Activité hyperglycémiante d’une dose unique de glibenclamide chez des rats normoglycémiques

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APPELLATIONS EN LANGUES NATIONALES [28]

HABITAT ET REPARTITION GEOGRAPHIQUE

En règle générale, les bambous ont besoin pour un développement harmonieux, de la chaleur, du soleil et de l’eau [55]. Ce qui fait qu’on retrouve O. abyssinica très répandu dans les forêts sèches et savanes boisées soudanéo-guinéen [8], souvent sur les collines ferrugineuses et arénacées ou à proximité des rivières temporaires ou des marais. Il couvre de grands domaines formant des stands grégaires localisés au Sud et Sud-Est du pays, de blocs répandus autour de leurs tabourets [3].
C’est une espèce d’Asie, d’Amérique mais autochtone en Afrique intertropicale [32]. Elle se répartit depuis l’Ouest Africain jusqu’à l’Afrique de l’Est, dans la région soudanienne et zambézienne [50]. On la retrouve également en Tanzanie, en Ethiopie, au Cameroun, au Sénégal dans les Niayes hydromorphes, dans la haute et moyenne Casamance, le Niani, le Saloum Oriental et au Sénégal Oriental [28].
La distribution est irrégulière, localement commune et généralement grégaire.
Il faudra signaler que c’est une espèce qui peut pousser dans divers sols : au bas des pentes sablonneuses ; sol à cuirasse ; dans les collines rocheuses granitiques [33].

ETUDE ETHNOBOTANIQUE

Usage alimentaire

Les jeunes pousses de Oxytenanthera abyssinica sont comestibles et font partie des confitures au gingembre [15]. Les turions cueillis très jeunes sont débarrassés de leurs gaines protectrices pour la consommation en période de famine et les grains sont utilisés comme succédané du riz en période de disette [3].
Oxytenanthera abyssinica est également utilisée dans la production d’alcool et de vin. Dans beaucoup de parties de la Tanzanie, les femmes comptent sur cette espèce pour la production de bière locale comme leur meilleure source de revenu [53].

Usage artisanal

Beaucoup d’auteurs ont mis l’accent sur l’utilisation du Bambou comme matériel de construction.

La tige ou chaume

C’est la partie la plus utilisée de la plante notamment :
– dans la fabrication des charpentes des cases, greniers et les huttes ;
– pour des échafaudages légers et solides à toute épreuve ;
– des immeubles modernes de grandes hauteurs [3] ;
– pour renforcer les murs en pise ;
– pour faire des clôtures, cannes, flûtes, pipes [3] ;
– pour faire connaître des wattlings comme crintings [54] ;
– pour tuyaux de conduites d’eau de drainage, des gouttières ;
– pour l’ameublement.

Les fibres

Elles sont utilisées :
– pour la fabrication de plusieurs types de panier pour le transport des produits tels que les tomates, des nattes [50];
– pour faire une pâte pour la fabrication du papier [15] et cet usage fut connu depuis plus de deux mille ans par les chinois, ce qui fait que sa culture ne cesse de se développer dans cette région [11].

Les rameaux

Ils sont utilisés pour faire des mèches de lampe à huiles [51].

Usage en médecine traditionnelle

Autrefois, les concrétions de chaume ou Tabaschirs jouissaient d’une grande réputation et ont été préconisées contre toute sorte de maladies [7]. C’est une plante mal connue du point de vue de ses atouts thérapeutiques. Néanmoins, l’oligurie constatée à la suite de l’absorption du décocté de feuilles fait qu’il est très apprécié par les guérisseurs dans les régions de son habitat et qu’il est prescrit dans les cas de polyurie.
Au Sénégal, les Mandingues et les Peuls utilisent cette même préparation dans les cas d’oedèmes généralisés et d’albuminurie [28].
Le décocté aqueux des tiges feuillées est utilisé en bain pour calmer les douleurs articulaires après une chute [1].
Le décocté de feuilles est également utilisé dans les coliques, les rhumatismes [3] et il semblerait aussi dans les troubles de la tension artérielle, comme antivomitif et pour les amaigrissements.

Autres usages

– Dans certains endroits, Oxytenanthera abyssinica est surtout mise en culture pour contrôler l’érosion des sols et la réhabilitation des sites dégradés [54].
– Dans les firmes de Japon, le tissu industriel contient 50 à 100 % de fibres de bambou [11].

ETUDE PHARMACOLOGIQUE [55]

La seule activité qu’on a pu trouver serait celle liée à la présence de silice.
L’extrait de bambou est riche en silice soit 70 % ou plus de silice organique.
Cette silice (Si) est à l’origine de plusieurs effets au sein de l’organisme :
– l’action antivieillissement ;
– la prévention d’ulcère d’estomac, d’arthrite et d’ostéoporose ;
– la prévention du développement de la maladie d’Alzheimer ;
– la régénération des tissus, des os ;
– dans l’affaiblissement des dents et la perte de cheveux ;
– facteur stimulateur de la croissance.

