Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
LES PRODUITS DE LA COMPAGNIE
L’assurance est une activité commerciale qui diffère des autres par la nature de ses produits. Les produits de l’assurance se présentent sous forme de service intangible. Le vrai produit de l’assurance (le sinistre) est divisé en deux grandes parties édictées dans le vade-mecum du producteur d’assurance ARO 3:
· Les assurances – vie et ;
· Les assurances – non vie.
Les assurances – vie
On peut encore les appeler « assurances de personne ».
Elles répondent au besoin de sécurité éprouvé par chacun face à la maladie ou à l’accident. Elles permettent :
· de compléter les garanties limitées des régimes de prévoyance sociale obligatoires ;
· et d’obtenir des prestations :
– Lorsque le risque n’est pas protégé ou insuffisamment protégé par de tels régimes ;
– Lorsque la victime est entièrement ou partiellement responsable ;
– Lorsque le responsable est insolvable ;
– Lorsque la victime est seul (il n’y a pas de tiers).
Elles compensent les pertes de revenus dues à la maladie ou l’infirmité.
Elles assurent l’avenir des membres de la famille de l’assuré en cas de décès.
Dans les assurances de personne :
· l’assuré fixe lui-même les capitaux garantis en fonction de la valeur qu’il s’attribue et de la prime qu’il peut payer ;
· les cumuls sont possibles.
Exemple : un assuré ou un bénéficiaire pourra toucher simultanément et pour un même sinistre garanti, des indemnités au titre d’une assurance famille passager (AFP), d’une assurance personnelle contre les accidents (APA), d’une assurance vie.
· l’assuré ou le bénéficiaire conserve tous ses droits de recours contre le responsable sans qu’il soit tenu compte des indemnités payées au titre des assurances de personnes. La subrogation de l’assureur n’est possible qu’en matière de frais de traitement.
Le vade-mecum énumère sept types d’assurances de cette catégorie :
· L’assurance personnelle contre les accidents (APA) : pour garantir en cas d’accidents les indemnités suivantes :
– Garantie de base : capital décès, capital infirmité permanente ;
– Garanties complémentaires : remboursement des frais de traitement, remboursement des frais de recherche, de sauvetage et de transport.
· L’assurance santé (AS) : pour garantir le remboursement des dépenses médicales, pharmaceutiques, chirurgicales et d’hospitalisation médicale ou chirurgicale, d’évacuation sanitaire, engagées par l’assuré pour lui-même et les membres de sa famille en cas d’accident ou de maladie.
· L’assurance sur la vie (VIE) :
– Pour garantir aux bénéficiaires désignés le paiement d’un capital ou d’une rente :
soit en cas de décès ou d’invalidité permanente et totale (assurance en cas de décès) ;
soit en cas de survie à une époque déterminée (assurance en cas de vie) ;
soit en cas de décès ou d’invalidité permanente et totale si celui-ci survient avant le terme du contrat, ou au terme du contrat si l’assuré est en vie à ce moment (assurance combinée).
– Pour parer aux conséquences d’une disparition prématurée ou se constituer une retraite convenable.
· L’assurance Aro Tanteraka (AT) : pour garantir :
– La retraite complémentaire ;
– Le décès ou l’invalidité permanente et totale ;
– Le décès ou l’infirmité permanente pat accident ;
– L’incapacité temporaire totale de travail par accident.
· L’assurance vie accidents ou aron’ny vahoaka (AVA) : pour garantir un capital :
– Décès ou d’infirmité permanente totale par suite d’accidents, donc c’est l’APA ;
– Décès par suite de maladie ou d’accident repris sous le nom frais funéraire.
