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CE QUE NE FONT PAS LES MASSOTHERAPEUTES. (6)
-Ils ne font pas de, diagnostic médical (à moins qu’ils ne soient pas médecins).
. Ils ne prescrivent pas ni ne conseillent de traitement car ils ne sont pas qualifiés pour ce faire. (Médicaments ou produits pharmaceutique).
. Il ne porte pas de jugement sur leurs confrères.
. Ils n’exercent pas sans avoir souscrit une assurance.
. Ils évitent les comportements dignes de sa profession
. Ils continuent à exercer s’ils éloignent de leur code de déontologie.
Chez nous l’assurance et le code de déontologie ne sont pas encore mis à jours.
CE QUE FONT LES MASSOTHERAPEUTES
– Ils évaluent l’état de santé de leur patient pour s’assurer qu’il présente une bonne indication au massage.
– Ils envoient chez un médecin les patients dont l’état de santé présente des contre. indications au massage.
– Ils suivent une formation pour se qualifier dans la pratique du massage.
– Ils traitent leurs patients et leurs confrères avec respect.
– Ils souscrivent une police d’assurance professionnelle.
– Ils se conduisent avec correction et dignité.
– Ils gardent une conduite irréprochable dans l’exercice de leur pratique.(6)
LES EFFEFS DU MASSAGE
Aussitôt que nous nous familiarisations avec ces différentes méthodes, nous comprenons pourquoi le massage jouit d’une telle réputation sur le plan thérapeutique. Ses effets sont multiples car il:
– Assiste les fonctions naturelles de organisme.
– Facilite la circulation sanguine et lymphatique (accélère l’élimination des déchets).
– Stimule les organes.
– Améliore l’élasticité de la peau.
– Tonifie les muscles et augmente leur tension interne.
– Détend les nerfs bloqués par biais de la relaxation des muscles.
– Réduit la tension nerveuse et équilibre les battements cardiaque.
– Confère une meilleure ventilation aux arbres respiratoire.
– Peut atténuer la douleur au cours d’une blessure. (6)
RAPPELS DE BASE SUR L’ACUPUNCTURE
En Médecine Chinoise, le corps n’est jamais envisagé en termes anatomiques mais en termes de fonctions et de rapport à travers quatre entités que sont le souffle (Qi) Sang (Xue), les Liquides organiques (jinye) la Quintessence (jing) auxquels préside un principe coordonnateur et régulateur:l’Esprit (Shen). (7)
L’ENERGIE ou Souffle Qi
Pour les Chinois, Le corps et ses fonctions ne sont que la même réalité, englobée sous la dénomination commune de Souffle (qi). (7)
D’après la médecine chinoise, notre corps fait recours à diverses formes d’énergie (apporté par l’alimentation, la respiration…) pour remplir des fonctions différentes. Le système nerveux utilise de l’énergie chimique et électrique pour transmettre des signaux. L’information circule électriquement à travers une cellule nerveuse et chimiquement entre les cellules.
L’énergie qui assure la transmission d’une impulsion nerveuse le long des fibres nerveuse suit des circuits précis. Il en va de même pour les énergies du qi le long des Méridiens. (4)
L’acupuncture aura pour objet la régulation et l’harmonisation de ces Souffles dont le dérèglement est à l’origine de la maladie. (7)
MERIDIENS ET BRANCHES COLLATERALES
Représentent la voie par laquelle circulent l’Energie vitale et le Sang du corps humain. Ils forment un réseau reliant les différents éléments internes et externes du corps et régularisent le fonctionnement de l’organisme tout entier.
Les méridiens jouent un rôle de liaison dans la relation réciproque entre les organes, les viscères creux et le revêtement cutané. (8)
POINTS D’ACUPUNCTURE (Via points REFLEXES)
A part les zones réflexes situées sur les extrémités, il a été décelé dans le corps humain, entre 500 à 800 points sensibles à l’acupuncture dont 669 énumérés dans l’ouvrage Hsin Chen Hsueh(Modern Acupuncture) du Dr Chu Lien, Traité qui fait autorité en chine où il est employé actuellement.(9)
Ce sont des points précis de la peau par lesquels l’Energie vital des organes et des viscères creux gagne les différentes parties du revêtement cutané.
Par conséquent, l’excitation de ces points par l’acupuncture ou le moxa peut agir sur les méridiens correspondants.
Ce qui permet de renforcer la résistance intrinsèque des viscères en régularisant le cours de l’Energie et du Sang et de parvenir par suite à la guérison des maladies.
Ceci constitue la base même de la réflexologie acupuncturale mais cette fois-ci la stimulation se fait à l’aide de la main.
A titre d’exemple, nous allons analyser un méridien pour être plus claire.
REFLEXOTHERAPIE ET AFFECTIONS CEREBRALES
Le cerveau est un organe indispensable dans la bonne marche de l’activité physique et intellectuelle d’un individu.
Il est le siège de certain dysfonctionnement source de divers problèmes neuromoteurs et locomotif qui pourraient compromettre le bien être social, physique et fonctionnel de ce qui sont infligés.
On peut constater que:
L’hyperfonctionnement anarchique des cellules cérébrales est responsable d’épilepsie généralisé ou partiel.
La souffrance cérébrale dès le jeune âge est à l’origine d’un arrêt ou d’un retard du développement psychomoteur d’où Infirmité motrice cérébrale.
