Analyse conceptuelle, debats theoriques et enjeux de l’economie numerique

Analyse conceptuelle et Débats théorique ainsi que les enjeux de l’économie numérique

Analyse conceptuelle et Débats théoriques

Concept de l’économie numérique

Historique
Même si la découverte de l’ordinateur symbolise la numérisation des informations; c’est l’internet qui a permis d’étendre le numérique et de lui donner sa proportion actuelle. Internet, le réseau informatique mondial accessible au public. Evoquer la première fois vers les année 1980, est un réseau de réseaux, à commutation de paquets , sans centre névralgique , composé de millions de réseaux aussi bien publics que privés, universitaires, commerciaux et gouvernementaux, eux-mêmes regroupés en réseaux autonomes représentant plus de 47 000 en 2014. L’information est transmise par Internet grâce à un ensemble standardisé de protocoles de transfert de données, qui permet l’élaboration d’applications et de services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée, le pair-à-pair et le World Wide Web (www) qui la plus grande application de l’Internet.

Formé par des milliers de serveurs du monde entier. Le world wide web qu’on peut traduire en français par « Toile d’araignée » a été surtout destiné aux chercheurs pour leurs recherches et créations. Il a été créé dans le but de répondre aux problèmes d’accès et partage d’information entre chercheurs mais sa création a permis la transmission par voie électronique des documents multimédia intégrant du texte et des images, sons et vidéo. Initialement destiné aux chercheurs, le www est devenu plus adapté à l’usage privé et ensuite commercial. Ainsi, on peut par exemple publier ou télécharger des documents c’est-à-dire effectuer un transfert de fichiers, participer à des jeux en réseau, regarder des images et vidéos en ligne ou vidéo conférence, vendre, acheter ou fournir des services, faire de la publicité commerciale…

Cette émergence d’une nouvelle structure liée directement à l’apparition d’Internet commence par une vente en ligne au milieu des années 1990. Le 11 août 1994, Phil Brandenberger, un habitant de Philadelphie, passe la première commande en ligne en utilisant un système de paiement sécurisé par carte bancaire. Le New York Times couvre l’événement et souligne que « derrière un petit clic pour un individu se cache un grand pas pour l’économie ». Ce premier achat de 12,48 dollars pour un album de Sting représente la première pierre d’un édifice qui depuis ne cesse de croître.

Ces événements marque le début d’une nouvelle forme d’économie liée à l’internet proprement dit l’économie numérique mais dans ce cadre précis c’est la cyberéconomie. Constituer par des achats, des ventes, des échanges d’informations, des partages, des mouvements et transactions en ligne actuellement estimés quotidiennement soixante à cent fois plus importants que les mouvements de capitaux correspondant à des transactions économiques réelles, Ce dernier Contribuent fondamentalement dans le mécanisme des échanges et transactions mondiales, et à la croissance des pays de façon plus en plus conséquente: 13% du PIB en France, 12% du PIB en Amérique, 4.7% en Allemagne bien dans d’autres encore.

Définitions et caractéristiques

Définitions

L’économie numérique englobe les activités économiques et sociales qui sont activées par des plateformes telles que les réseaux internet, les mobiles et les capteurs, y compris le commerce électronique. Même si la littérature est variée et riche il n’existe cependant pas de définition exacte de l’économie numérique. En effet elle ne se limite pas à un secteur d’activité particulier et englobe des concepts très diversifiés. Elle résulte de l’utilisation répandue des nouvelles technologies, d’usage général tout d’abord dans le domaine de l’information et la communication; néanmoins elle s’est transformée en une technologie universelle qui a eu des implications bien au-delà des technologies de l’information et de la communication (TIC).

Elle a eu un impact sur tous les secteurs économiques, la croissance et la productivité des Etats sans oublier l’environnement des entreprises, les particuliers, les ménages et leur comportement. L’utilisation d’internet, par exemple, a permis le rassemblement des personnes et de moyens en dématérialisant la distance physique pour créer, développer et partager leurs idées donnant lieu à de nouveaux concepts, nouveaux contenus et par conséquence à la naissance d’une nouvelle génération d’entrepreneurs et des marchés. Selon « The Australian Bureau of Statistics » l’économie numérique est : « le réseau mondial des activités économiques et sociales qui sont activées par des plates-formes telles que les réseaux Internet, mobiles et de capteurs, y compris le commerce électronique. Activées également par les efforts pour atteindre l’efficacité et la productivité dans les processus de production, les stocks et la gestion des connaissances. » .

➤ Les secteurs producteurs des TIC sont considérés comme au centre du système car ce sont eux qui vont repartir ces derniers dans tous les secteurs tout en apportant déjà une contribution à la croissance.
➤ Ensuite;ce qu’on appel les contenus numérique dont l’existence découle des TIC. elles sont créées par l’usage des TIC notamment de l’internet
➤ Les secteurs utilisateurs des TIC représentes ici tout les autres secteurs socioéconomique qui sont encore liée au numérique, ces secteurs gaine en productivité puis en compétitivité par l’intermédiaire des TIC.

Par exemple : dans le secteur automobile, l’utilisation du calculateur électronique ou encore le tableau de bord connecter sur internet pour le GPS.

