ANALYSE CRITIQUE DU SYSTEME PEDAGOGIQUE APPLIQUE A LA FORMATION DES MEM

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

Evolution des soins infirmiers

Les soins infirmiers se sont développés non seulement à l’Hôpital et à la maison comme autrefois mais aussi à l’école, sur les lieux de travail et de loisirs. Quelque soit le secteur d’activité où il travaille, le paramédical doit remplir sa fonction de « soignant, de gestionnaire et d’enseig nant » ; c’est-à-dire qu’il doit analyser, planifier et exécuter les soins infirmiers.

Catégorie des soins infirmiers

Selon les circonstances, les moyens, l’aptitude d’exécution, les actes à réaliser par les paramédicaux sont catégorisés en roist niveaux, à savoir :
· Les soins de base.
· Les soins éducatifs et relationnels.
· Les soins techniques.

Les soins de base

Ce sont les soins des actes réalisés sans l’utilisation d’outils, ni de machine quelconque mais seulement de comportements acquis au cours de la formation. Ils visent envers la ou les personnes à qui l’infirmier rend service, à :
· L’hygiène corporelle.
· La sécurité et le confort.
· La locomotion.
· L’alimentation.
· L’élimination des déchets.

L’hygiène corporelle

Si le patient présente un état de dépendance c’està–dire s’il y a un certain degré d’immobilité, le paramédical doit l’aider totalement ou partiellement selon son état, à faire sa toilette, le rasage, les soins de bouche, etc.

La sécurité et le confort

Comme dans tous les lieux, l’homme a besoin de sécurité de confort, même à l’Hôpital ou dans un les services de santé. Pourles hospitalisés, l’infirmier doit porter l’attention sur l’habillement, la prévention d’escarre, l’accompagnement aux examens médicaux, le système de protection (barrière de lit)

La locomotion 

Dans le service où il travaille, le paramédical est chargé de la mise en fauteuil, de l’aide au déplacement des malades en cas de nécessité.

L’alimentation

Dans les salles, chambres d’hospitalisation ou à domicile, la surveillance de la manière, de la qualité et de la quantité de l’alimentation est parmi les tâches d’un infirmier. Le cas échéant, il aide totalement ou partiellement le patient à s’alimenter.

Le service infirmier au niveau intermédiaire

La présence du service infirmier est effective dans :
· les bureaux des Directions Régionales de la Santé et du Planning Familial (DRS/PF).
· les bureaux des Services de Santé de District (SSD).

Le service infirmier au niveau local

Placé sous l’autorité du directeur d’établissement,le surveillant général des soins intervient en tant qu’expert paramédical au sein de l’équipe de direction. Son rôle vise à donner au personnel paramédical de l’établissement la possibilité d’exercer sa profession dans les meilleures conditions afin d’obtenir la plus grande efficacité.
Avec les membres de l’équipe soignante des différents services, le surveillant général des soins a pour missions spécifiques :
· de définir les objectifs de soins par service, en cohérence avec les buts de l’établissement .
· d’organiser le travail de manière à ce que chacun soit responsable non d’une série de tâches comme la réfection des lits, les pansements, les injections mais d’un groupe de personnes depuis l’identification des besoins en santé des patients jusqu’à l’évaluation du résultat obtenu individuellement .
· de faire adopter une méthode de travail : dossier des soins, plan des soins.
· d’élaborer des critères de qualité de ces soins .
· de représenter le personnel paramédical et faire connaître la raison d’être de la pratique infirmière à l’Hôpital et hors de l’Hôpital .
· d’établir les rapports d’activités du service infirmier, qui seront compilés avec ceux de tous les services de l’établissement .
· de promouvoir et de participer à la formation et au perfectionnement du personnel des soins .
· de développer les actions de prévention et d’éducation au sein de l’Hôpital .
· de faciliter la recherche centrée sur les soins infirmiers et leur évolution.

