AMELIORATION DU MOUVEMENT COOPERATIF D’UN PAYS

Evolution du concept coopรฉratif

ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย Guy Tchami (2004) a parlรฉ que ยซ mรชme si lโ€™existence du concept coopรฉratif est ancienne, les coopรฉratives se sont dรฉveloppรฉes en tant que mouvement ร  partir du XVIIIรจme siรจcle, en rรฉponse aux mรฉfaits de la Rรฉvolution industrielle ยป. En effet, constatant les ravages que causait la Rรฉvolution industrielle (baisse du salaire, croissance de la pauvretรฉ), R. Owen et le Dr. W. King ont รฉtรฉ les premiers maรฎtres ร  penser dโ€™une nouvelle forme dโ€™organisation sociale bรขtie sur lโ€™idรฉe de la coopรฉration entre individus dรฉsirant rรฉsoudre leurs problรจmes ensemble. Par la suite, dโ€™autres penseurs se sont succรฉdรฉs, reprenant leurs idรฉes pour mieux les dรฉvelopper tels : C. Fournier, P. Buchez, Schulze-Delitzsch, F.W. Raiffeisen, etc. Ainsi, lโ€™histoire de la Sociรฉtรฉ des Equitables Pionniers de Rochdale reprรฉsente la premiรจre vรฉritable expรฉrience connue et aboutie en matiรจre coopรฉrative. Cette histoire constitue pour beaucoup le point de dรฉpart du mouvement coopรฉratif et considรฉrรฉe comme un modรจle de dรฉveloppement coopรฉratif. La Sociรฉtรฉ รฉtait guidรฉe par des principes qui, aujourdโ€™hui encore, servent de base aux principes coopรฉratifs. Ces principes sont les suivants :
โ€ข Adhรฉsion libre et volontaire ;
โ€ข Contrรดle dรฉmocratique de lโ€™administration ;
โ€ข Ristourne au prorata des transactions avec les membres ;
โ€ข Education et formation des membres ;
โ€ข Neutralitรฉ religieuse, politique et ethnique ;
En fait, ces principes nous ont expliquรฉ quโ€™en matiรจre coopรฉrative, lโ€™idรฉe dโ€™exclusion et de clivage est rejetรฉe et toutes couches sociales ou mouvements sociaux peuvent se trouver dans un mรชme panier.

