La bureaucratie wébérienne
Max WEBER1était probablement l’initiateur intellectuel le plus prometteur du cadre théorique dans lequel l’administration publique ou la bureaucratie a été étudiée et abordée au cours du siècle dernier. A une pertinence évidente pour notre connaissance de la corruption et des pratiques de corruption. Il ne semble pas que Max Weber ait écrit quelque chose ou la nature longue et réfléchie de la corruption dans les sociétés modernes; ces pensées sur ce sujet, semblent être contenues dans son point de vue sur la bureaucratie et la modernité. Dans la mesure où Weber avait une vision de la politique ou de la corruption bureaucratique, il est juste de le qualifier d’évolutionnaire car la corruption était la caractéristique d’un stade antérieur de la société, plus primitif et finirait par disparaître avec le triomphe d’une bureaucratie professionnalisée. Les opinions de Weber sur la corruption sont principalement contenues dans les écrits sur les idées nouvelles de la bureaucratie et, dans une moindre mesure, dans ses écrits sur la vocation des hommes politiques qui ne cherche alors que les gains plus qu’autre chose. Bien que Weber insinue pour la plupart les notions de corruption et favoritisme, les implications conceptuelles et empiriques qui en découlent on certainement piquer l’intérêt d’un étudiant de l’analyse de la corruption. Tracer le perspectif district Wébérien, c’est pour ça que les analyses wébériennes caractérisera l’époque des écrits de Weber en termes de népotisme et de corruption en Europe et à l’étranger. Une caractéristique propre étudiée lors d’une bureaucratie Wébérienne en Angleterre au dixneuvième siècle aux cas de patronage et de népotisme. On en tire la leçon qui étaient Premièrement, pour une appréciation des idées de weber les pensées wébériennes à la bureaucratie et la corruption doit commencer par la distinction entre trois idéaux types de domination qui sont la domination traditionnelle, charismatique et juridique-rationnelle qui forment la base pour analyser la relation entre les dirigeants et les gouvernés. Deuxièmement, la perspective wébérienne sur la corruption offre à la fois une lentille pour l’analyse des formes répéter de corruption dans la bureaucratie qui ont le caractère d’un réseau de réciprocités, où la corruption et ses causes se situent dans le contexte plus large d’une forme de domination publique classique et de domination personnelle plus spécifique et un concept d’ordre juridique-rationnel qui jette les bases d’une compréhension explicite de corruption, celui qui a l’abus de pouvoir public pour le rendre privé et personnel est la déviance de l’ordre légitime du cœur conceptuel de l’Etat.
Une gouvernance corrompue
Selon les idées de Daniel Kaufmann4 un intérêt de plus en plus important se porte vers l’étude de la gouvernance moderne dans les milieux du développement. Les institutions financières internationales (IFI) unissent de plus en plus souvent leurs efforts à ceux des économies émergentes et les organisations non gouvernementales pour combattre la corruption, accroître l’égalité des sexes et renforcer l’obligation de rendre compte. Les problèmes de gouvernance ont joué un rôle déterminant dans la décision annoncée en juillet par le Groupe des Huit de doubler l’aide aux pays africains les plus pauvres et l’allégement de leur dette. En mai, le rapport conjoint de la Commission pour l’Afrique énonçait explicitement : «La bonne gouvernance est un élément essentiel… En l’absence de progrès dans les domaines de la capacité et de la responsabilité et dans la lutte contre la corruption … les autres réformes n’auront qu’un impact limité.» Mais la bonne gouvernance et la maîtrise de la corruption sont elles vraiment si importantes pour le développement? La multiplication des études empiriques au cours des dix dernières années, associée aux enseignements dégagés de l’expérience des pays, nous ont fourni une base