Action des huiles essentielles sur la sporulation des dermatophytes

Biogenèse

L’enchaînement de trois chaînes acétyle (sous forme d’acétylCoA) donne l’acide β- hydroxy β-méthylglutarique (sous forme d’acylCoA) qui, par réduction aboutit à la libération d’acide mévalonique. Celui-ci, une fois activé, subit une déshydratation interne etune décarboxylation pour donner le pyrophosphate d’isopentényle, constituant la véritable unité isoprénique d’enchaînement ; il peut s’isomériseren pyrophosphate de géranyle (en C10) précurseur des monoterpénes.
Une molécule de pyrophosphate de géranyle peut s’unir à une nouvelle molécule de pyrophosphate d’isopentényle et donner le pyrophosphate de farnésyle (en C15), sesquiterpène auquel peut s’ajouter une nouvelle unité en C5 pour former le géranyl-géranyl pyrophosphate (diterpènes en C20). Deux molécules de pyrophosphate de farnésyle peuvent se lier pour former un triterpène, le squaléne (C30). A partir du squaléne, se formeront, d’une part les stéroïdes et d’autres part les triterpènes cycliques. (Voir fig.1).

Différents types de terpènes rencontrés dans les essences

Dans les HE, on trouve surtout des monoterpènes, quelques sesquiterpènes, rarement des diterpénes. Ces terpènes peuventêtre acycliques, monocycliques ou bicycliques. (Ils sont formés selon cet ordre dans la plante. Voir fig.2).
En général, on a un mélange d’hydrocarbures et de composés oxygénés dérivés de ces hydrocarbures. Dans certaines HE, les hydrocarbures prédominent (ex. essence de térébenthine) ;dans d’autres, la majeure partie de l’essence est constituée de composés oxygénés (l’odeur et le goût des HE sont principalement donnés par des composés oxygénés).
Parmi ces composés oxygénés, on peut noter la présence :
– D’alcools ; ex. géraniol, linalol ;
– D’esters ; ex. acétate de linalyle ;
– D’aldéhydes ; ex. citral, citronellal.
– De cétones ; ex. menthone, camphre, thyone ;
– D’éthers oxydes ; ex. eucalyptol, etc.
A noter que quelques composés (thymol, carvacrol), bien que possédant une structure aromatique, ont une origine terpénique.

Composés aromatiques dérivés du Phénylpropane

Les HE renferment aussi des composés aromatiques plus particulièrement des composés « Phénylpropanoides » dont la biogenèse est différente de celle des terpènes.

Biogenèse

Par fixation d’acide pyruvique, l’acide shikimique conduit à l’acide préphénique, précurseur de la phénylalanine,de la tyrosine et d’autres composés en C6-C3(dérivés du Phénylpropane). Sontobtenus ainsi divers composés naturels ; certains possèdent, dans leur chaîne latérale, une liaison éthylénique :
Ex : dérivés de l’acide et de l’aldéhydecinnamiques ; d’autres sont porteurs de groupements OH ou OCH3sur le cycle aromatique ; d’autres à structure en C6-C1dérivent également de la série du Phénylpropane par dégradation oxydative de la chaîne en C3(Fig. 3).

PROPRIÉTÉS PHARMACOLOGIQUES

Propriétés antibactériennes

Jansen et Al. ont mis en évidence au Rwanda en 1989, l’activité antibactérienne des HE de Ocimum gratissimum, et de Ocimum canum.
Les travaux de Cimanga en républiqueDémocratique du Congo et de Tasdjieu au Cameroun ont mis en évidence l’activité antibactérienne de l’huile essentielle de Monodora myristica. Au cours de leur étude, Cimanga et Al. ont montré qu’il existe une corrélation entre l’activité antibactérienne et la composition chimique des HE [25].

Matériel et méthode

Extraction des huiles essentielles
Les huiles ont été obtenues par hydrodistillation des feuilles à l’aide d’un distillateur de type Clevenger pendant environ 3h. Elles ont été conservées au congélateur (-8°C) avant leur utilisation pour les différents tests.
– Composition chimique des huiles essentielles
L’analyse des échantillons a été réalisée à l’aide d’un chromatographe de type Delsi 121c équipé d’une colonne CPWAX52Cb de 25m de longueur et de 0,25mm de diamètre.