Difficultรฉ dโ€™ยซ รชtre une coopรฉrativeยป surtout en pays dรฉveloppรฉs

ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  Traditionnellement, les coopรฉratives se sont distinguรฉes sur la base des principes et valeurs. Trois traits caractรฉristiques doivent รชtre reconnus comme รฉtant les fondements coopรฉratifs: la double identitรฉ des membres (propriรฉtaire-usager), le processus dรฉmocratique d’orientation et de contrรดle, et la redistribution des surplus au prorata des activitรฉs du membre avec sa coopรฉrative. Ces traits, distinguent la coopรฉrative de l’entreprise ร  capital-actions. Cependant, la majoritรฉ des membres des grandes coopรฉratives matures ne reconnaissent plus celles-ci comme telles. La quasi-absence d’รฉducation et de formation en coopรฉrative est certainement responsable de cette situation. Il est ร  rappeler que les coopรฉratives furent fondรฉes il y a plusieurs gรฉnรฉrations. Lorsque la ยซvigilanceยป n’est pas constamment maintenue par l’รฉducation coopรฉrative, les membres tendent ร  devenir des clients et ร  se comporter comme des clients. Ensuite, le nombre des membres pose รฉgalement de problรจme. Comment former, informer et consulter une association de 15 000 membres ? La dรฉmocratie รฉconomique est un phรฉnomรจne trรจs rรฉcent et n’offre donc pas toute la dรฉfense d’outils nรฉcessaires pour l’opรฉrer efficacement. Comment intรฉgrer les pratiques dรฉmocratiques dans un groupement dont les membres sont si important quand cela est dรฉjร  si difficile au niveau des employรฉs ? Qui plus est, la coopรฉrative est aux prises avec un problรจme d’action collective. Les membres peuvent tous bรฉnรฉficier de l’efficacitรฉ de la coopรฉrative, mรชme s’ils ne partagent pas le fardeau d’investir temps et รฉnergie pour orienter et contrรดler sa destinรฉe. Ce problรจme, bien connu en thรฉorie รฉconomique, est certainement un des facteurs clรฉs expliquant la faible participation des membres dans les grandes coopรฉratives, telles les Caisses Populaires et les Crรฉdits Unions8. En effet, les membres reรงoivent trรจs peu d’รฉducation coopรฉrative. Ils ont donc tendance ร  comparer la coopรฉrative avec son concurrent capitaliste sur โ€œce qui est รฉvidentโ€: les produits et services, les prixโ€ฆ Lorsqu’ils font affaire avec leur coopรฉrative, ils ne sont souvent pas conscients de la relation spรฉcifique ยซmembre-coopรฉrativeยป dans laquelle ils sont engagรฉs. Dans le cas des caisses populaires, selon Daniel Cรดtรฉ, le trรจs faible montant de capital social investi est davantage associรฉ ร  des ยซfrais quelconquesยป plutรดt quโ€™ร  une dรฉcision consciente de devenir propriรฉtaire d’une coopรฉrative, capable de rรฉpondre ร  leurs besoins. ร‰trangement, les gestionnaires et employรฉs font face ร  une incomprรฉhension semblable au sujet de l’organisation pour laquelle ils travaillent. Considรฉrant une telle absence de connaissance de la nature et de la structure de l’organisation coopรฉrative, il est donc trรจs peu probable que tant les membres que les employรฉs auront un comportement en accord avec ses principes et valeurs. Ce sรฉrieux problรจme est amplifiรฉ par la force du discours dominant. Rarement entendons-nous parler des coopรฉratives, que ce soit ร  l’รฉcole ou dans les mรฉdias. Cette relative marginalisation fait en sorte que la spรฉcificitรฉ de la coopรฉrative est occultรฉe par le discours capitaliste, ce qui est d’autant plus problรฉmatique que la coopรฉrative est de plus en plus directement confrontรฉe ร  ses concurrents capitalistes. Historiquement, disait Daniel Cรดtรฉ, les membres de coopรฉratives pouvaient facilement distinguer la caisse de la banque parce que la premiรจre offrait des produits et services diffรฉrents. Aujourd’hui, ajoutait-il, ces diffรฉrences ont toutes disparu ou presque. Un membre peut aller ร  la caisse ou ร  la banque et trouver des produits et services similaires, ร  des prix concurrentiels. Comment distinguer entre les deux si le membre n’est pas informรฉ, formรฉ ร  reconnaรฎtre cette distinction ! Daniel Cรดtรฉ a ajoutรฉ que le problรจme des grandes coopรฉratives matures est encore plus complexe ร  cause des transformations socio-รฉconomiques qui nous entourent aujourd’hui. Les caisses, par exemple, sont trรจs conscientes de la mixitรฉ de leur membership qui partage ses affaires avec plusieurs entreprises. Cependant, elles ne sont pas conscientes d’une situation encore plus accentuรฉe du point de vue de leur association. Suivant Daniel Cรดtรฉ, les membres des coopรฉratives peuvent รชtre impliquรฉs dans une multitude d’organisations ร  caractรจre collectif. Divers sondages et recherches disait-il dรฉmontrent qu’environ 25% du grand public est impliquรฉ dans diverses organisations ร  but non lucratif. Cโ€™est le cas de la France. Au vu de ce pourcentage, expliquait-il, nous pouvons certainement formuler l’hypothรจse qu’un pourcentage รฉquivalent de membres et employรฉs deย coopรฉratives participent ร  ce genre d’activitรฉโ€ฆ mais ailleurs qu’auprรจs de leur coopรฉrative ! Enfin, Daniel Cรดtรฉ a confirmรฉ que, puisque les gestionnaires sont engagรฉs uniquement sur la base de leur expertise de gestion propre ร  un secteur donnรฉ, sans plus de rรฉfรฉrence ร  la distinction coopรฉrative, nous ne pouvons donc attendre d’eux qu’une gestion de type capitaliste. Tout ce qui les entoure pointe dans la mรชme direction, incluant les bases sur lesquelles ils seront รฉvaluรฉs. Pour toutes ces raisons, selon Daniel Cรดtรฉ, il est difficile de reconnaรฎtre une organisation coopรฉrative aujourd’hui surtout dans les pays dรฉveloppรฉs ou industrialisรฉs.