ETUDE CHIMIQUE

Au cours de nos recherches bibliographiques, nous n’avons trouvé aucun document susceptible d’apporter un peu de lumière sur ce paragraphe, d’où l’intérêt d’un screening chimique dans notre travail personnel, afin de déterminer la chimie de cette plante.

GENERALITES SUR LE DIABETE

Pour les anciens, Celse, Galien, Paul d’Eugine, le terme de diabète signifiait cachexie par flux urinaire excessif et la plupart n’y ont vu qu’une maladie des reins [10].
Le diabète est connu depuis l’antiquité. L’affection fut décrite en 1550 avant Jésus-Christ dans le manuscrit égyptien d’EBERS sous le terme « urines abondantes ».
CELSE avait décrit une maladie comportant polydypsie et polyurie [41].
Mais les premières descriptions de ARETEE De CAPPADOCE (1er Siècle avant J.C.) se limitaient à l’abondance des urines dont le caractère sucré n’a été reconnu qu’avec Thomas VILLIS en 1674 [36].
C’est à Apollinaire BOUCHARDAT, né en 1809, qu’on doit en quelle que sorte, la connaissance du diabète gras [41].

DEFINITION

L’Organisation Mondiale de la Santé ou l’OMS définit le diabète comme étant « un état d’hyperglycémie chronique de degrés variables, dus à des facteurs environnementaux et/ou génétiques agissant souvent conjointement ».
Le diabète atteint environ 2 % de la population des pays industrialisés. Ce chiffre sous-estime en fait la réalité puisque lors des campagnes de dépistage, on découvre en général un nouveau diabétique pour chaque diabétique connu.
La fréquence réelle du diabète dans ces pays se situerait donc autour de 4 % [21]. Ce qui fait qu’environ 150 à 190 millions de personnes dans le monde sont diabétiques et le diabète est la 6ème cause de mortalité aux Etats-Unis [56].
Dans ce syndrome, le sexe joue un rôle bien faible dans la prédisposition, néanmoins chez les adultes, il touche plus les hommes que les femmes et les enfants, les filles plus que les garçons. Du point de vue de l’âge, le maximum de fréquence est entre 30 – 70 ans. S’il est rare chez l’enfant, il est établi qu’il est à cet âge d’une extrême gravité.
La gravité de cette affection malgré les progrès thérapeutiques résulte des lésions dégénératives chroniques telles que les angiopathies et neuropathies [10].
Au Sénégal, le diabète prend une dimension de plus en plus importante et touche principalement les personnes appartenant à la catégorie sociale supérieure et le taux de prévalence remonte aux dernières évaluations qui datent de plus de 15 ans [56].

DIFFERENTS TYPES DE DIABETE

L’existence de deux types de diabète a été décrite à la fin du XIXème siècle par LANCEREAU ; l’une consomptive s’accompagnant d’un amaigrissement massif et rapidement mortel et l’autre d’une obésité [36].
Actuellement, on classe les diabètes en deux groupes :
● les diabètes essentiels comportant principalement selon les étiopathologies, le diabète de type I ou diabète insulino-dépendant et le diabète de type II non insulino-dépendant ;
● et les diabètes secondaires à des troubles pancréatiques, endocriniens ou iatrogènes.

Diabète insulino-dépendant (D.I.D.)

Définition

Ce diabète est également appelé « diabète sucré, juvénile, maigre ou cétosique » et est lié à une destruction auto-immune ou idiopathique de cellules-β des îlots de Lang-herans du pancréas.
Il représente 10 à 15 % des diabètes [21] et son pic se situe entre 8 et 16 ans.
La moitié des sujets atteints développeront la maladie avant l’âge de 20 ans.
Certains malades n’expriment cependant leur pathologie qu’après l’âge de 40 ans.
Il s’agit alors d’une variante de type I appelée L.A.D.A. (Latent Auto-Immune Diabetes of the Adult) [9]. Il se caractérise par une faillite de l’insulino-sécrétion s’accompagnant d’une hypersécrétion des hormones de contre-régulation glycémique (glucagon, catécholamines, cortisol, hormone de croissance) et aboutissant à l’acido-cétose [21].