d’évaluation plus solide de l’effet de la gouvernance sur le développement et l’efficacité ou l’inefficacité des stratégies visant à l’améliorer. Plusieurs questions demeurent toutefois sans réponse, et le débat reste vif au sein de la communauté du développement, pas seulement sur l’importance de la gouvernance, mais aussi sur l’aptitude des IFI à aider les pays à en rehausser la qualité.La gouvernance et la lutte contre la corruption sont une seule et même chose. On entend par gouvernancel’ensemble des traditions et des institutions parlesquelles le pouvoir s’exerce dans un pays pour le bien commun.Cela recouvre les procédures selon lesquelles les dirigeantssont choisis, contrôlés et remplacés (aspect politique);la capacité du gouvernement à gérer efficacement sesressources et à appliquer des politiques avisées (aspect économique);et le respect des citoyens et de l’État envers les institutionsnationales (respect institutionnel). Par contre, la corruption se définit de manière plus étroite comme l’«abus de position publique à des fins d’enrichissement personnel». La gouvernance et la corruption ne peuvent être mesurées. Il est vrai qu’il y a moins de douze ans,il n’existait quasiment pas de mesures qui soient comparablesau plan international, mais, ces dernières années, la Banquemondiale et d’autres organismes se sont employés à comblercette lacune. La Banque mondiale a établi des indicateurs globauxde gouvernance qui couvrent plus de 200 pays et sefondent sur plus de 350 variables obtenues auprès de dizaines d’institutions dans le monde entier. Ces indicateurs recouvrent les six dimensions suivantes : droit d’expression et obligation de rendre compte; stabilité politique et absence de violences graves et de terreur; efficacité des pouvoirs publics; qualité des réglementations; état de droit; maîtrise de la corruption. Les indicateurs constituent certes un progrès majeur, mais l’évaluation reste hasardeuse. Les marges d’erreur ne sont pas négligeables, et la prudence s’impose dans l’interprétation des résultats le classement précis des pays est à éviter. Les marges d’erreur ont cependant diminué et sont désormais nettement inférieures à celles d’autres mesures de la corruption, de la gouvernance ou du climat de l’investissement.De ce fait, les indicateurs de gouvernance de la Banque mondiale sont utilisés partout dans le monde pour suivre les tendances, évaluer les pays et guider les études. L’importance de la gouvernance et de la lutte contre la corruption est surestimée. Grâce à ces indicateurs et à d’autres progrès des mesures empiriques, plusieurs chercheurs ont pu étudier l’influence de la gouvernance sur le développement. Il ressort généralement de leurs travaux que les pays peuvent tirer d’une gouvernance plus efficace de très gros «dividendes du développement». La Banque mondiale estime qu’un pays qui porte sa gouvernance d’un niveau relativement bas à un niveau moyen pourrait quasiment tripler son revenu par habitant dans le long terme, et réduire d’autant la mortalité infantile et l’analphabétisme. À une amélioration de cet ordre correspondrait, par exemple, une progression du pays dans notre classement pour ce qui est de l’indicateur «maîtrise de la corruption» de la base de données de la Banque : la Guinée équatoriale passerait ainsi au rang de l’Ouganda, l’Ouganda à celui de la Lituanie, la Lituanie à celui du Portugal, et le Portugal à celui de la Finlande. La gouvernance influe également sur la compétitivité d’un pays et sur la répartition des revenus. Quant à la corruption, les études montrent qu’elle revient à appliquer une taxe élevée sur les investisseurs étrangers. Dans bon nombre de pays en développement, elle représente aussi un «impôt régressif» sur les ménages : les familles à faible revenu versent en pots de vin une part disproportionnée de leurs revenus (par rapport aux groupes à revenus plus élevés) pour avoir accès aux services publics et finissent