L’atteinte d’un territoire cérébrale par anomalie de perfusion sanguine cause le fameux Accident Vasculaire cérébral par blocage d’activité des cellules cérébrales en question.
Un cerveau à la merci des divers stimulant (et /ou choc) perd sa faculté d’alterner la période d’activité à la période de repos d’où INSOMNIE.
L’atteinte du cervelet par un traumatisme est à l’origine d’un syndrome cérébelleux.
Pour faciliter notre pratique et l’exposé, on a choisi quelques points « standard » qui sont à manipuler au fur et à mesure qu’il y a affection cérébrale. Selon l’affection à traiter, on tente de stimuler ou relaxer le cerveau afin qu’il retrouve son équilibre antérieur.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
A. LA MEDECINE DOUCE
I. LES MASSAGES
I.1. LES ORIGINES DU MASSAGE
I.2. LES PRINCIPAUX TYPE DE MASSAGE
I.2.1. Massage occidental
I.2.2. Massage oriental
I.2.3. Les techniques innovatrices
I.3. LES PRINCIPALES TECHNIQUES DE BASE
I.4. LES PREPARATIFS DU MASSAGE
I.4.1. Matériels
I.4.2. Le Local de massage
I.5. LE TRAITEMENT PROFESSIONNEL PAR MASSAGE
I.5.1. Ce que ne font pas les massothérapeutes
I.5.2. Ce que font les massothérapeutes
I.6. LES EFFETS DU MASSAGE
I.7. LES BIENFAITS DU MASSAGE
II. LA REFLEXOLOGIE
II.1. DEFINITIONS
II.2. RAPPELS DE BASE SUR L’ACUPUNCTURE
II.2.1 Energie ou Souffle Qi
II.2.2. Meridiens et branches collatérales
II.2.3. Points d’acupuncture (Via points réflexe)
II.2.4. Le Méridien des Poumons
II.2.5. La théorie de Yin et Yang
II.2.6. Les indications thérapeutiques des douze Méridiens
II.3. HISTORIQUE
II.4. CONSTITUTION DE LA REFLEXOLOGIE
II.4.1Theorie sur les zones corporelles
II.4.2. Cartographie du corps sur les extrémités
II.4.3. Les zones réflexes mutuelles du corps
II.5. PROCEDES DE MASSAGE DES ZONES REFLEXES
II.5.1. Le massage manuel
II.5.2. Le piétinement
II.6. ADMINISTRER UNE PRESSION EN REFLEXOLOGIE
II.6.1. Intensité
II.6.2. Mode de pression
II.7. THEORIE SUR LE FONCTIONNEMENT DE LA REFLEXOLOGIE
II.7.1. Stimulation nerveuse
II.7.2. Libération de substance chimique (neurotransmetteur)
II.7.3. Stimulation du système lymphatique
II.7.4. Stimulation du système circulatoire
III. DE LA REFLEXOLOGIE A LA REFLEXOTHERAPIE
III.1. Pour être bon reflexothérapeute
III.2. Régime alimentaire (au cours d’un traitement)
B. LES MALADIES CHRONIQUES
I. DEFINITION
II. CLASSIFICATION
III. SELECTION DES PATIENTS
III.1. Critères d’inclusion
III.2. Critères d’exclusion
DEUXIEME PARTIE LES PRINCIPALES INDICATIONS PROPOSEES
A.REFLEXOLOGIE ET AFFECTIONS CEREBRALES
1. Rappels physiopathologiques
2. Les points à considérer
a. Réflexologie et Syndrome Cérébelleux Post-Traumatique (PLAN TYPE) I. HISTOIRE DE LA MALADIE
II. SIGNES CLINIQUES
III. TRAITEMENT ALLOPATHIQUE
IV. REFLEXOTHERAPIE
IV.1. Durée de la Séance
IV.2. Fréquence
IV.3. Durée de traitement
IV.4. Les points concernés
IV.5. Techniques
V. RESULTATS
VI. INTERPRETATION DE RESULTAT
b. REFLEXOLOGIE ET INFIRMITE MOTRICE CEREBRALE
c. REFLEXOLOGIE ET EPILEPSIE
B. REFLEXOLOGIE ET MIGRAINE OPHTALMIQUE
C. REFLEXOLOGIE ET SCIATALGIE
D. REFLEXOLOGIE ET NEUROPATHIE PERIPHERIQUE
E. REFLEXOLOGIE ET STERILITE PRIMAIRE
TROISIEME PARTIE COMMENTAIRES- DISCUSSIONS-SUGGESTIONS
I. COMMENTAIRES
I.1. SUR LE SYNDROME CEREBELLEUX POST- TRAUMATIQUE
I.2. SUR L’IMC
I.3. SUR L’EPILEPSIE
I.4. SUR LA MIGRAINE OPHTALMIQUE
I.5. SUR LA NEVRALGIE SCIATIQUE
I.6. SUR LA NEUROPATHIE PERIPHERIQUE
I.7. SUR LA STERILITE PRIMAIRE
I.8. SUR LES AFFECTIONS CHRONIQUES EN GENERAL
II. DISCUSSIONS
II.1. SUR LE PLAN CULTUREL
II.2. SUR LE PLAN SOCIO-ECONOMIQUE
II.3. SUR LE PLAN PROFESSIONNEL
III.SUGGESTION
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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