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Aspects quantitatif et qualitatif
La forêt est une réserve zoologique, où des nombreuses espèces comme les oiseaux et mammifères évoluent ; certaines n’ont survécu qu’avec la création du parc. Elle est recouverte de conifères qui fournissent à la faune un habitat protégé. « Zombitse Vohibasia » abrite une flore et une faune unique, constituant des sujets exceptionnels pour les recherches scientifiques. Les êtres végétaux et animaux qui uplentpe cet écosystème forment une biocénose dans les chaines alimentaires .
Flore
La vaste forêt abrite des orchidées qui, autour dela plus grande parties fournissent à la faune un habitat sûr. Il existe des aires de nidification pour de nombreuses espèces d’oiseaux de diversité biologique, contenant diverses espècesde plantes exceptionnelles dont certaines sont endémiques .Le taux d’endémicité est très élevdans cette forêt. On peut rencontrer des familles d’acacias, de ficus, de pandanus, de baobabs….
Faune
En matière de faune, le parc offre une occasion presque unique à la rencontre d’un grand nombre d’oiseaux : 87% des espèces sont des oiseaux. C’est une opportunité relative aux ornithologues et aux amateurs d’oiseaux, avec les plus beaux oiseaux de Madagascar, 47% sont endémiques au pays et 24% sont endermiquesde la région. Dans le parc, les oiseaux sont les véritables fleurons. Certains sont endémiques au parc comme le Bulbul apperti12.De nombreuses espèces de lémuriens y sont représentéeset les plus remarquables sont les lémuriens catta, lesHapalémur, les sifakas, quisont un lémurien danseur. Différents types de reptiles stupéfiants endémiques ou non sont représentés comme le boa ; certains ont une entité biologique qui porte le nom de la région,d’un village (Caméléonbelalandenois). Les caméléons et les amphibiens ou batraciens prennent aussi une place importante. (cf. Langrand (O); 1974, Inventaire biologique dans la forêt de Zombitse)
Ces animaux forment une biocénose avec une interaction sur les chaines alimentaires. Certains d’entre eux sont en état de migrations essentielles dans des zones où ils inspirent à d’autres habitats réservés.
La composition des espèces animales et végétales permet de bien préciser le pourcentage et leur répartition dans la forêt. Nous avons émishypothèsel’13 que la couverture forestière pour les ressources naturelles est un lieu sécurisant. Les espèces endémiques préfèrent les milieux forestiers denses. (Voir schéma 01 ci-dessus).
Pour tester notre hypothèse nous avons créé une méthode de calcul: nous avons calculé à l’intérieur d’un rayon d(C1), d(C2), d(C3), d(C4). Nous avons un indice schématique qui prouve que les espèces protégées éfèrentlespr coins reliés.
Ecologie et chaine alimentaire
L’écologie rasse mble tous les mécanismes de la natureoù less êtres vivants dépenden les uns des autres. Ceu x-ci connaissent par ailleurs des aires de nidification. La paix et l’obscurité expliquent lee nom donné au parc (Zombitse Vohibasia). Les lémuriens forment une écologie dans leur chaine alimentaire bien qu’ils consomment dess fruits mûrs, des nectars, des feuilles, tandis que lees oiseaux les plus volants consomment des grains.
L’écologie et l’habitat de certaines espèces de lémuriens dépendent de la chaîne alimentaire. On peut con stater que ces espèces s’établissentaux coins des branches de façon à ce qu’une partie de l’ouuverture s’attaque aux premières branches. Elles se nourrissent des fruits et de petites herbes, d’autres cherchent leurs nourritures soit enn fouillant ou en captant des fruits. (Photo o1et 022 Fig. ci-dessus).
MÉTHODES ÉLABORÉES
APPROCHEMÉTHODOLOGIQUE
La méthode A+ nous a servi comme outil pratique et pédagogique, une méthode d’approche pluridisciplinaire localisée d’une unitésociale. Elle est fondée sur une observation sympathique et attentive.