Caractéristiques de l’économie numérique

Concept d’une économie virtuelle

Tout d’abord il faut distinguer ce qu’est l’économie virtuelle du réel ; l’économie réel composée des biens tangibles qui n’est pas du tout en opposition de l’économie virtuelle composée des secteurs à informations stratégique; c’est-à-dire les informations ont une importance capitale notamment la finance et les banques; ces de aspect sont comme les 2 faces d’une même pièce inséparable et indéniable. Ici il ne s’agit pas d’une dématérialisation, l’économie en tant qu’accumulation de richesses, échange de biens et services qui sont tout a fait réel comme une voiture ou encore une maison ne se transformera pas en quelques choses d’intangible mais une restructuration du système économique (sphère réel, sphère virtuel) notamment du système monétaire utiliser qui s’exprime par l’abandon des monnaies papier et l’adoption de nouveau instrument plus simple et sécuritaire des cartes de crédits ou des transactions par téléphones, ce système qui fait elle-même partie de ce que l’on désigne par économie virtuelle.

Pour revenir à la virtualisation, les banques de données en ligne, systèmes experts et autres instruments informatiques rendent de plus en plus transparents à eux-mêmes les « raisonnements du marché ». La finance internationale se développe en étroite symbiose avec les réseaux et les technologies intellectuelles à support numérique. Elle tend vers une sorte d’intelligence collective distribuée pour laquelle l’argent et l’information s’équivalent progressivement.

Or les nouvelles ressources-clés sont régies par deux lois qui prennent à contre-pied les concepts et les raisonnements économiques classiques : les consommer ne les détruit pas et les céder ne les fait pas perdre. Celui qui donne un sac de blé, une voiture, une heure de travail ou une somme d’argent, a perdu quelque chose au profit d’un autre. Que l’on fabrique de la farine, roule en voiture, exploite le travail d’un ouvrier, ou dépense de l’argent, un processus irréversible s’accomplit : usure, dépense, transformation, consommation. L’économie repose largement sur le postulat de la rareté des biens. La rareté elle-même se fonde sur le caractère destructeur de la consommation ainsi que sur la nature exclusive ou privative de la cession et de l’acquisition. Or, encore une fois, si je vous transmets une information je ne la perds pas et si je l’utilise je ne la détruis pas. Puisque l’information et la connaissance sont à la source des autres formes de richesse et qu’elles comptent parmi les biens économiques majeurs de notre époque, nous pouvons envisager l’émergence d’une économie de l’abondance, dont les concepts, et surtout les pratiques, seraient en rupture profonde avec le fonctionnement de l’économie classique. En fait, nous vivons déjà plus ou moins sous ce régime, mais nous continuons de nous servir des instruments désormais inadéquats de l’économie de rareté.

Le temps réel

Grace à l’existence des plateformes (data bases) sur les réseaux internet consultable et intégrable en tout en temps et n’ importe où à condition d’avoir un accès à internet; les échanges ainsi que les transactions peuvent se faire en temps réel, Une nouvelle offre comme une nouvelle demande d’un quelconque produit sera tout de suite vue par la totalité au même instant. Ce principe favorise l’authenticité en limitant le moins possible les asymétries des informations dues à leur décalage temporel, les agents économiques pourront alors avoir une meilleure appréciation du marché et mieux réfléchir dans leurs décisions .

La dématérialisation des agents

Dans le cadre de l’utilisation des réseaux internet par les outils informatiques tels que les Smartphones ou les ordinateurs; les agents économiques se sont en quelques sortes dématérialiser c’est-à-dire quelques principaux acteurs de l’économie devienne progressivement virtuelle comme les banques commençant à devenir des banques en ligne, les cyber marchés, les quasi firmes ou quasi entreprises n’ayant pas un réel emplacement géographique ni un statut juridique, ces dernières sont créer sur internet par ce qu’on appel couramment des administrateurs, postant leurs produits ou services par des annonces sur des sites populaires. Pour le cas des banques; c’est depuis déjà plus de 10 ans que les banques ont numérisé leur activité. Malgré des essais peu glorieux au début des années 2000 (ZeBank notamment), c’est bien en 2006 que les particuliers ont commencé à devenir sensibles aux offres des banques en ligne. À ce jour, plus de 2,5 millions de comptes bancaires en ligne ont été créés seulement en France, soit environ pour 10% des Français.

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Table des matières

Introduction
PREMIERE PARTIE : ANALYSE CONCEPTUELLE, DEBATS THEORIQUES ET ENJEUX DE L’ECONOMIE NUMERIQUE
Chapitre I : Analyse conceptuelle et debats theoriques
Section I. concept de l’economie numerique
Section II. les principes theoriques et debats sur le sujets
Chapitre II: Les enjeux de l’economie numerique
Section I. les impactes et repercutions sur l’economie
Section II.les problemes et limites ainsi que les preventions requises dans cette economie
DEUXIEME PARTIE: ETUDES EMPIRIQUES
Chapitre I : Cas des pays developpes
Section I. Cas des etats-unis
Section II. Cas de la france
Chapitre II : Cas de l’Afrique et de Madagascar
Section I. Aspects de l’economie numerique en afrique
Chapitre III: La place de l’internet et de la telecommunication dans l’economie malgache
Section I. Impactes socio-economique a madagascar
Section II. perspectives de l’etat pour l’economie numerique a madagascar
Conclusion

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