection
II.2.2. Structures chargées de l’inspection
II.2.3. But de l’inspection sanitaire et de la salubrité des viandes
II.2.3.1 Inspection anté-mortem
II.2.3.2. Inspection post mortem
II.2.3.3. Modalités et sanctions de l’inspection post-mortem
II.2.3.3.1. modalités de l’inspection post-mortem
II.2.3.3.1. sanction de l’inspection post-mortem
II.3. Lacunes de la législation et de la réglementation de l’inspection des viandes
II.3.2. Lacune portant sur la forme (cadre administratif)
CHAPITRE III : PROPOSITIONS D’AMELIORATION
III.1. Proposition relative à l’inspection des viandes dans les abattoirs
III.1.1. Projet d’arrête relatif aux conditions d’agrément des abattoirs
III.1.2. Projets d’arrêté relatifs à l’inspection, l’estampillage des viandes et devenir des pièces saisies
III.1.3. Projet d’arrêter relatif au commerce du bétail et des denrées alimentaires d’origine animale.
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES
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