Etude antibactérienne

A partir d’une culture bactérienne de 18 h sur la gélose Muller Hinton, a été réalisé un bouillon de 3 h. Celui-ci a été repiqué dans 10 ml de bouillon Muller Hinton, selon le protocole décrit par Allegrini et al [25].
Mazura et Amvam [25]ont attribué l’activité antibactérienne des HE aux composés chimiques présents dans le Tableau I. Ce tableau présente les différentes proportions de ces composéspar rapport à la composition chimique des HE. L’HE de O. gratissimum est la plus riche en composés antibactériens et antifongiques (54‚32%). Dans l’échantillon de O. canum, les α- et γterpinènes (5,94%) et l’hydrate de sabinène (5,51%) sont les plus importants composéschimiques à action antibactérienne, tandis que les HE de O.

Propriétés antifongiques

Effet du traitement par les huiles essentielles et la griséofulvine

Seize rats dont la moitiéont été contaminés par Trichophyton mentagrophytes et l’autre moitié par Microsporum canisont été répartis en deux groupes. Au cours de l’évolution mycologique des rats traités par les huiles essentielles et la griséofulvine, des examens ont été exécutés avant la thérapie et chaque semaine avant que le traitement complet ne soit achevé. . L’émulsion de 10% d’huile de thym manifeste une activité fongistatiqueet fongicide contre les deux espèces de dermatophyte. L’huile essentielle de menthe pouliot s’est révélée aussi efficace en émulsion de10% dans le traitement de ces dermatophyties que l’huile essentiellede thym. Cependant, la durée de traitement est plus longue avec les souches résistantes (M.canis). Les émulsionsde 10% d’huile de romarin ne permettent pas une guérison parfaite.
L’efficacité du traitement des lésions provoquées par les dermatophytes, par la griséofulvine (pommade dermique salicylée à 5% de griséofulvine micronisée) a été jugée sur la guérison clinique et la négativation des examens mycologiques. L’action de cet antifongique sur la dermatophytie à M. canis semble être très efficace. Cependant, son action sur l’infection à T. Mentagrophytesa donné lieu à de bons résultats après deux semaines de traitement ; toutefois, vingt jours après l’arrêt du traitement, une infection secondaire à l’infection primaire s’est amorcée sur la nuque de l’animal [23].

Activité des huiles essentielles à propriétés antifongiques sur les différentes étapes du développement des dermatophytes

La reproduction asexuée, chez les dermatophytes comme chez tous les champignons filamenteux, se déroule en trois étapes : germination des spores, élongation et ramification des filaments, sporulation. L’objectif de ce travail vise à étudier l’effet du Thym (Thymus saturejoides L.), de la menthe pouliot (Mentha pulegiumL.) et du Romarin (Rosmarinus officinalisL.), à partir deleurs huiles essentielles et leurs fractions volatiles sur la germination, la croissance mycélienne et la sporulation des dermatophytes [24].

Effet des huiles essentielles sur la germination

L’huile essentielle deThym empêche la germination de tous les dermatophytes à une concentration égale ou supérieures à 0,2%. Le même effet est obtenu avec l’essence de la menthepouliot à des proportions égales ou supérieures à 0,4%. Cependant, la même CMI (concentration minimale inhibitrice) est obtenue avec l’huile essentielle de romarin, mais avec deux souches, contrairement à la menthe pouliot où seul un petit nombre de spores de M. gypseumparvient à germer. Le Tableau III résume les résultats obtenus sur l’effet inhibiteur des huiles essentielles sur la germination des dermatophytes.

Activité de la fraction volatile des huiles essentielles sur la croissance mycélienne des dermatophytes

L’analyse des résultats (Tableaux IV à VI) relatifs à la croissance mycélienne chez les dermatophytes soumis à l’action de la fraction volatile de différentes concentrations des huiles essentielles testées permet de constater que les composés volatils de l’huile essentielle de thym exercent une action fongitoxique plus forte sur les dermatophytes par rapport aux autres essences.
En effet, la concentration égale ou supérieure à 2% d’huile essentielle de thym en microatmosphère inhibe la croissance de toutes les souches testées, à l’exception de M. canis. La concentration minimale d’inhibition de la menthe pouliot qui affecte tous les dermatophytescorrespond à 10%. La CMI relative au romarin est relativement plus faible par rapport aux autres huiles. À 10%, le taux d’inhibition de la croissance de M. canumet de M. gypseumest respectivement de 68,75 et 72%.