Aptitudes physiques 

Un paramédical doit avoir une bonne santé physique, les activités dans les services exigent parfois un travail parfois fatiguant. Ceux qui sont appelés l’exercer doivent jouir d’une santé excellent et être exempte de toute tare physique (la visite médicale au début de la formation est obligatoire).

Aptitudes intellectuelles 

Le paramédical doit non seulement être capable de c omprendre les connaissances acquises lors  de la formation mais d’en assurer l’application. Il doit pouvoir exécuter un travail difficile qui exige beaucoup d’intelligence, du bon sens et de la maturité d’esprit afin de prendre les responsabilités qu’exige la situation.
Pour cela il doit s’efforcer à améliorer :
· La mémoire qu’il faut développer par une attention soutenue et par la prise de notes .
· L’esprit d’observation qui permet de déterminer les tâches et les obligations ainsi que d’assumer les responsabilités y afférentes .
· L’initiative qu’il prend dans les situations imprévues .
· Le tact : témoin de l’intelligence. Il faut trouver le geste qu’il faut et prononcer la parole qui convient.
· La discrétion : indispensable pour le respect du secret professionnel qui est une des obligations professionnelles les plus importantes.
· La capacité de raisonnement et d’analyse .
· L’esprit curieux .
· L’intérêt pour les sciences .
· La capacité d’adaptation (aux cas urgents, difficiles, émouvants, …)

Aptitudes manuelles 

Habileté, adresse, précision .

Capacité en communication 

Capacité d’expression, sens des relations humaines, maîtrise de techniques de communication interpersonnelle.
En un mot, les manipulateurs en électroradiologie médicale (MEM) sont des agents paramédicaux. Ainsi, ils sont tenus de savoir réaliser les soins fondamentaux, dits de base ; de maîtriser la façon de se communiquer opportunément et confortablement. Et ce, en plus des soins radiologiques qui sont proprement les leurs.
En tant que professionnels, une éthique et une déontologie es obligent à posséder quelques qualités porales et aptitudes se basant sur la volonté et la capacité de service public en matière de santé.
Tout cela forme un ensemble de savoir, savoir-faire, savoir-être acquis au cours de leur formation et promus tout au long de leur vie professionnelle.

Les différents types d’objectifs pédagogiques

Classiquement, ces objectifs sont classés en objectifs de :
· « savoir » ou objectifs d’apport de connaissances.
· « savoir faire » ou objectifs d’apport de techniqu es.
· « savoir être : référence comportementale à la mis e en œuvre des savoirs et savoir faire.

Les auxiliaires ou aides pédagogiques

Pour faciliter la communication entre l’émetteur (le formateur) et le récepteur (les apprenants), le premier fait souvent appel à des aides ou auxiliaires plus ou moins sophistiquées.
L’utilité de ces auxiliaires repose sur des faits d’observation courante que des chercheurs américains ont essayés de chiffrer. Ces mesures sont discutables, certes, mais intéressantes :
D’après eux, « l’homme retient :
-10% de ce qu’il lit.
-20% de ce qu’il entend.
-30% de ce qu’il voit.
-50% de ce qu’il entend et voit.
-80% de ce qu’il dit.
90% de ce qu’il dit en faisant. ».
Les auxiliaires sont, ainsi, des outils qui servent à favoriser la mémorisation à travers les quelques capteurs : les réflexes audio-visuels, moteurs selon le type d’information à transmettre.

Les attitudes du formateur

Une attitude c’est « une prédisposition permanente d’un individu à réagir, dans un sens donné, quelles que soient les circonstances » 6. Pour un formateur, une attitude pédagogique fondamentale sera sa prédisposition quasi permanente, en situation pédagogique, à privilégier plutôt le contenu des connaissances qu’il diffuse ou plutôt les besoins des gens auprès de qui il les diffuse.