· Les assurances de retraite complémentaire (RC) et de retraite minute (RM) : pour garantir l’avenir de l’assuré à compter de son âge de retraite, moyennant une cotisation libre par l’assuré. Il existe chez la compagnie une fourchette de calcul, propre à chacun de ces deux types, de la somme à percevoir par l’assuré à son âge de retraite, en fonction de sa cotisation et du moment auquel il effectue son premier versement. Il est à remarquer que si l’assuré meurt avant son âge de retraite, cette somme sera perçue par le ou les bénéficiaires désignés par lui au moment du contrat de souscription.
Les assurances – non vie
Le vade-mecum énumère cinq types d’assurances de cette catégorie, à savoir :
· Les assurances terrestres de responsabilité civile :
On entend par responsabilité civile (RC) « l’obligation qui peut incomber à une personne de réparer un dommage causé à autrui par son fait ou par le fait des personnes, des animaux ou de choses dépendant d’elle ».
Le but de l’assurance de responsabilité est de protéger le patrimoine de l’assuré contre les conséquences pécuniaires de la RC qu’il peut encourir à l’égard d’autrui. L’assureur s’engage à verser à la place de l’assuré dont la RC est retenue, l’indemnité que, de ce fait, il doit à la victime. Bien entendu, l’assureur n’intervient que dans le cas bien précis prévus au contrat et à concurrence des sommes qui y sont stipulées.
Alors que la responsabilité délictuelle est toujours garantie, la responsabilité contractuelle est en principe exclue.
Les assurances de responsabilité ont un champ d’action aussi variée que les activités humaines. Nous pouvons garantir la responsabilité incombant à chacun dans sa vie privée et l’exercice de ses loisirs, ainsi que dans sa vie professionnelle.
Les types d’assurances de RC sont :
– l’assurance RC du particulier et du chef de famille (RCF) ;
– l’assurance RC du commerçant et de l’artisan (RCC) ;
– l’assurance RC du chef d’entreprise (RCE) ;
– l’assurance RC diverses.
· Les assurances terrestres de choses :
Elles ont pour but l’indemnisation du préjudice subi par l’assuré à la suite de la détérioration, ou de la destruction de la chose assurée par un évènement garanti par la police.
Plusieurs types de cette catégorie sont énumérés dans le vade-mecum :
– l’assurance incendie (I) : pour réparer les dommages causés par le feu.
– l’assurance vol (VOL)
– l’assurance bris de machine (BM)
– l’assurance perte de produits en entrepôts frigorifiques (PPEF)
– les assurances pertes d’exploitation (PE) (après incendie ou après bris de machine)
– les assurances « matériels électroniques »
· Les assurances automobiles :
L’assurance automobile étant obligatoire, suivant ordonnance n°60-162 du 03 octobre 1960 : « toute personne physique ou morale, dont la responsabilité peut être engagée en raison des dommages corporels ou matériels causés à des tiers par un véhicule terrestre à moteur, ainsi que ses remorques ou semi-remorques, doit pour faire circuler ces véhicules, être couverte par une assurance garantissant cette responsabilité ».
Quiconque aura sciemment contrevenu à ces dispositions sera puni d’un emprisonnement de 10 jours à 6 mois et d’une amende de 1600 ariary à 500000 ariary ou de l’une de ces deux peines seulement.
Pour la conservation de son patrimoine, le propriétaire d’un véhicule terrestre à moteur peut souscrire une assurance contre les dommages subis par son véhicule, soit à la suite d’un accident soit à la suite d’un incendie, soit à la suite d’un vol.
Il existe deux types d’assurances automobiles :
– les assurances familles passagers (AFP) ;
– l’assurance indemnisation directe et recours (IDR).
· L’assurance construction :
Il existe deux types de cette catégorie :
– l’assurance construction ou assurance de la RC décennale : les professionnels de la construction : architectes, entrepreneurs, bureaux d’études, ingénieurs ont vis-à-vis du maître de l’ouvrage, c’est-à-dire du propriétaire de l’ouvrage, une responsabilité très particulière appelée responsabilité décennale parce qu’elle se prolonge pendant dix ans après la réception des travaux. On l’appelle également responsabilité de longue durée.