Propriétés irritantes (expectorantes, diurétiques)

Utilisés par voie externe, des produitscomme l’essence de térébenthine provoquent une augmentation de la microcirculation, une rubéfaction importante, une sensation de chaleur et, dans certains cas, une légère action anesthésique locale : c’est ce que l’on recherchait autrefois avec les embrocations et les onguents. Aujourd’hui, encore nombreuses sont les pommades, les crèmes ou les gels à base d’huiles essentielles destinés à soulager entorses, courbatures, claquages et autres algies articulaires ou musculaires.
Administrées par voie interne les HE déclenchent des phénomènes d’irritation à différents niveaux. Celles d’eucalyptus, de niaouli, de pin, stimulent les cellules à mucus et augmentent les mouvements de l’épithélium cilié au niveau de l’arbre bronchique. D’une façon analogue, certaines huiles essentielles peuvent, au niveau rénal, engendrer une vasodilatation, cause d’un effet diurétique, c’est le cas du genièvre [4].

Propriétés spasmolytiques et sédatives.

Les HE à anéthole, celles de beaucoup d’ombellifères, celles des menthes ou de la verveine sont réputées efficaces pour diminuer ou supprimer les spasmes gastro-intestinaux ; fréquemment elles intensifient la sécrétion gastrique d’où les qualificatifs de « digestives » et de « stomachiques » qui leur sont décernés, avec toutes les conséquences qui peuvent découler de cette « eupepsie » : amélioration de certaines insomnies, de troubles psychosomatiques divers, ce qui peut expliquer lefréquent emploi qu’en font aussi les médecines populaires.
Plusieurs HE ont un tropisme neurovégétatif et exercent une action neurosédative (lavande, mélisse) [5].

EMPLOIS DES PLANTES AROMATIQUES

DANS L’INDUSTRIE ALIMENTAIRE

Schématiquement, quatre secteurs de l’industrie alimentaire sont de grands consommateurs d’arômes :
• Les produits laitiers utilisent de nombreux arômes de fruits dans les « desserts » (yaourts, crèmes glacées), tandis que la fromagerie pour laquelle la qualité bactériologique est un critère primordial se tourne vers les plantes fraîches, déshydratées ou surgelées ;
• Les boissons non alcoolisées font appel aux HE (agrumes et menthes en premier lieu) ; les boissons alcoolisées, comme les vermouths utilisent des produits d’herboristerie ;
• Les plats cuisinés utilisent les plantes aromatiques sous toutes leurs formes ;
• La charcuterie, les sauces, vinaigres, moutardes, qui font appel à de nombreuses formes présentations des plantes aromatiques [22].
Dans de récentes études, beaucoup d’épices et leurs extraits ont été évalués pour leur activité antioxydant dans les productions alimentaires. Les plantes aromatiques et leurs huiles essentielles sont des suppléments antioxydants et antiseptiques surs pouvant empêcher une détérioration des denrées alimentaires.
Dans le romarin, plusieurs diterpènesfurent identifiées comme étant des antioxydants majeurs : rosmanol, carnosol, et l’acide carnosoïque.
Ainsi, la consommation de nourriture contenant des essences et des extraits de plantes aromatiques est attendue pour prévenir du risque demaladies causées par les radicaux libres[21].
Les produits naturels destinés aux aromes alimentaires semblent avoir l’avenir le plus prometteur : changements des habitudes, accroissement de la population, nécessité d’aromatiser les produits allégés trop fades,etc., autant defacteurs de développement [2].

Localisation et Familles botaniques des plantes à huiles essentielles de la Pharmacopée sénégalaise

Parmi les espèces à HE répertoriées dans notre étude et identifiées par les tradipraticiens, toutes ont été reconnues comme ayant des propriétés thérapeutiques par les herboristes et les tradipraticiens, Le tableau XVII dresse la liste des espèces et la localisation decertaines d’entre elles obtenue à partir des tradipraticiens.