L’environnement des formés

Cet environnement englobe l’aspect, l’état des locaux de formation ainsi que les personnes avec qui ces formés se communiquent, en plus de ceux qui transmettent les contenus : les formateurs. Il est introduit dans le système pédagogique au fait qu’il influe considérablement sur la transmission des comportements nouveaux aux apprenants. En effet, un établissement de formation situé tout près d’une usine peut se qualifier non intéressant à cause de la pollution, du bruit, que cette dernière envoie. De plus, rares sont les institutions de formation où le formateur est à le fois « émetteur » et responsable administr atif, par exemple. En d’autres termes, dans la plupart des cas, il existe d’autres entités qui sont en relation directe ou indirecte avec les formés, que le formateur lui-même.
La réflexion sur cet environnement et voire sur le système pédagogique tout entier est dictée par les comportements envisagés à être possédés par les apprenants à l’issue de la formation et par la situation initiale de ceux ci.

La formation initiale

C’est une formation professionnelle dont les apprenants ne font pas encore partie du corps professionnel visé par la formation. Ils viennent pour apprendre dès le début les attributions, les responsabilités, les rôles à assumer dans un poste et dans un corps professionnel préétabli.
Ainsi, la formation des MEM est une formation initiale, les étudiants étant partis du niveau baccalauréat.

La formation continue

C’est une formation professionnelle au cours de laquelle les formés appartiennent déjà à un domaine professionnel. Ils viennent se former pour améliorer leur compétence ou pour monter à un cadre plus élevé que celui où ils se trouvaient au départ de la formation.
Les MEM peuvent suivre une telle formation à l’Institut National de Santé Publique et Communautaire (INSPC), après quelques années d’expériences professionnelle, pour s’embaucher dans des cadres paramédicaux.
A partir de ces quelques paragraphes nous pouvons conclure que la conception et l’analyse d’une formation quelconque partent toujours de l’étude des fins que celle ce vise à atteindre. Alors, pour une meilleure analyse de la formation des MEM qui est le sujet de ce mémoire, passons aux caractéristiques de cette formation.

Le service financier et logistique 

Elle assure la gestion du budget et du matériel de l’établissement. Un comptable en est le premier responsable et il est secondé par quelques agents : assistant comptable, secrétaire, responsable logistique.

Les services pédagogiques (scolarités) 

Comme leur nom l’indique, elles s’occupent des activités pédagogiques actes de formation proprement dits, suivis, évaluations, … Leur fonctionnement est assuré dans chaque filière par :
· un chef de filière.
· un conseiller pédagogique.
· des moniteurs (deux pour la filière MEM).
· un(e) secrétaire.

Le chef de filière 

C’est un médecin spécialiste de la filière ; un radiologue pour la filière MEM. Il est indemnisé par l’Etat pour contrôler la qualité de formation dispensée aux étudiants. Parfois, il participe même à l’acte de f ormation.

Le conseiller pédagogique 

C’est un paramédical qualifié sortant de la filièresous sa responsabilité. Il se charge de la coordination des activités pédagogiques : élabore l’emploi du temps, négocie les médecins qui vont participer à l’enseignement en cas d’insuffisance de ceux mandatés par l’Etat, négocie avec les responsables des lieux de stage pratique. Il assure, ainsi, l’amélioration des relations avec les parties qui contribuent directement ou indirectement à la formation, tant au sein de l’IFIRP qu’à l’extérieur.
Dans l’établissement et vis-à-vis des étudiants, c’est le premier responsable de la filière.

Les moniteurs 

Ce sont aussi des paramédicaux qualifiés, sortant de la filière où ils travaillent. Ils se différencient du conseiller pédagogique par leurs attributions.
En effet, les moniteurs encadrent les étudiants tout au long de la formation et assurent l’apport de savoir, de savoir faire, de savoir être concernant les sons infirmiers que ces futurs paramédicaux réaliseront.
Comme encadrement, ils donnent des consignes pratiques et théoriques pour les stages au niveau des centres de santé,des centres hospitaliers et des laboratoires. Aussi ce chargent-ils du suivi et de l’évaluation des soins infirmiers dispensés en cours et en stage.
Les moniteurs sont en fait le personnel pédagogique le plus proche des étudiants.

