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Relations postérieures
Horizontalement
Les cuspides primaires en occlusion ont des relations de contact avec des zones réceptrices. Toutefois, il est important de savoir que, la pointe des cuspides n’est jamais concernée par des relations de contact avec les structures antagonistes.
Les cuspides primaires qui entrent en relation avec une fosse centrale constituent avec ces dernières structures les verrous d’occlusion. Ce sont les cuspides mésio-linguales des molaires maxillaires et les cuspides disto-vestibulaires des molaires mandibulaires.
Sagittalement
Au niveau molaire, Angle a défini 3 classes (figure 18) :
– Classe I : la première molaire inférieure dépasse d’une demi-cuspide la première molaire supérieure.
– Classe II : la première molaire inférieure se trouve distalée par rapport à la première molaire supérieure.
– Classe III : la première molaire inférieure se trouve en position mésialée par rapport à la première molaire supérieure.
Frontalement
Les molaires supérieures circonscrivent les molaires inférieures, avec un surplomb molaire de 1mm (figure 8).
Rapport d’occlusion en intercuspidie maximale
L’intercuspidie maximale est une situation dans laquelle les dents des deux arcades présentent un maximum de points de contacts.
Les surfaces occlusales étant convexes, les points de contacts sont punctiformes. Aussitôt après la phase de constitution de la denture adulte jeune, puis deviennent progressivement des surfaces d’appui avec l’âge.
En I. C. M, les forces occlusales transmises par les cuspides d’appui doivent être axiales et passer par une zone proche du centre de résistance de la dent.
Le nombre et la disposition des points de contact en I. C. M concourent à la stabilité des unités dentaires (figures 20, 21 et 22), les contacts bilatéraux étant également répartis.
Relations cinétiques
L’occlusion de relation centrée
Proposée par le Collège national d’occlusodontologie (1997) : « La relation centrée est la situation condylienne de référence la plus haute, réalisant une coaptation bilatérale condylo-disco-temporale, simultanée et transversalement stabilisée, suggérée et obtenue par contrôle non forcé, réitérative dans un temps donné et pour une posture corporelle donnée et enregistrable à partir d’un mouvement de rotation mandibulaire sans contact dentaire ».
D’après Orthlieb et Coll. (2000), l’ORC définit les contacts dentaires lorsque la mandibule occupe la position de relation centrée. En denture naturelle il est rare que la position d’ORC corresponde à la position d’OIM (9% des cas selon Posselt, 8% des cas selon Renold …).
Les rapports d’occlusion en I. C. M doivent concourir à la stabilité des unités dentaires et à la liberté des différentes excursions fonctionnelles. Ils ne peuvent être cependant considérés comme une position de référence, c’est la relation centrée qui constitue, pour l’orthodontiste, la position de référence la plus satisfaisante, en raison de sa précision de détermination et de sa fiabilité.
Cette relation centrée articulaire doit coïncider à peu près avec l’I. C. M (pas plus de 1 mm de décalage entre R. C et I. C. M dans le sens sagittal).
Diagramme de Posselt
En 1968, Posselt décrit l’enveloppe limite des mouvements de la mandibule en schématisant le déplacement du point interincisif mandibulaire. Ce diagramme permet de définir des positions de référence reproductibles (figure 23) [18].
1. Occlusion de Relation Centrée 4. Position de bout à bout incisif
2. Occlusion d’Intercuspidation Maximale 5. Propulsion Mandibulaire
3. Position Limite Fonctionnelle
Les critères de fonctionnement idéal au cours des différentes excursions
Guidage antérieur satisfaisant
Les crêtes marginales concaves des incisives maxillaires, par leur inclinaison, le surplomb et le recouvrement incisif, par leur importance, déterminent la pente incisive (figure 24).
BIOMECANIQUE DU DEPLACEMENT DENTAIRE PROVOQUE
Histologie du déplacement dentaire provoqué
Le déplacement dentaire provoqué est une réaction biologique suite à l’application d’une force par le biais de systèmes mécaniques sur la dent ou un groupe de dents. Baron [6] insiste sur la propriété essentielle du parodonte (desmodonte, lame cribriforme) de conserver une largeur constante. Selon lui, toutes les réactions visent à recréer un état d’équilibre tissulaire momentanément perturbé.