Rรฉcit sommaire de la rรจglementation du mouvement coopรฉratif africain

ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย L’histoire des coopรฉratives africaines, en tant qu’institution socio-รฉconomique organisรฉe et structurรฉe remonte vers le dรฉbut du XXe siรจcle :
1907 : crรฉation d’une coopรฉrative centrale (Tunisie) ;
1908 : premiรจre coopรฉrative des colons (Kenya) ;
1908: naissance d’une coopรฉrative agricole (Egypte). En gรฉnรฉral, les premiรจres coopรฉratives africaines ont รฉtรฉ crรฉรฉes par des colons europรฉens, notamment dans le secteur agricole, et ont รฉvoluรฉ dans un statut de droit privรฉ.
Par ailleurs, le dรฉveloppement du mouvement coopรฉratif africain a รฉtรฉ surtout marquรฉ par deux grandes tendances diffรฉrentes qui n’ont pas connu de rรฉussite, en gรฉnรฉral :
– conception de tendance libรฉrale inspirรฉe de l’occident, qui caractรฉrise les coopรฉratives comme association de personne de droit privรฉ mise ร  la disposition des citoyens. On peut observer รฉgalement de cette tendance deux mouvements qui se distinguent encore l’un de l’autre (mouvement francophone, mouvement anglophone)
– conception de tendance socialiste inspirรฉe des pays ร  รฉconomie dirigรฉe qui caractรฉrise les coopรฉratives comme forme particuliรจre de la socialisation des moyens de production pour rรฉaliser certains objectifs fixรฉs par l’Etat. Cette formule est presque complรจtement dรฉtaillรฉe depuis le nouveau changement en cours, en Afrique.

Poids des coopรฉratives membres de lโ€™A.C.I en 1994

ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย Suivant le rapport du Bureau International du Travail ยซ Promotion des coopรฉratives,ย 2001 ยป, en 1994, les coopรฉratives membres de lโ€™ACI dans les pays en transition (Communautรฉ dโ€™ Etats indรฉpendants) et des pays d’Europe centrale et orientale comptaient 89 millions de membres, y compris des membres de ยซcoopรฉrativesยป paraรฉtatiques existant encore ou de coopรฉratives rรฉcemment crรฉรฉes. Dans l’ensemble, ces coopรฉratives reprรฉsentent 39,3% de la population รขgรฉe de 15 ร  60 ans. Si l’on suppose qu’en 1994 un mรฉnage comprend en moyenne trois personnes, la population directement concernรฉe par la vie coopรฉrative dans ces pays s’รฉlรจve ร  226 millions de personnes soit 70% de la population totale. Dans les pays en dรฉveloppement, les coopรฉratives de production et d’ouvriers ont รฉtรฉ particuliรจrement importantes en Chine et en Inde (25 millions de membres assurant 25% de la production cรฉrรฉaliรจre nationale, 65% de la fabrication du sucre et 58% du tissage manuel); elles sont รฉgalement trรจs importantes dans divers pays d’Amรฉrique latine ou elles fournissent aux zones rurales les services tรฉlรฉphoniques et d’รฉlectricitรฉ. Dans la plupart des pays africains et asiatiques, seules quelques-unes peuvent exister faute d’appui gouvernemental.

Travaux de recherche et enquรชte sur terrain

ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย Pour mener ร  bien l’รฉtude, des travaux de recherche, se rapportant aux diffรฉrents textes lรฉgislatifs et rรจglementaires sur les coopรฉratives ou des autres textes ayant des effets sur ces entitรฉs, ont รฉtรฉ jugรฉs indispensables. L’objectif consiste ร  collecter le maximum d’informations pour รฉtablir un รฉtat des lieux des lรฉgislations et doctrines existantes en la matiรจre. Outre les travaux de documentation, des entretiens ont รฉtรฉ rรฉalisรฉs auprรจs de diffรฉrentes personnes ressources intรฉressรฉes par le mouvement. Sur la base des rรฉsultats des activitรฉs prรฉcรฉdentes, des travaux d’identification des besoins par les membres eux-mรชmes ont รฉtรฉ menรฉs au niveau d’รฉchantillons reprรฉsentatifs de coopรฉratives. Par la mรชme occasion, les intรฉressรฉs ont รฉtรฉ prรฉparรฉs ร  la participation active.