– l’assurance « Tous risques chantiers » (TRC) :la construction d’ouvrages, qu’il s’agisse de simple maison d’habitation, d’institution industrielle ou d’ouvrages de génie civil d’envergure tel que pont, barrage, conduite d’eau,… comporte des risques importants dont la maîtrise constitue un atout non négligeable à la bonne foi de la construction.
· Les assurances maritimes :
Elles sont composées des assurances corps de navires et des assurances facultés.
– les assurances corps de navires ;
– les assurances facultés ;
– l’assurance corps de plaisance ;
– l’assurance de RC du transporteur terrestre ;
· L’assurance aviation :
Elle comprend :
– l’assurance individuelle qui a pour objet de garantir les indemnités contractuelles en cas d’accidents corporels subis par des personnes prenant place à bord d’avions.
– l’assurance de RC qui a pour objet de garantir les conséquences pécuniaires de la RC pouvant incomber aux propriétaires ou exploitants d’avions à la suite d’un accident.
– l’assurance corps qui a pour objet de garantir les dommages subis par l’avion (destruction par choc, explosion ou incendie, perte, disparition ou vol).
RÉSEAU DE DISTRIBUTION DE LA COMPAGNIE
Sous la conduite, l’animation, le suivi et le contrôle de la Direction Commerciale, la distribution de nos produits est confiée à des « personnes » dont les statuts diffèrent d’une catégorie à l’autre. A cet égard, on distingue deux (02) réseaux principaux de vente :
· le réseau de vente directe
· le réseau de vente indirecte.
La vente directe
La vente directe se définit comme la vente effectuée directement par la Compagnie ou par l’intermédiaire de ses agents salariés. Elle est assurée par :
· les Délégations Régionales et leurs Bureaux Directs
· l’ATOP (Appui Technique des Organismes Publics)
· l’Agence ACM (Assureurs Conseils de Madagascar) et le Bureau de l’Avenue de l’indépendance « Agence 16 »
Les délégations régionales (D.R.)
ARO en compte neuf (09) actuellement : les D.R. d’Antananarivo (D.R.T.), d’Antsirabe, d’Antsiranana, de Fianarantsoa, de Mahajanga, de Morondava, de Sambava, de Toamasina, et de Toliary.
Les Délégations Régionales sont des Unités technico-commerciales dont la mission principale est la prospection des risques, la réalisation de contrats et le règlement des sinistres.
Elles représentent la Compagnie dans leur circonscription respective.
Elles sont inverties de délégations de pouvoirs étendus aussi bien sur le plan technique (production et sinistres) que sur le plan administratif.
Les bureaux directs
Les Bureaux Directs sont aussi des Unités technico-commerciales mais de moindre taille par rapport aux Délégations Régionales dont d’ailleurs ils dépendent. Actuellement, il est au nombre de 8 dans toute l’île : Les Bureau Directs 08 de Besarety, 05 de la D.R.T, d’Ambatondrazaka, de Farafangana, de Manakara, d’Ambanja, de Nosy-be, et de Taolagnaro.
L’ATOP
L’ATOP est également une unité de distribution de l’assurance chargée spécialement de la gestion de contrats des organismes publics ou parapublics, notamment les Sociétés d’Etat. Cependant, avec l’évolution du contexte socio-économique caractérisé par l’application de la politique de libéralisation et de privatisation, par l’aiguisement de la concurrence, la mission et le statut spécifique de l’ATOP seront nécessairement amenés à évoluer.
L’ACM et le bureau de l’avenue de l’indépendance « AGENCE 16 »
A la différence des Bureaux Directs qui relèvent du contrôle des Délégations Régionales, ces deux « Agences » ont la même situation que l’ATOP sur le plan organisationnel.
La vente indirecte
La vente indirecte est la vente effectuée par des intermédiaires non-salariés de la Compagnie mais rémunérés par des commissions dont le taux varie en fonction de l’étendue de leur mission.
A cet égard, on distingue :
· les Agences Générales
· les Agences
· les Courtiers
|
Table des matières
1ère partie Présentation générale de la recherche
La première partie intitulée « Présentation générale de la recherche » va nous permettre à avoir une idée générale sur la compagnie ARO, son point de vente ATOP dans lequel nous avons effectué notre stage, et de l’outil de gestion permettant à résoudre les problèmes évoqués par le thème d’abord, elle permet de savoir quelles sont les étapes suivies par la compagnie avant d’arriver à sa place actuelle, de connaître ce que fait exactement la compagnie ARO et l’ATOP, leurs produits et les moyens auxquels ils les vendent
Ensuite, elle va détailler l’essentiel à savoir sur l’outil de gestion qu’est la comptabilité, ainsi que la réalité de la gestion comptable dudit ATOP.
Chapitre 1. Présentation de la compagnie ARO
Section 1. Aperçu historique de la compagnie
Section 2. Objectifs, missions, et structure organisationnelle de la compagnie
2.1. Objectifs
2.2. Missions
2.3. Structure organisationnelle de la compagnie
Section 3. Les activités, les produits et les réseaux de vente de la compagnie
3.1. Les activités de la compagnie
3.1.1. ARO en tant qu’assureur
3.1.2. ARO en tant que réassureur
3.1.3. ARO en tant qu’investisseur financier
3.1.3.1. La politique financière de ARO
3.1.3.2. FIARO (Financière d’Investissement ARO)
3.1.3.3. Le groupe ARO
3.2. Les produits de la compagnie
3.2.1. Les assurances – vie
3.2.2. Les assurances – non vie
3.3. Réseau de distribution de la compagnie
3.3.1. La vente directe
3.3.1.1. Les délégations régionales (D.R.)
3.3.1.2. Les bureaux directs
3.3.1.3. L’ATOP
3.3.1.4. L’ACM et le bureau de l’avenue de l’indépendance « AGENCE 16 »
3.3.2 La vente indirecte
3.3.2.1. Les agences générales
3.3.2.2 Les agences
3.3.2.3. Les courtiers
Chapitre 2. Présentation de L’ATOP
Section 1. Fonction principale de l’ATOP
Section 2. Perspective et stratégie de l’ATOP
2.1. Projet de développement et opportunité d’affaire suivie
2.2. Stratégies pour l’exploiter
Section 3. Structure organisationnelle du point de vente ATOP
Chapitre 3. Théorie générale sur l’outil de gestion
Section 1. Définition et rôleS de la comptabilité
1.1 Définition
1.2. Rôles
1.2.1. Rôle vis a vis de l’entreprise
1.2.2. Rôle vis a vis des tiers
1.2.3. Rôle vis a vis de l’état
Section 2. Les méthodes comptables
2.1. Les conventions comptables de base
2.2. Les principes comptables fondamentaux
Section 3. Les composants de la gestion comptable de l’ATOP
3.1. Système comptable de la compagnie ARO
3.1.1. Comptabilité siège ou comptabilité générale
3.1.2. Comptabilité agences
3.1.3. Synthèse
3.2. La gestion comptable de l’ATOP
3.2.1. La gestion des contrats d’assurance
3.2.2. La gestion des arriérés
3.2.3. Les travaux comptables
3.2.3.1. La passation des opérations
a- La passation manuelle
b- La passation automatique
Voir l’exemple en annexe 9
3.2.3.2. L’élaboration des documents de synthèse
3.2.4. Les travaux extracomptables
3.2.4.1. Travaux d’inventaire
a- Inventaire des articles publicitaires
b- Inventaire des quittances
3.2.4.2. Etat de réconciliation de comptes
3.2.4.3. Tableau de bord des documents comptables
Conclusion du troisième chapitre :
La comptabilité est un outil très important pour toute entreprise, de même pour l’ATOP. Même si la comptabilité des entreprises d’assurance est distincte de celle des autres secteurs, elle doit respecter les principes et normes internationales préétablis. La comptabilité occupe une grande place tant vis-à-vis de l’entreprise que des tiers et de l’Etat
La gestion comptable de l’ATOP englobe la gestion des contrats d’assurance, des arriérés, et des travaux comptables et extracomptables conclusion de la premiere partie
2ème Partie IDENTIFICATION DES PROBLEMES
Chapitre 1. les points forts de l’agence atop
Il n’y a pas deux entreprises identiques. Chacune a ses forces et ses faiblesses. Le premier chapitre de notre étude a pour mission de présenter les points forts de l’ATOP.47
Des études montrent que, les entreprises, ayant une assez large dimension, disposent des avantages aux niveaux économique, technique et social. Ainsi, nous allons présenter :
Section 1. LES DETERMINANTS ECONOMIQUES
1.1. Distribution commerciale
1.2. Le portefeuille de risque
Section 2. les determinants techniques
2.1. la disposition des logiciels informatiques
2.2. la disposition d’un reseau intranet
Section 3. les determinants sociaux
3.1. la gestion des contrats
3.2. l’attribution de commissions
Chapitre 2. identification des points faibles
Le deuxième chapitre de notre étude sera consacré à la présentation des points faibles de l’ATOP. Ainsi, il traitera les problèmes que nous avons décelés durant notre stage. Cela dans le but d’améliorer ses performances et ses potentialités. Les problèmes identifiés se situent au niveau technique et au niveau comptable et extracomptable
Section 1. problemes identifies au niveau technique
1.1. probleme d’organisation et de moyens materiels
1.1.1. Problème d’organisation
1.1.2 Problème de moyens matériels
1.2. probleme de LIAISON entre le siege et l’ATOP
Section 2. problemes identifies au niveau comptable et extracomptable
2.1. les problèmes identifiés au niveau comptable : existence des anomalies
2.2. les problèmes identifiés au niveau extracomptable
2.1.1. Problème de la gestion et du suivi des quittances : retard d’envoi des avis d’échéance
2.1.2. Problème de suivi des arriérés de prime
Conclusion de la deuxieme partie
3ème Partie Proposition de solutions et résultats attendus
Chapitre 1. proposition de solutions
Section 1. Solutions proposées au niveau technique
1.1. AMELIORATION DE L’ORGANISATION DU TRAVAIL DU QUITTANCIER ET RECRUTEMENT D’UN AIDE COMPTABLE
1.2. Renforcement des moyens matériels
1.3. allegement de la dépendance de l’ATOP au siège
Section 2. solutions au niveau de la gestion comptable et extracomptable
2.1. les solutions proposées au niveau comptable
2.1.1. Amoindrissement des anomalies
2.1.2. Proposition de renforcement de l’exploitation du tableau de bord financier
2.2. les solutions proposées au niveau extracomptable
2.1.1. Amélioration au niveau de la gestion et du suivi des quittances
2.1.2. Amélioration de la gestion et du suivi des arriérés
Chapitre 2. Solutions retenues et résultats attendus
Section 1. Solutions retenues
1.1. Faire de l’ATOP une agence autonome
1.2. Réorganiser le personnel
Section 2. Résultats attendus
2.1. impacts positifs
2.1.1. Résultat économique
2.1.2. Résultat financier
2.1.3. Résultat social
2.2. impacts negatifs : la contrainte budgetaire
conclusion de la troisieme partie
Nous constatons en fait que les problèmes vont être résolus par la disposition de l’ATOP d’une autonomie et d’une réorganisation du personnel. Malgré la contrainte budgétaire, ces deux principales solutions à retenir vont avoir des impacts positifs sur le plan économique, financier et social, tant sur l’aspect interne qu’externe de la compagnie
Conclusion generale
TABLES DE MATIERES
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
GLOSSAIRE
Télécharger le rapport complet