souvent par voir cet accès limité à cause de la corruption. Le montant annuel des transactions mondiales entachées de corruption est globalement estimé à près de 1 billion de dollars EU. Pour aggraver les choses, les projets financés par l’aide ont tendance à échouer dans un environnement corrompu. La corruption fragilise en outre les démocraties naissantes. Bien évidemment, la gouvernance n’est pas le seul élément déterminant du développement. Les politiques macroéconomiques, commerciales et sectorielles sont elles aussi décisives. Mais lorsque la gouvernance est déficiente, le processus décisionnel dans d’autres domaines est lui également compromis. La gouvernance est un luxe que seuls les pays riches peuvent s’offrir. D’aucuns soutiennent que le lien entre gouvernance et revenus ne signifie pas que l’amélioration de la gouvernance stimule la hausse des revenus, mais le contraire l’augmentation des revenus se traduit automatiquement par une amélioration de la gouvernance. Or, les études ne confirment pas cette théorie. Il est donc fallacieux de suggérer que la corruption dérive de la faiblesse des revenus et d’inventer une raison pour justifier la mauvaise gouvernance dans les pays pauvres. En fait, les données indiquent que c’est l’amélioration de la gouvernance qui favorise la croissance économique. Plusieurs économies émergentes, dont les États baltes, le Botswana, le Chili et la Slovénie, ont montré qu’il est possible d’atteindre un niveau élevé de gouvernance sans avoir pour autant rejoint les rangs des nations riches. Il faut des générations pour que la gouvernance s’améliore. S’il est vrai que les institutions n’évoluent souvent que graduellement, leur qualité s’est considérablement et rapidement rehaussée dans certains pays. Ce phénomène dément l’idée que la gouvernance se dégrade en peu de temps, mais s’améliore toujours lentement et progressivement. Depuis1996, l’indicateur «être à l’écoute et rendre compte» a ainsi sensiblement progressé dans divers pays Bosnie, Croatie,Ghana, Indonésie, Serbie et Sierra Leone. Par ailleurs, les améliorations enregistrées dans certains pays africains en un court laps de temps contredisent les «afro-pessimistes». Cela dit, il est peu réjouissant de constater que, dans l’ensemble, la gouvernance ne s’est pas améliorée dans le monde au cours de cette période, et qu’elle s’est fortement dégradée dans plusieurs pays dont la Côte d’Ivoire, le Népal et le Zimbabwe. Les donateurs peuvent «protéger» les projets dans les pays et secteurs très corrompus. À l’exception éventuelle de quelques projets d’aide humanitaire, la théorie selon laquelle les milieux de l’aide peuvent protéger les projets contre un environnement national globalement corrompu n’est pas étayée par les faits. Il ressort des données qu’en l’absence d’une approche systémique de la gouvernance, des libertés civiles, de l’état de droit et de la lutte contre la corruption, les chances de réussite d’un projet financé par l’aide sont sensiblement réduites. Combattre la corruption par la lutte contre la corruption. Une idée fausse répandue par certains spécialistes et, parfois, par la communauté internationale est que l’on «combat la corruption par la lutte contre la corruption» par de nouvelles campagnes anticorruption, par la création de «commissions» et organismes d’éthique et par la rédaction incessante de nouveaux décrets, lois et codes de déontologie. Dans l’ensemble, il semble que ces mesures aient peu d’effet; souvent, il s’agit d’expédients politiques adoptés en réponse aux pressions exercées sur les gouvernements pour qu’ils agissent contre la corruption, au lieu des réformes plus fondamentales et systémiques de la gouvernance qui s’imposeraient. Le coupable est le secteur public des pays en développement. Une erreur courante consiste à voir dans les déficiences du secteur public la cause unique des maux en question. La réalité est bien plus complexe, puisque de