La surveillance générale

C’est un service qui assure la mise en application du règlement intérieur en dehors de salles de classe et qui veille à ce que l’environnement physique des étudiants dans le lieu de formation suive la norme.
Un surveillant général en est le premier responsable. Il est assisté par quelques agents :
· trois agents de sécurité assurent les fonctions de standardiste et de gardien.
· six femmes de chambre qui s’occupent du nettoyage des salles de classes, des toilettes, des escaliers.

Finalités de la formation des MEM

La formation au sein de cette filière vise à :
· permettre aux étudiants de se préparer à assumer esl responsabilités d’un électroradiologiste afin de promouvoir le maintien et l’amélioration de la qualité des soins à Madagascar .
· développer chez les étudiants des compétences validées et reconnues socialement, leur permettant d’exercer la profession.

Conditions d’admission à la filière MEM

Seuls les bacheliers admis à un concours national peuvent accéder à l’IFP. Pour la filière MEM, ce concours est accessible à des bacheliers des séries A2, C, D, âgés de 18 ans au moins et 35 ans au plus. Le no mbre de places à concourir varie de 2 à 10 depuis 2000.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

Premier chapitre : LA PROFESSION DE MANIPULATEUR EN ELECTRORADIOLOGIE MEDICALE (MEM)
11 – Etymologie
12 – Corps et catégorie professionnels
13 – Définition de la profession infirmière
131 – Ancienne définition
131 – Actuelle définition
14 – Les soins infirmiers
141 – Spécificité des soins infirmiers
142 – Objectifs des soins infirmiers
143 – Evolution des soins infirmiers
144 – Catégories des soins infirmiers
1441 – Les soins de base
a)-L’hygiène corporelle
b)-La sécurité et le confort
c)-La locomotion
d)-L’alimentation
1442 – Les soins éducatifs et relationnels
1443 – Les soins techniques
15 – Le service infirmier
151 – Définition
152 – Les structures dans le service infirmier
1521 – Le système de santé à Madagascar
1522 – Le service infirmier au niveau ministériel
1523 – Le service infirmier au niveau intermédiaire
1524 – Le service infirmier au niveau local
16 – Ethique et déontologie professionnelles des paramédicaux
161 – Déontologie et éthique
162 – Les qualités morales indispensables
163 – Les aptitudes requises
1631 – Aptitudes physiques
1632 – Aptitudes intellectuelles
1633 – Aptitudes manuelles
1634 – Capacité en communication
Deuxième chapitre : GENERALITE SUR LA FORMATION
21 – Définition
211 – La situation initiale des apprenants
. Caractérisation de la situation initiale :
a) – Les critère pédagogique
b) – Les critères professionnels
212 – La situation finale des apprenants
2121 – Les fins ou finalités
2122 – Les buts
2123 – Les objectifs
a) – Utilité des objectifs
b) – Les différents types d’objectifs pédagogiques
c) – Le choix des objectifs
d) – La formulation des objectifs
213 – Le système pédagogique
2131 –Les contenus
2132 – Les méthodes et techniques
2133 – Les auxiliaires ou aides pédagogiques
2134 – Les attitudes du formateur
2135 – L’environnement des formés
22 – L’acte de formation
23 – Types et catégorie de formation
231 – Formation académique
232 – Formation professionnelle
2321 – La formation initiale
2322 – La formation continue
Troisième chapitre : CARACTERISTIQUE DE LA FORMATION DES MEM
31 – Les instituts de formation des paramédicaux (I.F.P)
311 – Historique
312 – Administration centrale des IFP
313 – Droits et obligations des étudiants des IFP
3131 – Le règlement intérieur
3132 – Le présalaire