Cette méthode, repose sur une démarche en trois phases : la consultation des documents écrits et oraux sur le thème de recherches dans les différents centres de documentation (les diverses bibliothèques locales et régionales, les bibliothèques publiques nationales, les bibliothèques privées des organisme internationaux, la bibliothèque en ligne, les fonds documentaires des services spécialisés, esl informations tirées des sites WEBS donnant lieu à l’élaboration de ce qu’on appelle la webographie, la navigation sur internet, des reportages, des films relatifs au thème, les témoignages des vieux qui ont vécu les Phénomènes,les chercheurs….). Ainsi, nous avons fr équenté :
– la bibliothèque TSIEBO Calvin,
– la bibliothèque de l’Alliance Française,
– la bibliothèque de l’Aumônerie Catholique Amala ngy,
– la bibliothèque du Service des Eaux et Forêts,
– la bibliothèque de la Maison des Paysans,
– la bibliothèque du CEDRATOM,
-Les sites WEB de l’IHSM.
Lacunes des ouvrages
Les informations contenues dans les ouvrages ne sont ni l’Evangile, ni le Coran. Nous avons apporté notre point de vue qui pourrait, quelquefois, détruire les anciennes assertions parues dans beaucoup de livres. Les résumés des ouvrages consultés et leur analyse ne nous satisfont pas entièrement. Il nous faut comprendre le contenu pour pouvoir les analyser, élaborer des fiches de lecture, d’utilisations différentes de la lecture d’un journal.
LES OUVRAGES COMMENTES
KARSENTY Alain, GIRARD Green-Foret et Marie Jérôme.
Les tentatives de mise en ordre de l’espace forestier en Afrique Centrale, Paris Université Nord Département de Géographie, 246 p
Cet ouvrage traite la différence de mise en ordre de l’écosystème forestier dans les pays occidentaux en vue de l’étude des écosystèmed’Afrique centrale tout en se référant au modèle de la métropole. Dans les pays du Nord, lesespaces sont, de façon générale, affectées, ordonnées et spécialisées. Dans un premier temps, l’ouvrage examine la notion de terres forestières en général dans les deux parties (du Nord et du Sud). L’espace forestier africain reste toujours géré par l’esprit traditionnel. Ainsi, toutes les idées portées sur cet ouvrage nous permettent de mieux comprendre la gestion forestière des communautés locales en général. La gestion de l’environnement et des ressources naturelles doit se faire en l’absence quasi générale de cadastre et avec une marchandisation imparfaite de la terre. C’est la même situation qui prévaut à Madagascar. Le pays Bara (notre zone d’étude) en est l’exemple. Il apparaît comme un caractère complémentaire de ce qui se passe dansles pays d’Afrique noire.
La gestion de l’écosystème forestier des sociétésurales reste à peu près la même dans les pays du Sud. Cependant, le droit des communautés ne devrait pas être ignoré par la législation en vigueurs.
ROSSI George, LAVIGNE Delville Philippe et NARBERU Didier, Sociétés rurales et environnement.Université de Paris,256 p
Cet ouvrage analyse la gestion des ressources naturelles et les dynamiques locales. La direction de cette étude de gestion était assurée arp Georges Rossi, LAVIGNE Delville Philippe et NARBEBURUDidier ils essaient de mettre en ordre le couple environnement /développement. Les recherches sont diversifiées ;ellescontiennent le projet de terrain à vocation environnementale. Nous avons tiré plusieur idées à propos de la gestion et l’aménagement de l’espace environnemental pour les pays sous-développés, notamment ceux de l’Afrique noire qui polarisent des problématiques théoriques et conceptuelles de notre zone d’étude.
L’ouvrage renferme plusieurs hypothèses qui constituent le fondement de l’étude des sociétés rurales. Les auteurs vont jusqu’à poser la question : comment penser la gestion de l’environnement ? Comment améliorer la qualité desinterventions environnementales ? Pour répondre à ces questions, ils ont prôné la méthodedes hypothèses. Ils estiment qu’on ne peut pas penser à la gestion de l’environnement en dehor s de l’action des sociétés qui occupent et transforment l’espace concerné.
De façon plus cruciale, les questions environnement ales posent les problèmes de vision du monde, des cultures différentes. Ils sontsouvent en profond décalage avec la façon dont les sociétés rurales perçoivent et exploitent leurs milieux. Si l’on ne considère pas ce décalage et qu’on ne se dote pas d’outils conceptuels et méthodologiques adéquats, une intervention environnementale devient une tentative, souvent inefficace, d’imposer une vision du monde spécifique. Les recherches permettent de mieux comprendre les liens dynamiques que des groupes sociaux établissent avec la nature qui les entoure. Pour comprendre la dynamique des questions environnementales, il faut un dialogue entre chercheurs opérateurs et bailleurs de fonds et des populations qui dépendent des ressources naturelles.