Effets mécaniques immédiats
Ces effets immédiats correspondent aux capacités hydropneumatiques du desmodonte et aux déformations élastiques de l’os alvéolaire et de la dent. Ainsi, dès l’application de la force, un déplacement immédiat peut être observé. Il y a alors une compression du desmodonte sur une face, dite face en pression. Sur l’autre face, dite en tension, le desmodonte est étiré.
Ces deux phénomènes se produisent de façon concomitante. Si la force s’arrête, il s’ensuit un retour à la normale plus ou moins rapide.
Effets biologiques à court terme
Au niveau de la face en pression
Le mouvement dentaire présente deux phases :
Première phase : phase de sidération.
Du fait de l’écrasement vasculaire, une zone tissulaire d’extension variable va être partiellement ou totalement privée de l’apport métabolique vasculaire. Les faisceaux de collagène sont comprimés. La substance fondamentale et les cellules situées entre ces faisceaux sont chassées. Cette zone constituée de fibres tassées a un aspect vitreux en microscopie optique, d’où le nom de zone hyaline décrite par Reitan [81] en 1951.
Après le déplacement immédiat lié à la compression desmodontale, le mouvement va s’arrêter et ne pourra reprendre qu’après l’élimination de cette zone hyaline et une colonisation par de nouvelles cellules. La hyalinisation augmente avec l’âge du patient (puisque le renouvellement cellulaire est plus long chez les adultes) et avec l’intensification de la densité osseuse. L’étendue de la zone hyaline est en fonction de l’intensité de la force et du type de mouvement développé.
Seconde phase : phase de remodelage osseux
La destruction de la zone hyaline est réalisée par des cellules provenant des parties latérales du desmodonte qui n’ont pas été altérées : d’abord par des fibroblastes, puis par des macrophages. La résorption peut être directe ou indirecte. Dans ce dernier cas, les ostéoclastes envahissent les espaces médullaires voisins de la zone hyaline, puis résorbent le mur alvéolaire jusqu’à atteindre cette zone, recréant ainsi l’espace desmodontal. Après le temps de latence pour que la zone hyaline soit résorbée, le déplacement dentaire est possible. Fontenelle [39] souligne qu’il existe deux modalités de déplacement orthodontique sur parodonte sain :
– A travers l’os avec destruction d’une lame osseuse à chaque réactivation (résorption indirecte) ;
– Avec l’os par modelage-remodelage sans aucune perte de tissu tant que la force est légère et constante (résorption directe).
Au niveau de la face en tension
On observe un élargissement desmodontal quantitativement égal au rétrécissement du côté opposé. Si la force est faible, on observe une apposition ostéoblastique immédiate. Si la force est importante, une hyperréaction ostéoclasique se produit dans un premier temps suivi d’une apposition ostéoblastique. Les ostéoblastes synthétisent un tissu ostéoïde qui se minéralise et permet l’apposition osseuse. Les faisceaux de fibres desmodontales seront inclus dans l’os nouvellement formé.
Le déplacement initial (di, flèche) entraîne l’apparition d’une zone hyaline (H) dans le desmodonte (D). A la périphérie a lieu une résorption latérale directe (RLD) de la lame cribriforme (LC) ; dans les espaces médullaires (EM) apparaît une résorption ostéoclastique indirecte (RI) au niveau de la zone hyaline, induite par une nécrose ostéocytaire (NO). À distance, les espaces médullaires réagissent à la résorption directe par une apposition de compensation (AC).
Lors de l’application d’une force horizontale, on observe un déplacement initial qui comprime le desmodonte et déforme l’os alvéolaire : il y a une formation d’une zone hyaline (stade 1, H). Au stade 2, la résorption indirecte endostée et la résorption latérale directe se déroulent ; le déplacement dentaire s’arrête jusqu’à ce que la zone osseuse faisant face à la zone hyaline soit détruite par la résorption indirecte. Le mouvement reprend alors et une apposition endostée a lieu à distance (stades 4 et 5).