Physiopathologie

Le mécanisme de destruction insulaire est mieux compris grâce en particulier à l’étude de modèles animaux de diabète qui reproduisent la nature auto-immune du diabète de type I humain. Il met en jeu, l’infiltration des ilôts de Langherans par des lymphocytes cytotoxiques.
L’auto-antigène contre lequel l’agression auto-immune est dirigée pourrait être une enzyme présente dans les cellules bêta ; la GAD (Glutamic-Acid Decarboxylase). L’effet cytotoxique passe sans doute par une sécrétion par les cellules activées de cytokines (en particulier l’interleukine-1) et la formation de radicaux libres.
Des auto-anticorps témoins de l’agression apparaissent dans le sang circulant. Ce processus conduit à une altération de la réponse insulino-sécrétrice au glucose ou mieux une mise en évidence par la diminution de l’insulino-sécrétion observée lors des premières minutes d’un test de stimulation par voie veineuse.
Le diabète apparaît cliniquement lorsqu’un pourcentage important (90 %) de la masse pancréatique endocrine a disparu. Il est possible également que l’hyperglycémie ait un effet toxique sur l’insulino-sécrétion et précipite l’apparition du diabète.
Les facteurs déclenchant du diabète peuvent aussi être génétiques, environnementaux, tels que les virus comme les virus coxsackie B4 [13], les oreillons, l’hépatite virale, la mononucléose infectieuse, cytomégalovirus, rubéole [20].
● Facteur génétique : il a pu être démontré par l’étude des antigènes HLA.
En effet, on retrouve plus fréquemment chez les diabétiques insulino-dépendants, les allèles HLA B8, B18 avec un risque relatif de 2 à 4 et les allèles HLA DR3 et DR4 avec un risque relatif de 3 à 6.
Si l’homozygotie HLA DR3-DR3 ou HLA DR3-DR4 ne modifie pas le risque relatif, l’hétérozygotie DR3-DR4 par contre, potentialise considérablement le risque relatif qui atteint 19 à 22. Le risque de devenir eux-mêmes diabétiques avant l’âge de 20 ans pour les frères et sœurs d’un diabétique est d’environ 12 % s’ils sont HLA identiques et seulement de 1 % s’ils sont HLA différents.
Le caractère héréditaire du diabète de type I est bien établi. Toutefois, le taux de concordance par le diabète de type I et de jumeaux homozygotes n’est que de 50 %. On retrouve un antécédent familial de diabète que chez 10 à 15 % des diabétiques insulino-dépendants et deux parents diabétiques de ce type n’ont que 5 à 10 % de chance d’avoir des enfants diabétiques insulino-dépendants avant l’âge de 30 ans.
● Facteurs environnementaux : dont plusieurs arguments témoignent de leur implication :
– des études épidémiologiques montrent un pic saisonnier survenant suivant le pic des épidémies virales ;
– des expérimentations animales ;
– et quelques cas où la présence de virus dans le pancréas a pu être démontrée, ainsi que son rôle diabétogène par inoculation à l’animal [20].

Signes cliniques

Le début est asymptomatique chez un sujet sans aucun antécédent familial de diabète sucré.
Au stade plus avancé, les symptômes deviennent parfaitement stéréotypés et ne laissent place à aucun doute.
Les signes cardinaux sont :
● polyurie atteignant 3 à 4 litres par jour diurne et nocturne : elle signifie une glucosurie massive (une molécule de glucose entoure 18 molécules d’eau) d’où une déshydratation ;
● polydypsie : est en rapport avec une soif vive qui témoigne la fuite hydrique et est impérieuse, insatiable et interrompue [24] ;
● polyphagie : qui n’est pas constante mais cependant d’intérêt majeur dans le diagnostic au cas de sa présence ;
● amaigrissement qui est lié à la fois à la fonte adipeuse et à la diminution de la masse musculaire et peut être ≥ 10 kg/mois, s’accompagnant d’une asthénie d’effort plus ou moins marquée.
Mais on retrouve d’autres signes moins caractéristiques tels que :
● l’intolérance digestive ;
● une hépatomégalie modérée inconstante due à l’afflux des acides gras (stéatose) [14] ;
● des signes de gravité immédiate dont :
. l’évolution vers une acidose cétosique ;
. douleurs abdominales trompeuses ;
. nausées – vomissements – céphalées avec obnubilation ;
. infections cutanéo-muqueuses et urinaires [4] ;
● des complications évolutives vasculaires ou fonctionnelles comme la micro-angiopathie touchant les petits vaisseaux de diamètre < 30 µ entraînant :
. une rétinopathie diabétique ;
. une glomérulopathie et néphropathie ;