L’ouvrage analyse les formes locales des politiques de gestion des ressources et les situations sociales. Les organisations internationales sont les acteurs impliqués dans les situations locales. Les analyses comprennent quatre parties. Elles sont encadrées en ouverture et en conclusion par des textes de synthèse.
La première partie traite des représentations et des ordres locaux de gestion de l’espace des ressources, ainsi que des pratiques d’exploitation de ces ressources. Dans cette partie, cinq textes explorent différentes facettes de la stratégie appliquée. Ils permettent de mieux appréhender la logique paysanne de gestion des ressources.
La deuxième partie se base sur la gestion des ressources, qui est donc une gestion indispensable à prendre en compte dans la réflexion sur les stratégies de la régulation. Elle met en évidence les compétitions et conflits des régulations de l’accès à l’espace et aux ressources.
Et enfin, la troisième partie de l’ouvrage décrit esl processus de la dégradation de l’environnement et les enchaînements de causalité qui les provoquent.
En conclusion, l’objet du colloque est de permettre à des acteurs différents (chercheurs et opérateurs de développement, mais aussi différentes disciplines, sciences humaines et scientifiques de la nature) de se rencontrer et de confronter leurs points de vue et leurs
analyses sur l’environnement.
Ministère de l’Environnement et du Tourisme de Madagascar et Office National de l’Environnement, 2000, Guide sectoriel pour la réalisation d’une étude d’impact environnemental
Ce précieux document est le fruit de la collaboration du Ministère de l’Environnement et du Tourisme de Madagascar avec l’Office National de l’Environnement. Comme son titre le souligne, il s’intéresse à l’environnement. Nous ne sommes pas sans savoir que ce dernier est défini comme l’ensemble de la faune et de la flore, l’homme en est le principal centre d’intérêt.
Le travail débute par une typologie des projets éco-touristiques à Madagascar pour enfin aboutir à la gestion rationnelle de l’environ nement en allant jusqu’à exiger l’étude de toutes les facettes d’un projet d’aménagement avant de le mettre en œuvre. En effet, les aménagements sont en croissance rapide mais ils risquent, à terme, de nuire à l’environnement. C’est donc l’une des raisons pour lesquelles cette politique concrétisée par le décret MECIE joue un grand rôle, en termes de balisage, dans les aménagements éco-touristiques.
Ce document montre qu’ avant d’établir le plan de gestion environnementale, on a dressé une liste indicative des mesures d’atténuation des impacts négatifs pour les projets éco-touristiques. Dans cette liste, on n’a ignoré aucun milieu (physique, biologique et humain). Dans le cadre de la gestion environnementale, le promoteur est censé être conscient de tous les dangers y afférents et, avant tout, il doit préciser et présenter les dispositions sinon la politique qu’il adoptera pour protéger l’environnement.
À travers ce document, l’environnement se trouve pa rmi les secteurs privilégiés par l’organe étatique de la nation malgache. Cela se traduit par la promulgation et la mise en application du décret MECIE, approche analytique ; on comprend que ce décret institue l’aménagement sans pour autant détruire l’environnement, ce qui revient à dire que l’Etat vise un compromis, un équilibre entre l’homme et la nature.
Djamilati (Zouber), 2000, Dynamique de la déforestation aux environs de Zombitse Vohibasia l’exemple d’Andranomaintso , Mémoire de Maitrise de géographie à l’Université de Tuléar
C’est un document particulier pour son choix car il traite des problèmes majeurs sur l’environnement dans le Sud-ouest, en particulier des forêts de Zombitse.Dans ce mémoire auteur étudie la déforestation en tentant de mettreen évidence les obstacles majeurs à la gestion des ressources naturelles aux environs du parc national de Zombitse. Elle évoque la dégradation de l’environnement, la réduction de labiodiversité (habitat, flore et faune).
Ce mémoire nous a permis de connaître le processus de la déforestation, de ses origines, la façon avec laquelle la population a déboisé de façon durable et brutale la forêt de Zombitse.