Effets biologiques à long terme
Après cette période initiale apparaît une phase d’adaptation cellulaire pendant laquelle le rythme du remaniement osseux est augmenté. Cette accélération est liée à la présence de nombreuses cellules très actives. Frost [41] appelle ce phénomène le « regional acceleratory phenomenon » (RAP).
Pour maintenir le déplacement dentaire, il faut maintenir l’ostéoclasie, c’est-à-dire un niveau suffisant de force pour se maintenir au-dessus du seuil cellulaire et utiliser pleinement la réserve de cellules spécialisées déjà produites. Les forces intermittentes restent efficaces si les périodes d’interruption sont inférieures au temps de latence de dédifférenciation cellulaire. L’espace desmodontal, recréé à la fin des réactions initiales, est plus large que dans la situation physiologique. La force peut alors être augmentée sans pour autant atteindre le seuil de compression tissulaire suffisant pour entraîner une nouvelle hyalinisation. Pour Reitan [81], la seule limite serait de ne pas franchir le seuil de résorption radiculaire.
Particularités histophysiologiques du parodonte adulte
Le déplacement est lent : les corticales sont denses, l’apport cellulaire est moindre, la vitesse d’apposition et de résorption réduite. Le temps de latence (temps de réponse des tissus aux forces exercées) est allongé et peut durer plusieurs semaines. Les résorptions indirectes sont très importantes, ce qui entraîne une mobilité importante. La hyalinisation est longue : le turn-over cellulaire et fibrillaire est lent, il en résulte un retard du déplacement et des risques importants de destruction osseuse. Il faut adopter un système mécanique évitant les hyalinisations répétées.
La cicatrisation est lente, la stabilisation devra être de longue durée, voire définitive dans certains cas. Pour Stutzmann et Petrovic [90], la persistance, tout au long de la vie, d’un renouvellement de l’os alvéolaire significatif et la possibilité de l’augmenter orthodontiquement rend réalisable le déplacement thérapeutique des dents à n’importe quel âge.
Toutefois, le déplacement sera moins rapide à partir de l’âge de 16-17 ans. Le turn-over de l’os alvéolaire et ses variations provoquées orthodontiquement ne semblent pas rendre le déplacement dentaire plus difficile chez l’adulte âgé de 50 à 60 ans que chez celui âgé de 20 à 25 ans, sauf si le parodonte est déficient.
Selon Fontenelle [39], si l’on se réfère aux effets histophysiologiques induits, une seule orthodontie est valable, c’est celle qui produit un modelage-remodelage, les dents sont déplacées avec leur support parodontal sans perte tissulaire, si ce n’est celle induite par la hyalinisation initiale probablement inévitable et tant que la force est laissée constante grâce à la mise en jeu de phénomènes de résorption directe. Le mouvement de la dent doit se faire avec l’os et non pas à travers l’os. Pour Melsen [63, 64], avec l’âge, la tendance générale est à la réduction de l’épaisseur moyenne de la corticale et du volume d’os trabéculaire. Cela implique qu’une moindre quantité d’os doive être résorbée pour qu’un certain déplacement dentaire se produise. Cependant, la perte d’os marginal influence la position du centre de résistance et a donc un impact sur le système de forces mises en œuvre.
Le centre de résistance ou hypomochlion est le point d’équilibre de la dent au sein de l’os alvéolaire. Ce centre est directement lié au niveau de l’os alvéolaire [100]. La diminution de la hauteur d’os, résulte une migration apicale du centre de résistance de la dent (figure 29) [33].
Si une force appliquée passe par le centre de résistance, le mouvement obtenu est une translation pure ou gression. Toute force appliquée, dont la ligne d’action ne passe pas par le centre de résistance (CRS) engendre une bascule de la dent autour du centre de rotation (CRO) (environ 2 mm plus apical). Donc plus la ligne d’action de la force est éloignée du centre de résistance, plus la contrainte marginale du parodonte est importante [100]. La dent a plus facilement tendance à tourner autour de son centre de résistance que de se mouvoir parallèlement à son grand axe, lors des déplacements provoqués. Ainsi les mêmes forces agissant sur la même dent mais avec un parodonte réduit, créent un moment : la contrainte exercée sur le ligament est plus importante. D’autre part, par le phénomène de bras de levier, la dent au parodonte réduit apparaît plus mobile. Le bord occlusal de la dent est plus à distance du centre de résistance avec la même mobilité physiologique, le trajet effectué par la couronne est de plus grande amplitude [33].