Mise en synergie des moyens disponibles

ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  ย  Compte tenu de la situation actuelle, comme dans les autres politiques nationales (vulgarisation agricole, industrie, artisanat…), les moyens humains et financiers susceptibles d’รชtre affectรฉs ร  la mise en ล“uvre de la politique coopรฉrative sont limitรฉs. Les solutions simples au niveau des actions seront ainsi prรฉconisรฉes. Elles doivent rechercher ร  la fois EFFICIENCE et EFFICACITE, et une adรฉquation assez marquรฉe aux conditions et situations locales. Les critรจres de rationalisation devant prรฉsider au choix des moyens ร  utiliser sont les suivants :
– participation; le principe de la gratuitรฉ est une exception ;
– adรฉquation des solutions aux rรฉalitรฉs locales ;
– intรฉrรชts manifestรฉs par les acteurs;
– capacitรฉ ร  rompre les blocages et ร  rรฉsorber les contraintes ;
– aptitude ร  mettre ร  profit les potentialitรฉs ;
– mise en ล“uvre facile.
Un systรจme de suivi et d’รฉvaluation sera donc ร  mettre en place pour mesurer cette optimisation des moyens.

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Table des matiรจres

REMERCIEMENTS
Liste des tableaux et des figures
Liste des abreviations
INTRODUCTION
METHODOLOGIE
PARTIE I: DEFINITIONS ET CONCEPTUALISATION
Chap. I- PROBLEMATIQUE DE lโ€™ETUDE GENERALE
Section I – Problรจme de dรฉfinitions des concepts
Paragraphe I- Dรฉfinitions des coopรฉratives
A – Concepts des coopรฉratives
1. Les origines
2. Evolution du concept coopรฉratif
B. Coopรฉrative et mouvements sociaux
1- Interaction des coopรฉratives avec dโ€™autres mouvements sociaux
2- La nature et l’esprit du mouvement coopรฉratif
Paragraphe II- Nouvelle conception de l’entreprise coopรฉrative
A- Les rรจgles fondamentales
1- Les valeurs et principes coopรฉratifs
2- Typologie des coopรฉratives
B – Intรฉrรชt de la coopรฉrative
1- Loyautรฉ et Coopรฉrative
2 – Difficultรฉ dโ€™ยซรชtre une coopรฉrativeยป surtout en pays dรฉveloppรฉs
Section II – Le cadre juridique des coopรฉratives
Paragraphe I – Evolution de la rรจglementation du mouvement coopรฉratif dans le monde
A- Apparition de la lรฉgislation et rรจglementation coopรฉrative dans le monde
1- Rรฉcit sommaire de la rรจglementation du mouvement coopรฉratif en Europe, aux USA, au Japon, dans les colonies
2. Rรฉcit sommaire de la rรจglementation du mouvement coopรฉratif africain
B- Les grandes tendances du mouvement coopรฉratif
1. Le mouvement Anglophone
2. Le mouvement francophone
Paragraphe II – Phase des ajustements structurels
A. Reformulation de la stratรฉgie et de la politique coopรฉrative
1. De la dรฉfinition dโ€™une coopรฉrative
2. De la crรฉation dโ€™une coopรฉrative
B. Elaboration de la lรฉgislation coopรฉrative
1. De la dรฉfinition des membres
2. De lโ€™organisation
CHAPITRE II- LE CONTEXTE MALGACHE
Section I- Les formes traditionnelles de coopรฉration ร  Madagascar
Paragraphe I- Brรจve historique du mouvement coopรฉratif malgache
A- Contexte historique de la loi sur les coopรฉratives ร  Madagascar
1- Dรฉfinition รฉconomique
2- Dรฉfinition juridique
B- Evolution de lโ€™application de la loi sur les coopรฉratives ร  Madagascar depuis la colonisation
1- La pรฉriode coloniale (1896- 1960)
2- La Premiรจre Rรฉpublique (1960-1975)
3- La Deuxiรจme Rรฉpublique.
4- La Troisiรจme Rรฉpublique ร  ce jour
Paragraphe II- Situation actuelle du mouvement coopรฉratif ร  Madagascar
A- Diffรฉrents types dโ€™organisation
1- Les groupements de producteurs
2-Les coopรฉratives
B- Structure du mouvement coopรฉratif ร  Madagascar
1. Procรฉdure de crรฉation des coopรฉratives
2. Structure faitiรจre du mouvement coopรฉratif
Section II. Education, formation et information coopรฉratives
Paragraphe I. La primautรฉ de lโ€™รฉducation coopรฉrative
A. Raisons de la primautรฉ de lโ€™รฉducation coopรฉrative
1. Portรฉe de lโ€™รฉducation
2. Importance de lโ€™รฉducation
B. Politique de lโ€™รฉducation coopรฉrative
1. Contenu de lโ€™รฉducation
2. Formation du personnel qualifiรฉ des coopรฉratives
Paragraphe II. Problรจmes gรฉnรฉraux en matiรจre de formation
A. Difficultรฉs en matiรจre de formation
1. Au niveau de recrutement
2. Besoins de formation
B. services d’appui en matiรจre de Formation
1. Au niveau de lโ€™รฉducation et formation
2. Obstacle de Formation en termes dโ€™Infrastructure
PARTIE II – ASPECTS PRATIQUES
Chapitre I- PERTINENCE DU ROLE DES COOPERATIVES DANS LE MONDE
Section I : Activitรฉs รฉconomiques
Paragraphe I : Poids des coopรฉratives de production dans les pays en transition
A. Importance รฉconomique directe au niveau microรฉconomique
1. Avantages des coopรฉratives par rapport aux organisations non gouvernementales
2. Avantage des coopรฉratives en matiรจre des coรปts dโ€™information et dโ€™investissements
B. Evolution des activitรฉs รฉconomiques des coopรฉratives
1. Crรฉdit, รฉpargne et services financiers
2. Vente au dรฉtail et en gros
Paragraphe II : Activitรฉs sociales des coopรฉratives
A. Apport des coopรฉratives dans le domaine dโ€™habitation et service public
1. Logement
2. Services publics
B. Importance de la coopรฉrative en matiรจre dโ€™emploi
1. Coopรฉratives syndicales et ouvriรจres
2. Poids des coopรฉratives membres de lโ€™A.C.I en 1994
Section II : Les apports des coopรฉratives au dรฉveloppement socio – รฉconomique de Madagascar
Paragraphe I : Les espoirs mis dans le mouvement coopรฉratif et les obstacles rencontrรฉs ร  Madagascar
A. Les espoirs mis dans la coopรฉration
1. Au niveau de structure รฉconomique
2. Au niveau de structure sociale
B. Les rรฉsultats des coopรฉratives dans les pays en dรฉveloppement
1. Prรฉsentation des rรฉsultats des coopรฉratives ร  Madagascar
2. Identification des facteurs limitatifs
Paragraphe II- Analyse des problรจmes soulevรฉs
A. Problรจme dโ€™ordre structurel et Organisationnel
1. Les Problรจmes d’ordre structurel et Organisationnel
2. Problรจmes dโ€™ordre conjoncturel
B. Problรจme dโ€™ordre humain
1. La malhonnรชtetรฉ
2. Lโ€™incompรฉtence
3. Lโ€™ingรฉrence
CHAPITRE II. PROGRAMME DE PROMOTION ET DE RELANCE DU DEVELOPPEMENT COOPERATIF ET DE STRATEGIE Dโ€™INTERVENTION A MADAGASCAR
Section I- Politique Nationale de relance et de la promotion des coopรฉratives (PNRPC) ร  Madagascar
Paragraphie I- Mรฉthodologie adoptรฉe lors de lโ€™รฉlaboration de la politique
A- Technique dโ€™intervention et/ou dรฉroulement de lโ€™รฉtude
1. Travaux de recherche et enquรชte sur terrain
2- Organisation d’Ateliers Rรฉgionaux et tenue dโ€™un atelier national
B- Elaboration de la PNRPC et des projets de textes
1- Les principes fondamentaux de la Politique Nationale de Relance et de Promotion coopรฉrative
2. Mise en synergie des moyens disponibles
Paragraphe II- Les grandes lignes de la Politique Nationale relative aux Coopรฉratives et GVE
A- Axes prioritaires
1- Bien clarifier les fonctions et rรดles de chaque acteur
2- Elaborer un ensemble de textes juridiques adaptรฉs, cohรฉrents et pratiques qui constitueront dรฉsormais le cadre juridique des coopรฉratives et GVE
B- Harmoniser les principes d’intervention menรฉe par les structures exogรจnes d’appui
1- Mettre en place un systรจme fiable de banques de donnรฉes coopรฉratives et GVE
2-Mettre en place le service du registre des Coopรฉratives et GVE
Section II– Stratรฉgie d’intervention
Paragraphe I- Mรฉtodologie dโ€™approche
A- Types dโ€™approches
1- Diffรฉrents types dโ€™approches
2- Gestion de la pรฉriode de transition
B โ€“Les atouts et objectifs de cette politique
1- Les atouts de la politique
2- Les objectifs
Paragraphe II โ€“ Facteurs externes et hypothรจses
A. Risques รฉventuels
1. Au niveau socio-รฉconomique
2. Au niveau des cataclysmes naturelles
B.Obligations prรฉalables
1-Au niveau des intervenants
2- Suivi-รฉvaluation-rapports
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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