Discussions et critiques des auteurs
Les ouvrages commentés sont constitués par des auteurs étrangers à Madagascar et d’auteurs natifs du pays. Ces auteurs remarquent qu’une action environnementale ne peut s’appuyer que sur une seule logique scientifique. Sa faisabilité repose sur la capacité à négocier des points d’intérêts communs aux différtens parties en présences, et à créer les conditions d’une convergence d’intérêts et de négociations sur les modalités de sa mise en œuvre.Selon les acteurs, les désordres apparents da ns l’environnement sont tenus pour du gaspillage des ressources naturelles. À ce propos, les organismes internationaux proposent une gestion de l’environnement fondé sur une affectation exclusive des espaces à des usages définis. Il est à noter que ces approches adoptéespar les auteurs dont nous avons commenté leurs ouvrages ont une idéologie de développement ed conservation qui se présente d’abord comme un mode de gestion de l’espace fondé sur un certain nombre de principes. Parmi ceux-ci figure la « vocation » selon laquelle les espaces occupés sont pris comme des représentations contradictoires. Sur cette idée conduisant à cette affirmation : « on se débattra pas ici des méthodes qui conduisent à évaluer la vocation des espaces mais seulement des implications d’une représentation du développementfondée sur la spéculation des espaces et les séparations radicales des usages et des activités humaines » (ROSSI George, LAVIGNE 2000) Ils ont monté sur un principe structurant lareprésentation moderne qui a la territorialité contre « le rapport forestiers » pour la gestion traditionnelle.
En Europe, dans les représentions modernes, l’espace est appréhendé d’abord comme un territoire. Sur des logiques de sociétés rurale,tandis qu’en Afrique face aux représentations géométriques, la majeure partie des zones rurales,pastorales ou forestières, le rapport des communautés rurales à l’espace est un rapport social.
En effet, nous avons choisi les ouvrages et les documents pour pouvoir retracer le chemin vers la zone d’étude. Comme disait le Coran:« l’homme doit retracer la beauté de la macro écosystème de la création divine et donne unmode d’emploi sur l’environnement rigoureux …. » 14.
DESCENTE SUR TERRAIN
Deux missions de terrain nous ont permis de décrire les différentes parties de la zone et les ressources naturelles qui pourraient être utiles (phares, endémiques et emblématiques). Nous nous sommes imprégnés dans la société concernéavant même lesenquêtes. Nous avons examiné de près le temps passé et fait une prospection. Il s’agissait de cibler les éléments clefs de la recherche et les personnes qui sont près des ressources qui pourraient être utiles. La descente sur terrain se faisait en parallèle avec les autres travaux relatifs à la réalisation de ce Projet de thèse.
Nous avons retenu le village d’Andranomaitso, l’idéal est de trouver un village desservi par une ligne régulière de taxi-brousse.
Enquêtes au niveau des villageois
Nous avons appréhendé la manière dont la sociétéllageoisevi s’inscrit dans l’espace. Dans les premiers jours de l’enquête, nous avons ét obligés de faire des rencontres discrètes avec deux ou trois notables pris au hasard. Nous avions pris la peine de nous montrer discrets pour ne pas éveiller la méfiance de nos informateurs.
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Table des matières
PREMIÈRE PARTIE : DÉMARCHE POUR ÉLABORER LE PROJET
CHAPITRE. I: PROBLÉMATIQUE ET DESCRIPTION
I.1-MISE EN SITUATION
I.1-1-Pertinence actuelle du sujet
I.1-2-Choix du sujet
I- 1-3-Genèse de la problématique
I- 1-4- Choix du site et motivation
I-1-5-Problématique locale et théorique
I- 2- DESCRIPTION
I- 2- 1 Reconnaissance géographique du milieu