Différents mouvements orthodontiques
Version
Les mouvements de version peuvent être non contrôlés ou contrôlés (figure 30).
La version non contrôlée : est un mouvement dentaire qui s’effectue autour d’un centre de rotation situé proche du centre de résistance de la dent concernée. Cliniquement, on constate alors le déplacement de la couronne dentaire dans un sens et le déplacement de l’apex de cette même dent dans le sens contraire C’est le type de mouvement effectué par une dent quand seule une force est exercée sur sa couronne.
La version contrôlée : correspond à une rotation de la dent autour d’un centre de rotation qui se situe au niveau de l’apex de la dent. Ce type de déplacement s’effectue lorsqu’ une force efficace est exercée sur la couronne dentaire de manière à provoquer le déplacement de cette couronne dans un sens et un moment permettant d’empêcher le mouvement de la racine dans le sens opposé.
Le mouvement de racine s’effectue lorsqu’une dent se déplace autour d’un centre de rotation au niveau ou très près du bord occlusal de la dent.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : RAPPELS SUR LA NORMALITE INTRA ET INTER ARCADES EN DENTURE TEMPORAIRE ET ADULTE
I. AGENCEMENT INTRA ARCADE ET RELATIONS INTER ARCADES NORMALES EN DENTURE TEMPORAIRE
I.1. Agencement intra arcade
I.2. Relations inter arcades
II. AGENCEMENT INTRA ARCADE ET RELATIONS INTER ARCADES NORMALES EN DENTURE ADULTE
II.1. Agencement intra arcade
II.1.1. Dans le plan horizontal
II.1.2. Dans le plan sagittal
II.1.3. Dans le plan transversal
II.1.4. La sphère de Monson
II.1.5. La zone de contact
II.1.5.1. Les espaces interproximaux
II.1.5.2. Les crêtes proximales
II.2. Relations inter arcades
II.2.1. Relations inter arcades statiques
II.2.1.1. Relations antérieures
II.2.1.1.1. Dans le plan horizontal
II.2.1.1.2. Dans le plan sagittal
II.2.1.1.3. Dans le plan frontal
II.2.1.2. Relations postérieures
II.2.1.2.1. Horizontalement
II.2.1.2.2. Sagittalement
II.2.1.2.3. Frontalement
II.2.1.3. Rapport d’occlusion en intercuspidie maximale
II.2.2. Relations cinétiques
II.2.2.1. L’occlusion de relation centrée
II.2.2.2. Diagramme de Posselt
II.2.2.3. Les critères de fonctionnement idéal au cours des différentes excursions
II.2.2.3.1. Guidage antérieur satisfaisant
II.2.2.3.2. La désocclusion postérieure
II.2.2.3.3. Mouvements de latéralité
DEUXIEME PARTIE : DEPLACEMENTS DENTAIRES
I. BIOMECANIQUE DU DEPLACEMENT DENTAIRE PROVOQUE
I.1. Histologie du déplacement dentaire provoqué
I.1.1. Effets mécaniques immédiats
I.1.2. Effets biologiques à court terme
I.1.3. Effets biologiques à long terme
I.1.4. Particularités histophysiologiques du parodonte adulte
I.2. Différents mouvements orthodontiques
I.2.1. Version
I.2.2. Ingression
I.2.3. Egression
I.2.4. Rotation
I.2.5. Translation
II. MIGRATIONS DENTAIRES SECONDAIRES
II.1. Etiologies des migrations dentaires secondaires
II.1.1. Etiologies d’origine dentaire
II.1.1.1. Pertes dentaires non compensées
II.1.1.2. Caries et restaurations défectueuses
II.1.2. Etiologies d’origine parodontale