32 – L’institut de formation inter – régionale des paramédicaux (I.F.I.R.P) d’Antananarivo
321 – Organigramme
322 – Les structures au sein de l’IFIRP d’ Antananarivo
3221 – Le service financier et logistique
3222 – Les services pédagogiques (scolarités)
a) – Le chef de filière
b) – Le conseiller pédagogique
c) – Les moniteurs
3223 – La surveillance générale
33 – Aspect conceptuel de la formation des MEM
331 – Finalité de la formation des MEM
332 – Condition d’admission à la filière MEM
333 – Les contenus et déroulement de la formation des MEM…
3331 – La première année
3332 – La deuxième année
3333 – La troisième année
334 – Les enseignant dans la filière MEM
335 – Les méthodes et techniques mises en oeuvre par les enseignants
3351 – Les techniques de diffusion
3352 – Les techniques d’évaluation
a) – Evaluation des théories
b) – Evaluation des stages pratiques
336 – Quelques auxiliaires disponibles à la filière MEM
Quatrième chapitre : ANALYSE CRITIQUE DU SYSTEME PEDAGOGIQUE APPLIQUE A LA FORMATION DES MEM
41 – Impact pédagogique des conditions
d’admission et des conditions d’études
411 – Au niveau psychologique
412 – Au niveau des connaissances
413 – Au niveau de l’expression
414 – Au niveau de la motivation sur le choix de la filière
4141 – Pourquoi le choix de la filière MEM
4142 – Valeur pédagogique de cette motivation
42 – Sur les contenus et le déroulement de la formation
421 – Atouts
422 – Limites
43 – Sur les enseignants
431 – Les paramédicaux
432 – Les médecins et autres
44 – Locaux, environnement et matériel
441 – A l’IFIRP d’Antananarivo
4411 – Atout
4412 – Inconvénient
442 – Les lieux de stage
443 – La bibliothèque scientifique
45 – Sur les méthodes et techniques employées
451 – Les méthodes et techniques de diffusion
4511 – Les dictées
4512 – La distribution de document
a) – Avantages
b) – Inconvénients
4513 – La formation sur le tas pendant les stages
452 – Les méthodes et techniques d’évaluation
4521 – Théories
4522 – Stages
a) – Rapport de garde
b) – Rapport de stage
c) – La mise en situation professionnelle
46 – Sur les résultats
461 – Importance de la note de promotion
462 – Performances des quatre promotions sortantes
4621 – Les notes de promotion et taux de réussite des sortants
4622 – Interprétation des résultats
Cinquième chapitre : SUGGESTION POUR L’AMELIORATION DE LA FORMATION DES MEM
51 – La motivation des acteurs de formation
511 – Pour la motivation des formateurs
512 – Pour la motivation des formés
513 – Pour la motivation commune de tous les acteurs
52 – Amélioration des objectifs, des contenus, des méthodes et techniques de la formation
521 – Programme structuré
522 – L’approche curriculaire des programmes
523 – Les critères d’efficacité de l’approche curriculaire
5231 – Le « plaisir de comprendre »
5232 – Formation accordant une importance à la pratique immédiate des acquis
5233 – Les formateurs
5234 – Conséquences sur le formé
a) – En cours
b) – En stage
524 – Types de techniques
5241 – L’exposé oral associé à la méthode participative…
5242 – La réunion discussion
a) – Généralité
b) – L’animation d’une réunion discussion
c) – Quand utiliser la réunion discussion ?
5243 – L’étude de cas
a) – Généralité
b) – La construction d’un cas
c) – L’animation d’une étude de cas
5244 – Le jeu de rôle
a) – La construction d’un jeu de rôle
b) – L’animation d’un jeu de rôle .
5245 – La simulation
5246 – Le jeu d’entreprise
5247 – La démonstration pratique
a) – Avant la séance
b) – En séance
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *