AMADEA et LECOFRUIT comme structures d’appuis pour le développement rural

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La sociologie rurale

La  sociologie  rurale  est  inséparable  des  concepts  relatifs  au  monde  urbain. En effet, la dialectique rural/urbain est souvent évoquée dans les théories. Le monde urbainne peut pas  subsister  sans  le  monde  rural. Et dans  un  pays comme Madagascar, le  monde rural   est   le moteur la  base de l’économie. Cependant, dans le contexte de mondialisation / globalisation, il est  souvent  évoqué que  l’urbain se ruralise  et que le  rural  s’urbanise. Il  existe alors  un certain  renversement  de  situation.  L’urbain  se  ruralise, puisque ceux qui ont été exclus du monde rural (ou qui se sont auto exclus) se  déplacent vers  les  centres  urbains, augmentant  ainsi  le nombre des  nécessiteux des villes. Le rural s’urbanise par les différentes facettes de  la modernité qui sont diffuséestravers les  contacts de culture,  les  médias, … Pourtant, cela ne  veut pas  dire que ce  monde  rural  se développe, puisqu’il est vidé de sa force, c’est-à-dire la main d’œuvre qui s’est déplacé e vers la ville.
La sociologie rurale est une branche de la sociologie qui se définit, non selon des orientations théoriques particulières, mais selon son champ d’application, son objet de recherche. Cette branche s’intéresse aux sociétés rurales dans leur entièreté et dans leurs  rapports  avec le reste  du  monde. La  sociologie  rurale  fait  appel, dans  une approche qui  va du particulier au  global, à des n otions et des outils qui appartiennent à la sociologie générale, à des sociologies  particulières  (sociologie  politique, sociologie du travail, sociologie de la famille, sociologie des religions, sociologie urbaine…), mais   aussi à d’autres disciplines telles que la psychologie, la géographie, la démographie, d’agronomie ou les sciences politiques.
Dans le  cadre  de  cette  optique  de  la sociologie  rurale, nous  avons  à constater  l’ état de  la  force de  travail, des  propriétaires des moyens de production, de l’infrastructure (superficies cultivables, infrastructures  routières,  …)  et  de la superstructure (la politique étatique, les motivations paysannes, …), pour abou tir sur la proposition de   pistes de réflexions nouvelles  pour  le  développement  rural. Dans ce contexte, nous avons nous référerl’adage  marxiste  selon lequel la superstructure détermine l’infrastructure ».

Instruments d’analyse

Pour cette section, nous entamerons qu’avec quelles lunettes nous allons ausculter les faits et phénomènes sociaux. Cela nous incite alors à nous référer à des concepts scientifiques apportés par les grands chercheurs antérieurs et aussi contemporains.

Le structuro fonctionnalisme

Puisqu’appréhender la vie sociale constitue une tache difficile, dans la mesure où les paramètres à prendre en compte sont multiples. Pour le besoins de notre recherche, nous allons nous focaliser sur la « théorie marxiste » et le « structuro fonctionnalisme ».
La  théorie  marxiste  est  une  vision  insistant sur  le  concept  de  la  « lutte  de classe ».
Pour Marx, le sentiment d’appartenance à une classe et la prise de conscience de ce qui la sépare des autres classes sont les conditions qui permettent d’agir pour faire évoluer la société. Les luttes qui se développent au XIXe siècle ne sont que le prolongement moderne de l’opposition entre l’homme libre et l’esclave ou entre le seigneur et le serf. Karl Marx définit les classes sociales par rapport à leur position et à leur rôle dans le processus de fabrication. En se fondant sur une vision antagoniste de la société et en s’inspirant de l’histoire, il a rassemblé les différents groupes en deux classes  sociales  principales : le prolétariat, classe dominée, et la bourgeoisie,classe dominante qui possède les moyens de production. Pour Karl Marx, une classe ne peut exister que si elle a conscience d’être une classe. Il considère que « l’histoire de toute société  est  l’histoire  de  la lutte  des  classe»10 et que la lutte des classes conduit à la dictature du prolétariat, étape de transition vers une société  sans  classes ;  en  d’autreterme,  « L’histoire de toute société jusqu’à nos jours n’aété que l’histoire de  luttes de classes. »
En ce sens, nous pouvons alors dire qu’il y a une sorte d’exploitation directe ou indirecte de la part des bourgeois face aux prolétaires. Cette exploitation peut se présenter  de façon  manifeste ou  contrairement. Tout  cela  no us  permet par  la  suite de souligner que les riches s’enrichissent  de  plus  en  plus  et  que  les  pauvres s’appauvrissent de plus en plus. Or, les bourgeois se  minimisent  et que les prolétaires se maximisent. En  référence  à notre  cas  ici, nous avons  les  initiateurs des  projets de développement rural comme les bourgeois. Ce sont eux qui disposent  les moyens, plus exactement  la financière. Face à cela donc, les paysans sont  les  propriétaires ; ils n’ont pas des moyens  sauf leur force  et  leur  terrain. C’est ce  sujet  même  que  nous soulevons par la suite la notion d’exploitation. Plus précisément, les ONG sont les bourgeois et les paysans les prolétaires. Cela peut nous mener à un contexte plus large tout en précisant ainsi le cas des  métropoles et  les anciens colonisés, esl pays riche et pays  pauvres, le  Nord et le  Sud.  Nous  avons  aussi évoqué  l’analyse structuro-fonctionnaliste qui est a son opposé, c’est-à-dire  issu de la science bourgeoise. Celle-ci concerne  le  fait que  le développement c’est de passer de  la tradition  vers  la  modernité.
En  réalité ce  que  l’on voit  par  une  analyse  marxiste, ce  n’est  qu’un  passage du « model  colonial »  vers  un  model« néocolonia  ou  encore  de  l’esclavagisme  vers le « néo esclavagisme ».
En un mot, les deux classes que nous voulons préciser sont l’AMADEA et LECOFRUIT représentant la classe bourgeoise d’une part et les paysans la classe prolétaire d’autre part. Et, L on TROTSKI a cité dit : La bourgeoisie, dont la conscience de classe est très supérieure, par sa plénitude etson intransigeance, à celle du prolétariat, a un intérêt vital à imposer « sa » morale aux classe exploitées. »11
Nous allons aussi soulever le terme de « néocolonialisme ». Le néocolonialisme décrit  une politique impérialiste propre aux  anciennes puissances coloniales vis-à-vis de leurs anciennes colonies, ainsi que plus généralement les méthodes d’influences occultes au profit des pays développés et de leurs randesg entreprises.  Le terme néocolonialisme utilisé, pour la première fois,par Kwame NKRUMAH en 1965 fait référence à la continuité historique de la ransition des colonies à des nations officiellement indépendantes, et aux méthodes n’étant pas beaucoup plus louables que le colonialisme entre les XVIe et XIXe siècles…12
Références pris par les chercheurs malgaches
La position des spécialistes en sciences sociales, dans le paysage du processus du développement est toujours d pendante d’une multitude de variables complexes, où se croise le politique et l’ économique, les stratégies individuelle et les stratégies institutionnelles. La place des experts a beaucoup changée au fil du temps et sous l’effet d’un  nombre d’intervenants. Nous  assiston s, la phase actuelle, un autre rôle des praticiens qui se dessine l’aide ou sous l’influe nce des bailleurs de fonds.
Il est si important, pour enrichir notre document d’en voir ainsi la manier dont les chercheurs malgaches appréhendent-ils la notion de développement face aux différentes interventions  des  ONG financés par les  occidentaux. Comme nous  venons de préciser précédemment, nous avons pris parmi nosnquêtes 2 chercheurs. Ils nous ont montré le chemin comme suit.
Lepremier  aexpliquéla  situation  par  l’esclavagisme. Ilapris  référence selon l’exemple  met en  exergue par Socrate. En  l’expliquant, Socrate a  pris le  cas d’un chariot  cheval l’ poque de la monarchie. I l y a deux catégories : des chevaux et des hommes. Les  chevaux  se  distingue  en deux :  le  « docile »  et les « indociles » ;  et, au dessus  du chariot, il le  « maitre »  et le  « dieu ».Remarquons qu’il s’agit  de classe : le dieu, le maitre, le  docile  et  l’indocile. Le  dieu  exerce  du  pouvoir envers  le maitre, le maitre guide  le docile et  les indociles ne  font que suivre. En  liant tout cela à  la réalité, le dieu est l’ étranger  (les occidentaux), le maitre est l’ONG (les initiateurs des projets), le docile : ceux qui s’occupent des activités, et  les dociles sont  la population cible (les paysans).Dans notre cas ici, le dieu est le bailleur de fonds, le maitre sont l’AMADEA et LECOFRUIT, le docile sont les agents de l’AMADEA et du LECOFRUIT, et les indociles sont les paysans. Si le dieu veut aller quelque part, il donne l’ordre au maitre, le  maitre exécute, tabasse le docile  et  le indocile ne  font que suivre. Donc, c’est le maitre qui est satisfait et  que  les  chevaux  fatigués. Si les étrangers  veulent quelque chose, ils exécutent les ONG et la force du travail sont les populations pauvres.
Le second, se referait à une  ferme. Il  y a le « propriétaire » des bêtes, le berger et les  bêtes. Les  propriétaires sont les occidentaux, le  berger est  l’Etat travers les ONG et les bêtes : la population. Donc, les bailleurs de fonds, les ONG et la population cible.
Dans tout le cas, nous revenons à une classe dominante qui exploite et une autre, dominée et exploitée.
La notion de pauvreté
Dans le contexte actuel de la mondialisation, Madagascar fait partie des pays en développement. Selon le rapport démographique del’INSTAT 113, 80% de la population Malgache proviennent des zones rurales dont 25% des femmes ; et que la grande île compte actuellement 22 585 517 habitants. Face à cela, la pauvreté financière est encore plus criante à ce qu’elle touche près de 82% des ménages ; « 80% de la population globale à Madagascar vivent avec moins d ’un Dollar par jour. Les ménages consacrent prés du ¾ de leur revenu à l’achat d’al iment»214.Tout cela nous prouve tout d’abord que Madagascar est un pays à vocation agricole, et que de nombreuses opportunités sont offertes, étant donné que ousn disposons de grandes espaces cultivables et exploitables qui attirent les intérêts des étrangers. Par rapport à cela aussi, la population est soumise à une pauvreté aggravée. Face à l’incapacité du pays, de nombreux ONG entreprennent différentes activités de développement, ainsi que l’ épanouissement des paysans. Puisque notre étudese base sur les apports des ONG pour le développement rural et leur relation avecplus précisément les ruraux, quelques concepts méritent d’être définis, à la suitede ce que DURKHEIM(E) préconise : « première démarche d’un chercheur est de définir slechoses dont il traite afin qu’il sache et que l’on sache de quoi il est question »15.
Puisque  Madagascar  est  un pays  à  vocation  ag ricole, nous  devons  parler  du développement rural. Selon JEAN MORIZE « Le  développement rural consiste àaméliorer   tout l’environnement de l’agriculteu r, considéré comme   le principal bénéficiaire. Il porte  à la fois sur les  routes, les villages, la santé, l’éducation, et  sur tous  les  services  économiques  et sociaux  susceptibles d’améliorer non seulement lafonction productive, mais  aussi, le bien- êtresocial »16. Donc, le développement  rural permet de mettre en valeur le potentiel des communautés rurales en favorisant l’implication des citoyens, la concertation et le partenariat entre les différents acteurs d’un territoire rural. Ces derniers deviennent en partie responsables de l’évolution et du développement de leur municipalité ainsi quedes acteurs important de la scène rural en  jouant  un rôle de premier plan ; Ainsi,  le développement rural est directement lie au développement local, qui utilise les initiatives locales comme moteur de développement économique.
Et qu’opposé au terme développement aussi, la notion de pauvret met son accent, d’où l’importance d’en parler. Selon l ‘usage le plus courant, la pauvret caractérise la situation d’un individu qui ne dispose pas des ressources réputées suffisantes pour vivre dignement dans une société et son contexte. Insuffisance de ressources matérielles affectant la nourriture,l’accès l’eau potable, les vêtements, le logement, ou les conditions de vie en général. Mais également insuffisance de ressources intangibles telles que l’accès l’ éducation, l’exercice d’une activité valorisante, le respect reçu des autres citoyens o u encore le développement personnel. La pauvreté est l’état d’une personne qui tespauvre, indigente. Une personne en situation de pauvreté ne dispose pas des ressources matérielles suffisantes (manque d’argent) et vit dans des conditions qui ne lui permettent pas d’exister dignement selon les droits légitimes et vitaux de la personne humaine et qui la condamnent à survivre péniblement au jour le jour.
Infrastructures physiques
Les routes d’intérêts régionales ont une longueured29 km traversant 7 Fokontany. Seules 9 km sont accessibles dans toute l’année. Soulignons alors que la route de la Commune est en très mauvais état. Dix huit barrages de types traditionnels sont recensés dans la Commune, entretenus par les Fokonolona irrigant une surface rizicole de 250 ha.
Il existe des nombreux points d’eau dans la Commune mais seuls trois (3) Fokontany à savoir Ambatoboahangy, Ambohiboahangy e t Ambohijatovo ont un accès à l’eau potable.
A part le fax, l’internet et l’e-mail qui n’existen t pas encore au sein de la Commune, les trois opérateurs privée ORANGE, CELTELet TELMA ont déjà leur propre émetteur-récepteur implanté au sein de la Commune iss à la Monastère d’Ambohimanjakarano.
Données sociales
Possédant 09 préscolaires privés, 11 écoles primaires dont 07 écoles publiques et 04 privés ainsi 3 lycées : 01 lycée publique et 02 privé, le taux brut de scolarisation est de 95% pour la Commune d’Antanetibe Mahazaza.
Le nombre total des enseignants dans la zone administrative et pédagogique d’Antanetibe Mahazaza se chiffre à soixante huit (6 8).
La Commune n’a qu’un seul CSB II localisé au Chef lieu de la Commune ainsi deux cabinets privés entrepris par deux autres docteurs. Le CSB II comporte un médecin, une sage femme et 04 lits.
L’architecture des maisons est celle pratiqué sur les hautes : la plupart sont faites en terre rouge rongée battue et en brique de terre crue. Leur toiture est généralement en chaume.
Sept (7) Fokontany sont approvisionné en électricit. Environs 500 ménages ont l’énergie électrique chez eux.
La Commune d’Antanetibe n’a aucune infrastructure d e marché. Les habitants fréquentent le marché hebdomadaire de la Commune deMahitsy tous les samedis. Cependant, la pseudo marché du vendredi dans le Fokontany d’Antanetibe est devenu une habitude pour la population et commence à se développer.
Situation sur le plan de la sécurité
La prolifération des vols de poulet a été constatéedepuis quelques années et le col de zébu aussi persiste encore dans les Fokontany éloignées.
Une autre forme d’insécurité commence à gagner le terrain à la Commune et dans son entourage, c’est l’attaque à main armée.
Il y a une poste fixe de gendarmerie composé de 3 agents dans la Commune. Mais puisque la sécurité est si importante la Commune aun objectif de mettre en place une poste avancé de la gendarmerie.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
Contexte
Choix du thème et du terrain
Problématiques
Hypothèses
Objectifs
Objectif général
Objectifs spécifiques
Méthodologie
Approches
Techniques
Documentation
Techniques vivantes
Technique d’échantillonnage
Problèmes rencontrés et limites de l’étude
Plan de rédaction
PREMIERE PARTIE : APPROCHE THEORIQUE ET PRESENTATION DU TERRAIN
CHAPITRE 1 : Théories et faits touchant le développement
1.1.- Sciences traitant du développement
1.1.1.- L’anthropologie du développement
1.1.2.- La sociologie de développement
1.1.2.1.- Vision durkheimienne
1.1.2.2.- Vision weberienne
1.1.2.3.- Vision marxiste
1.1.3.- La sociologie rurale
1.2.- Instruments d’analyse
1.2.1.- Le structuro fonctionnalisme
1.3.- La notion de pauvreté
CHAPITRE 2 : Caractéristiques d’Antanetibe Mahazaza
2.1.- Historique
2.2.- Situation géographique et délimitation administrative
2.3.- Administration de la commune
2.4.- Ressources naturelles
2.4.1.- Forêt
2.4.2.- Points d’eau
2.5.- Données démographiques (en 2007)
2.6.1.- Elevage
2.6.2.- Agriculture
2.6.2.1 Riziculture
2.6.2.2 La culture sur tanety
2.6.2.3 La culture maraîchère
2.6.3.- Artisanat
2.6.4.- Transport
2.6.5.- Commerce et industrie
2.6.6.- Tourisme
2.7.- Infrastructures physiques
2.8.- Données sociales
2.9.- Situation sur le plan de la sécurité
2.10.- Les différents partenaires techniques et financiers pour le développement
DEUXIEME PARTIE : REALITES D’INTERVENTIONS ET DYNAMIQUES DU DEVELOPPEMENT A ANTANETIBE MAHAZAZA
Chapitre 3 : AMADEA et LECOFRUIT comme structures d’appuis pour le développement rural
3.1.- AMADEA et ses activités
3.1.1.- La Vocation à intervenir dans le préscolaire
3.1.2.- La culture entreprise par l’AMADEA
3.1.2.1.- La riziculture
3.1.2.2.- La culture contre saison
3.1.2.3.- Pépiniériste AMADEA : pépinière villageoise
3.1.2.4.- L’élevage
3.1.2.5.- La sériciculture
3.1.2.6.- La pisciculture
3.1.3 Un vétérinaire pour l’aviculture et le cheptel bovin, porcin
3.1.4.- Les activités culinaires d’AMADEA
3.1.5.- Sensibilisation et animation
3.1.6.- La Foire
3.1.7.- Les paysans bénéficiaires de l’aide de l’AMADEA
3.2.- LECOFRUIT à Antanetibe Mahazaza
3.2.1.- Les agents communaux du LECOFRUIT à Antanetibe Mahazaza
3.2.2.- Relation du LECOFRUIT avec les ruraux
3.2.3.- Les groupements paysans du LECOFRUIT
CHAPITRE 4 : Difficultés socioéconomiques et barrières culturelles à Antanetibe Mahazaza 
4.1.- Dimensions socioéconomiques
4.1.1.- Société et économie
4.1.2.- L’utilisation des assainissements de base, l’électricité et l’accès à l’eau potable
4.1.3.- Taille du ménage, activité génératrice de revenu et revenu
4.1.4.- Statut du logement et des terres à cultiver
4.2.- Les barrières culturelles
4.2.1.- Niveau d’étude scolaire
4.2.2.- Affiliation à la religion christianisme et au culte des ancêtres
CHAPITRE 5 : Stratégies locales de survie
5.1.- L’adhésion à des associations d’aides
5.1.1.- Les groupements AMADEA
5.1.2.- Les groupements LECOFRUIT
5.2.1.- Les travailleurs indépendants
5.2.2.- Les travailleurs journaliers
TROISIEME PARTIE : POUR UNE AUTONOMISATION EFFECTIVE DES PAYSANS
CHAPITRE 6 : Evaluations critiques sur l’effectivité du développement
6.1.- Les réalités socio-économiques et culturelles
6.1.1.- Le bas niveau d’éducation des paysans d’Antanetibe Mahazaza
6.1.2.- Le revenu des paysans
6.2.- Face aux interventions
6.2.1.- Les préscolaires à double fonction
6.2.2.- Le doublement de la semence prise
6.2.3.- La corruption interne
6.2.4.- Dépendance en matière de semence
6.2.5.- LECOFRUIT aligné au même rang qu’AMADEA
6.3.- Synthèse
CHAPITRE 7 : Enjeux d’une auto-prise en main des paysans
7.1.- Constat global
7.2.- Suggestions
7.2.1.- Pour le paysan
7.2.2.- Pour les promoteurs du développement
7.2.3.- Pour les collectivités territoriales décentralisées ou CTD
7.2.4.- Pour l’Etat
7.3.- Les acquisitions professionnelles
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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