I-2 -Zones d’étude et localisation
I- 2- 1-Climat, sols, hydrographie
I- 2-2-Températures, précipitations, vents
I-2- 3-Aspects quantitatif et qualitatif
I-2-3-1-Flore
I-2-3- 2-Faune
I- 2-3-3- Écologie et chaine alimentaire
CHAPITRE II : MÉTHODES ÉLABORÉES
II-1 APPROCHE MÉTHODOLOGIQUE
II-1-1 Lacunes des ouvrages
II.1-2. Les ouvrages commentés
II.1-2- 1 – KARSENTY Alain, GIRARD Green-Foret et Marie Jérôme
II- 1-2-2.- ROSSI George, LAVIGNE Delville Philippe et NARBERU Didier, Sociétés rurales et environnement. Université de Paris, 256 p
II-1-2- 3- Ministère de l’Environnement et du Tourisme de Madagascar et Office National de l’Environnement, 2000, Guide sectoriel pour la réalisation d’une étude d’impact environnemental. 178 p
II-1-3-Djamilati (Zouber), 2000, Dynamique de la déforestation aux environs de Zombitse Vohibasia l’exemple d’Andranomaintso, Mémoire de Maitrise de Géographie à l’Université de Tuléar
II-2-4-Discussions et critiques des auteurs
II-2-DESCENTE SUR TERRAIN
II-2-1-Enquêtes au niveau des villageois
II-2-2-Enquêtes au niveau des responsables
II-2-3-Observation directe
II-2-4-Problèmes rencontrés
DEUXIÈME PARTIE : SOCIÉTÉ ET ACTIVITÉS DÉGRADANT LA FORET
Chapitre iii: milieu humain
III. 1. SOCIÉTÉ
III-2-PEUPLEMENT
III-2-1- Les autochtones
III-2-2- Les migrants
III-3-DONNEES ÉCONOMIQUES
III-3-1- Elevage
III-3-2- Expansion agricole
III-4- ACTIONS PERTURBANT L’ÉCOSYSTÈME FORESTIER
III-4-1 Actions anthropiques
III-3-1 Exploitation forestière
III-3-2 Milieux fragmentés
III-5-AUX ENVIRONS DU PARC ET DES AIRES PROTÉGÉES
III-5-1-La production minière
III-5-2-Coûts écologiques
III-5-2-1- Déboisements
III-5-2-2- Catastrophes climatiques
CHAPITRE IV : STRATÉGIES DE GESTION DES RESSOURCES NATURELLES
IV-1- CRITÈRES D’INTERVENTION
IV-2 DE LA GESTION FORESTIÈRE
IV.2-1- Les directives et propositions
IV-2-2- Une solution adéquate pour deux parcelles
IV. 3. VERS UNE GESTION DU PARC ET DES AIRES PROTÉGÉES
IV-3-1- Contexte historique
IV-3- 2-Volets d’activités
IV-3- 3- Cible de conservation
IV-3-4- Plan d’aménagement et de gestion simple
IV-3-5-Création des aires protégées
IV-4- ÉCOTOURISME
IV4-1-Circuits éco-touristiques
IV 4-1-1 Le circuit Ritikala
IV 4-1-2 – Circuit Lobo
IV-4-1-3 – Circuit Velomihanto (orchidée)
IV-4-1-4 Le Circuit Mandresy
TROISIÈME PARTIE : Résultats De Premières Investigations
CHAPITRE V : LES IMPACTS DANS LA GESTION
V-1- RÉSULTAT SUR LES INTERVENTIONS DANS LA GESTION
V-1-1- Capacité de gestion
V- 1-2- Les organes de gestion dans le parc
V- 1-2-1-Les espèces endémiques et emblématiques
V-1-2-1- Protection des espèces phares
V-2- DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
V-2-1. Un développement rural
V-2-2- Identification des contraintes
V-2-2-1 contrainte de la population
V-2-2-2 Administration locale
CHAPITRE VI: MATÉRIELS, PARAMÈTRES UTILISÉS ET RETENUS POU LA THÈSE
VI-1-PRÉSENTATION DES INSTRUMENTS DE RECHERCHE
VI-1-1. Logistique de déplacement
VI-1-2-Logistiques d’équipements
VI-2-PARAMETRES UTILISES
VI-2-1 Des logiciels
VI-2-2 LE SIG (système d’information géographique)
VI-3-TECHNIQUES ET HYPOTHÈSES UTILISÉES
VI-2-1 Présentation de la technique de la grille forestière
VI-3-.1-1. Un secteur
VI-3-1-2- Un site
VI-3-1.-3 Une station
VI-4 HYPOTHÈSES RETENUES
VI-5-CALENDRIER DES ACTIVITÉS
VI-5-1 –Rapports techniques des résultats attendus
VI-5-1-1. Indication et cartographie chaque domaine
VI-5-1-2 Indication dans la description de la population et zones périphériques
VI- 5-1-3. Identification socio-économique de l’écosystème
VI-5-1-4-Indicateurs des pressions naturelles
VI-5-1-5. Travail d’enregistrement par SIG
VI-5-1-6. Superficie touchée par les aires protégées
CONCLUSION PARTIELLE
PLAN DÉTAILLÉ PROVISOIRE
BIBLIOGRAPHIE
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