puissants intérêts privés exercent souvent une influence inopportune sur l’action publique, les institutions et les lois de l’État. Dans des cas extrêmes, des «oligarques» s’emparent des institutions publiques. Par ailleurs, beaucoup d’entreprises multinationales versent encore des pots-de-vin à l’étranger, fragilisant ainsi la gouvernance publique des économies émergentes. Le secteur non gouvernemental présente lui aussi des faiblesses. De plus, les interventions classiques dans le secteur public n’ont mené à rien parcequ’elles s’appuient sur des «remèdes» technocratiques, souvent appliqués dans le cadre d’une assistance technique fondée sur l’importation de matériel, de modèles structurels et d’experts des pays riches. Les pays ne peuvent pas faire grand-chose pour améliorer la gouvernance. Étant donné la longue liste des interventions qui se sont révélées inefficaces et le rôle souvent imputé aux facteurs historiques et culturels pour expliquer la gouvernance, il est tentant de rejoindre le camp des pessimistes. Ce serait là une erreur. D’abord, les facteurs historiques et culturels sont loin d’être déterminants prenons pour exemple les orientations divergentes, en matière de gouvernance, des pays limitrophes du Cône Sud en Amérique latine, de la péninsule coréenne, des économies en transition d’Europe de l’Est et d’Afrique australe .Ensuite, il existe des stratégies fortes prometteuses. Il peut être particulièrement efficace de promouvoir à la fois le droit à la parole et à la participation notamment par la liberté d’expression et la protection des droits de la femme et une plus grande transparence (voir encadré). Les IFI n’y peuvent quasiment rien. Certains experts du développement sont sceptiques quant à l’aptitude des IFI et des bailleurs de fonds à aider les pays à améliorer leur gouvernance parce qu’ils sont convaincus que la dimension «macro» est plus décisive, qu’ils croient à tort en un «fatalisme» historique, ou parce qu’ils pensent que les interventions nécessaires pour relever la qualité de la gouvernance sont délicates au plan politique et qu’il est donc difficile pour des tiers de les encourager. Certains domaines, comme la promotion d’élections multipartites équitables, n’entrent pas dans le cadre du mandat des IFI5. Mais il est fort possible que les IFI et les donateurs puissent participer à des initiatives visant à encourager la transparence, la liberté d’information et l’indépendance des médias, les programmes participatifs anticorruption conduits par les pays et l’égalité des sexes éléments qui n’ont pas été suffisamment mis en relief jusqu’à présent dans la lutte contre la corruption. De tels projets, complétés par un appui à la réforme ciblée d’institutions très vulnérables (qui incluent souvent les marchés publics et les services fiscaux, douaniers ou judiciaires), sont très prometteurs. L’immobilisme ne saurait répondre au défi auquel le monde est aujourd’hui confronté en matière de gouvernance et de lutte contre la corruption. Ce défi appelle une approche plus audacieuse et une responsabilité collective à l’échelle mondiale. Les pays riches ne doivent pas seulement tenir leurs promesses d’aide et de libéralisation des échanges, ils doivent aussi donner l’exemple. Les pays de l’OCDE devraient ratifier et effectivement appliquer la convention de 2003 des Nations Unies contre la corruption; et les entreprises transnationales devraient s’abstenir de verser des pots-de-vin et aider à améliorer les pratiques de gouvernance dans les pays d’accueil. Quant aux IFI et aux donateurs, il leur faut traiter sérieusement les questions de sélectivité et d’efficacité dans les programmes d’aide, au travers du prisme de la gouvernance, de manière à aider les pays à construire la capacité nécessaire pour absorber l’aide. Il sera pour cela indispensable de rehausser la transparence. Surtout, il faut que les pays eux-mêmes prennent en main l’amélioration de la gouvernance.