II.1.2.1. Perte d’attache et lyse osseuse alvéolaire
II.1.2.2. Les phénomènes inflammatoires et hyperplasiques
II.1.2.3. Trauma occlusal
II.1.2.4. Frein labial maxillaire
II.1.3. Etiologies d’origine fonctionnel
II.1.3.1. Pression des tissus mous
II.1.3.2. Parafonctions
II.2. Manifestations cliniques des migrations dentaires secondaires
II.2.1. Manifestations dento-dentaires
II.2.1.1. Diastèmes
II.2.1.2. Version par absence d’une dent
II.2.1.3. Egression de l’antagoniste
II.2.2. Manifestations dento-alvéolaires
II.2.2.1. Dans le sens vertical
II.2.2.2. Dans le sens transversal
II.2.2.3. Dans le sens antéro-postérieur
TROISIEME PARTIE : TRAITEMENT DES MIGRATIONS DENTAIRES SECONDAIRES
I. THERAPEUTIQUE ETIOLOGIQUE
I.1. Thérapeutique parodontale
I.1.1. Motivation du patient et conseils d’hygiène
I.1.2. Détartrage et surfaçage radiculaire
I.1.3. Elimination des facteurs de rétention
I.1.4. Réévaluation
I.1.5. Correction des facteurs occlusaux (Trauma occlusal)
I.1.6. Chirurgie d’assainissement
I.1.7. Maintenance parodontale
I.2. Thérapeutique fonctionnelle
I.2.1. Principe de la thérapeutique fonctionnelle
I.2.2. Buts et objectifs de la thérapeutique fonctionnelle
I.2.3. Moyens de la thérapeutique fonctionnelle
I.2.3.1. La thérapeutique fonctionnelle non mécanique
I.2.3.1.1. La myothérapie
I.2.3.1.1.1. Le moment opportun
I.2.3.1.1.2. Inconvénients
I.2.3.1.1.3. Techniques
I.2.3.1.2. Rééducation fonctionnelle sans appareillage
I.2.3.1.2.1. Principe
I.2.3.1.2.2. Age de la rééducation
I.2.3.1.2.3. Durée de la rééducation
I.2.3.1.2.4. Rapport de la rééducation avec le traitement orthodontique
I.2.3.1.2.5. Buts de la rééducation fonctionnelle sans appareillage
I.2.3.1.2.6. Indications de la rééducation fonctionnelle sans appareillage
I.2.3.1.2.7. Contres indications de la rééducation fonctionnelle sans appareillage
I.2.3.1.2.8. Techniques de la rééducation fonctionnelle sans appareillage
I.2.3.2. La thérapeutique fonctionnelle mécanique
I.2.3.2.1. Le berceau à langue
I.2.3.2.2. L’enveloppe linguale nocturne
I.2.3.2.3. Lip bumper
II. THERAPEUTIQUE CORRECTIVE
II.1. Correction des manifestations dento-dentaires
II.1.1. Les diastèmes
II.1.1.1. Moyens
II.1.1.2. Mode d’action
II.1.2.1. Moyens
II.1.2.2. Mode d’action
II.1.3. Les versions
II.1.3.1. Moyens
II.1.3.2. Mode d’action
II.2. Correction des manifestations dento- alvéolaires
II.2.1. Sens transversal
II.2.1.1. Moyens
II.2.1.2. Mode d’action
II.2.2. Sens vertical
II.2.2.1. Moyens
II.2.2.2. Mode d’action
II.2.3. Sens sagittal
II.2.3.1. Moyens
II.2.3.2. Mode d’action
III. CONTENTION ORTHODONTIQUE
III.1. Impératifs
III.2. Dispositifs de contention
III.2.1. Dispositifs amovibles
III.2.1.1. Dispositifs amovibles «actifs» ou positionneurs
III.2.1.2. Dispositifs amovibles passifs
III.2.2. Dispositifs fixes
II.2.2.1. Nature de l’attelle
II.2.2.2. Étendue de l’attelle
II.2.2.3. Méthode de collage
III.4. Stabilité post thérapeutique
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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