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : RAPPELS
CHAPITRE I : GENERALITES SUR LA PLANTE
I.1. – RAPPEL BOTANIQUE
I.1.1. – Etude taxonomique
I.1.2. – Description de la plante
I.2. – APPELLATIONS VERNACULAIRES
I.3. – HABITAT ET REPARTITION GEOGRAPHIQUE
I.4. – ETUDE ETHNOBOTANIQUE
I.4.1. – Usage alimentaire
I.4.2. – Usage artisanal
I.4.2.1. – La tige ou chaume
I.4.2.2. – Les fibres
I.4.3. – Usage en médecine traditionnelle
I.4.4. – Autres usages
I.5. – ETUDE PHARMACOLOGIQUE
I.6. – ETUDE CHIMIQUE
CHAPITRE II : GENERALITES SUR LE DIABETE
II.1. – DEFINITION
II.2. – DIFFERENTS TYPES DE DIABETE
II.2.1. – Diabète insulino-dépendant (D.I.D.)
II.2.1.2. – Définition
II.2.1.2. – Physiopathologie
II.2.1.3. – Signes cliniques
II.2.2. – Diabète de type II ou non insulino-dépendant
II.2.2.1. – Définition
II.2.2.2. – Physiopathologie
II.2.2.3. – Signes cliniques
II.2.2.4. – Signes biologiques
II.2.2.5. – Complications dans les signes
II.3. – TRAITEMENT DU DIABETE
II.3.1. – Mesures hygiéno-diététiques
II.3.2. – Insulinothérapie
II.3.2.1. – L’insuline
II.3.2.2. – Type d’insuline
II.3.3. – Antidiabétiques oraux
II.3.3.1. – Les biguanides
II.3.3.2. – Les sulfamides hypoglycémiants
II.3.3.3. – Les inhibiteurs de l’alpha-glucosidase
II.3.3.4. – Les thiazolidinediones
II.3.4. – Education et surveillance
II.3.5. – Phytothérapie antidiabétique
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
I – RECOLTE ET CONSERVATION DE LA DROGUE
II – METHODES GENERALES D’ANALYSE
II.1. – SCREENING PHYTOCHIMIQUE
II.1.1. – Dépigmentation de la drogue
II.1.1.1. – Principe
II.1.1.2. – Mode opératoire
II.1.1.3. – Récupération de la poudre
II.1.2. – Recherche des flavonoïdes
II.1.2.1. – Extraction des flavonoïdes
II.1.2.2. – Réaction de caractérisation
II.1.3. – Recherche des tanins
II.1.3.1. – Extraction des tanins
II.1.3.2. – Réaction de caractérisation
II.1.3.3. – Différenciation des tanins
II.1.4. – Recherche des hétérosides anthracéniques
II.1.4.1. – Extraction des hétérosides anthracéniques
II.1.4.2. – Caractérisation par la réaction de Bornthraeger
II.1.5. – Recherche de saponosides
II.1.5.1. – Principe
II.1.5.2. – Mode opératoire
II.1.6. – Recherche des alcaloïdes
II.1.6.1. – Extraction des alcaloïdes
II.1.6.2. – Caractérisation des alcaloïdes par des réactions de précipitation
II.1.7. – Recherche des hétérosides cardiotoniques
II.1.7.1. – Extraction des hétérosides cardiotoniques
II.1.7.2. – Caractérisation
II.1.8. – Séparation et identification des tanins flavonoïdes et alcaloïdes par chromatographie sur couche mince (CCM)
II.1.8.1. – Principe de la technique
II.1.8.2. – Mode opératoire
II.2. – TESTS PHARMACOLOGIQUES
II.2.1. – Matériel et méthodes
II.2.1.1. – Matériel
II.2.1.2. – Méthodes
II.2.2. – Protocoles expérimentaux
II.2.2.1. – Mise en place de modèles de diabète
II.2.2.2. – Essais chez les rats normoglycémiques
II.2.2.3. – Essais chez les rats en hyperglycémie temporaire
II.2.2.4. – Essais chez les rats en hyperglycémie permanente
II.2.2.5. – Analyse statistique et expression des résultats
III – RESULTATS
III.1. – RESULTATS DU SCREENING PHYTOCHIMIQUE
III.1.1. – Réactions de caractérisation
III.1.2. – Chromatographie sur couche mince des flavonoïdes, tanins et alcaloïdes
III.2. – RESULTATS DES ESSAIS PHARMACOLOGIQUES
III.2.1. – Activité hyperglycémiante d’une dose unique de glibenclamide chez des rats normoglycémiques
III.2.2. – Effet sur la glycémie des extraits hexanique et hydroalcoolique chez des rats normoglycémiques
III.2.3. – Activité antidiabétique du glibenclamide sur le modèle d’hyperglycémie provoquée par voie orale
III.2.4. – Hyperglycémie provoquée par voie orale chez des rats après pré-traitement par l’extrait hydroalcoolique d’O. abyssinica
III.2.5. – Activité antidiabétique du glibenclamide par administration quotidienne per os chez des rats alloxaniques
III.2.6. – Activité antihyperglycémiante de l’extrait hydroalcoolique d’O. abyssinica par administration quotidienne per os chez des rats alloxaniques
IV – DISCUSSION
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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