Définition de la corruption
On évoque souvent la corruption mais on ne le définit jamais d’une bonne manière, or la corruption est vraiment visible dans plusieurs compartiments du quotidien des Malgaches. Elle est majoritairement le fait d’une élite privée certes minoritaire qui la conceptualise, l’organise et la pérennise pour le maintenir afin d’en tirer un maximum de profit au détriment du reste de la population qui ce fait berner. L’État n’est d’aucun secours face au développement de la corruption car tout autant que le secteur privé, le secteur public est gravement gangrené car manipuler et définit par une petite bourgeoisie regrouper, rongée par la cupidité et fortement corporatiste. Des fonctionnaires qui s’approprient et règnent en maitres absolus sur les biens publics dont ils font commerce, se passant le flambeau de génération en génération, de famille en famille, de cercle de connaissance en cercle de connaissance, interdisant et décourageant toute possibilité de renouvellement d’un fonctionnariat que l’on sait pourtant irresponsable, improductif et en dégénérescence car frappé d’une forme de consanguinité. La caractéristique commune à ces différents acteurs c’est l’impunité quasi-totale dont ils bénéficient. L’inexistence d’une justice indépendante avec des magistrats et un personnel judiciaire tout aussi corrompus, ajoute à la déliquescence de la société malgache. Quant aux politiques, leur démission face à la généralisation de la corruption n’est un secret pour personne. Tout au contraire et à l’instar des fonctionnaires, entrer en politique, c’est s’offrir l’occasion d’intégrer un système bien établi de raquette en tout genre, d’achat de voix, de mercenariat et de prédation sur le bien commun et les richesses nationales. Cependant et si on veut un jour agir pour éradiquer ou tout du moins réduire l’impact de ce phénomène, il faut commencer par en connaitre les ressorts, les tenants et les aboutissants, ainsi que les conséquences qui s’avèrent être dévastatrices. L’objet de cette publication est d’éclairer l’opinion publique malgache sur ce qu’est la corruption, ces différentes facettes, et de faire prendre conscience que des solutions sont possibles, le développement du pays dépend de l’éradication de celle-ci. D’un côté nous avons à faire à une floraison de discours certes de qualité et plein de bonnes intentions mais totalement en décalage avec la réalité de la situation, des agissements et des traditions bien ancrées de la classe politique et des acteurs économiques. La collision entre ces deux mondes mus et alimentés par des intérêts communs et cimentés par la corruption, a été dévoilée au grand jour à l’occasion de marchandages politiques en vue de contrôler l’Assemblée Nationale17. Contre la corruption, il est évident que c’est ce mal endémique à Madagascar qui préside et motive toutes les interactions qu’elles soient politiques, économiques ou sociales, et maintien le pays dans les tréfonds des classements mondiaux en termes de gouvernance politique et de développement économique et social. Même si des élections ont finalement eu lieu et présentées comme la solution ultime, celles qui doivent remettre Madagascar sur le droit chemin comme partout dans le monde où il y a eu crise politique. Le véritable changement ne pourra s’opérer qu’avec l’émergence d’une alternative politique crédible, mue par des valeurs et une éthique imperméables à toutes formes de corruption, responsable et animée par un leadership au service de l’intérêt commun, garante de la séparation stricte des pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires. La corruption est l’utilisation, le détournement, la perversion abusive d’un pouvoir reçu par délégation à des fins privées comme l’enrichissement personnel ou d’un tiers (famille, ami…). Elle consiste pour toute personne qui bénéficie d’un pouvoir de décision, que ce soit un homme politique (élu), un agent public (fonctionnaire), un médecin, un juge, un arbitre sportif, un salarié d’entreprise privée…, de s’abstenir de faire ou bien de faciliter quelque chose, du fait de sa fonction, en échange d’une promesse, d’un cadeau, d’une somme d’argent, d’avantages divers.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I : CONCEPT THEORIQUE DE L’ADMINISTRATION PUBLIQUE ET DE LA CORRUPTION
Chapitre 1: des Théories sur l’administration publique
section1-La bureaucratie wébérienne
Section 2 fondement de la bureaucratie
Chapitre II : théories de dysfonctionnement administrative
Section 1 une gouvernance corrompue
Section 2-une dysfonctionnement administrative selon Michel Crozier
Section 3-La Gouvernance Publique Responsable
PARTIE II : EVOLUTION DE L’ADMINISTRATION PUBLIQUE ET DE LA CORRUPTION A MADAGASCAR
Chapitre III : Efficacité de l’administration publique malagasy
Section 1-analyse des problèmes réels de l’administration publique Malagasy
Section 2-Les défaillances réelles
Chapitre IV : La corruption à Madagascar
Section 1-définition de la corruption
Section 2-gouvernement et corruption
Section 3-la corruption et l’économie
Section 4-des idées de solution à la corruption
1-Améliorer la gouvernance
2-Information et transparence
3-Mondialisation, transparence et concurrence
4-Prévention et réformes systémiques
5-Implication citoyenne
6-Politique nationale
7- Les réformes de la transparence
CONCLUSION
Liste des tableaux
Liste des figures
BIBLIOGRAPHIE
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