Données ethnopharmacologiques sur les plantes à Huiles essentielles Sénégalaises

Le Tableau XVIII regroupe les 47 (quarante sept) plantes à huiles essentielles ayant fait l’objet de cette étude. Pour chaque espèce, on a mentionné les affections traitées. C’est ainsi que 100 (cent) maladies ont été répertoriées, dont les plus citées sont l’hypertension artérielle, les maux de dents, les douleursgastro-intestinales, les affections respiratoires, les hémorroïdes, le rhumatisme, les diarrhées, l’asthénie sexuelle, la baisse de la vision, l’asthénie… Les résultats des enquétes ont montré que Allium cepa, A. sativum, Azadirachta indica, Citrus aurantifolia, C. aurantium, Mentha piperita, Psidium guajava, Zingiber officinale, Lawsonia inermisont chacune une fréquence de citation égale à 100%. Annonasenegalensis, Vitex donianaont chacune 96%. Daniellia oliveri, Eucalyptus alba, E. globulus concentrent chacune 94%, Xylopia aethiopica, Cyperus articulatus92%, Ocimum basilicum90%. Eugenia caryophyllata, Fagara xanthoxyloides ont chacune 88%, Lantana camara86%,Salvadora persica 74%, Commiphora africana68%, Cymbopogon giganteus52%. Le reste est constitué par des espèces ayant une fréquence de citation inférieure à 50%.
Concernant les formes administrées, les décoctions sont les plus citées avec une fréquence de citation égale à 100 %, les macérations représentent 42 % des citations, les infusions occupent 24 %, les broyats et les poudres ont respectivement 16% et 10% des citations.
Pour les parties utilisées, les feuilles sont les plus employées avec une fréquence de citation de 100%, les racines occupent 64% des citations, les bulbes 26 %, les fruits 18 %, les rhizomes 14 %, les écorces 5%, les boutons floraux, les graines et les rameaux ontchacune 8%, 4 %, et 1%. (Tableau XVIII).
Les Annonacées sont les plus représentatives avec 8 espèces, les Rutacées, les Lamiacées et les Myrtacéessuivent avec chacune 5 espèces, les Poacées regroupent 4 espèces (tableau XVII).

CONCLUSION

En Afrique, et au Sénégal en particulier, les plantes médicinales jouissent d’une bonne réputation. La résistance decertaines maladies au traitement moderne, le coût onéreux des spécialités pharmaceutiques font que les tradipraticiens sont de plus en plus sollicités par les malades.
En médecine traditionnelle, les plantes à huiles essentielles de la pharmacopée sénégalaise sont utilisées dans le traitementde bon nombre de pathologies. En médecine moderne, des médicaments à base de ces plantes continuent de voir le jour car ils constituent une alternative face aux échecs thérapeutiques répétés.
C’est ce qui nous a poussé à faire cette étude, pour réactualiser les données ethnobotaniques de ces plantes.
Les enquêtes menées auprès des tradipraticiens et herboristes ont été effectuées sur la base d’une liste de 47 plantes à huiles essentielles qui a été obtenue à partir des ouvragesde Berhaut [3] et Kerharo [16]. Les objectifs de l’enquête sont :
– recenser les indications des plantes identifiées comme ayant des huiles essentielles.
– déterminer la situation géographiquedes plantes à l’échelle nationale.
Pour la situation géographique, les régionsde Kaolack, de Casamance, de SaintLouis, de Thiès et les jardins concentrent le plus grand nombre de plantes. Par rapport aux indications des plantes identifiées, les enquêtes montrent que leurs principales indications sont : l’hypertension artérielle, les douleurs gastrointestinales, les troubles de la sphère ORL (angine, douleur dentaire, oreillons),parasitoses intestinales, rhumatisme, asthénie sexuelle.
Certaines plantes sont particulièrement citées par les acteurs, il s’agit de :Annona senegalensis, Cymbopogon giganteus, Allium cepa, A. sativum, Azadirachta indica, Citrus aurantifolia, C. aurantium, Mentha piperita, Psidium guajava, Zingiber officinale, Vitex doniana,Daniellia oliveri, Eucalyptus alba, E. globulus, Xylopia aethiopica, Ocimum basilicum, Eugenia caryophyllata, Fagara xanthoxyloides, Salvadora persica, Lantana camara, Cyperus articulatus, Lawsonia inermis, Commiphora africana, Vetiveria nigritana.
En confrontant ces résultats avec les données de la bibliographie, il apparaît que l’usage des plantes ci- après dans la pratique traditionnelle, se justifie. En effet pour :
• Eugenia caryophyllata
Les propriétés anesthésiques, anti-inflammatoires et bactéricides attribuées à l’huile essentielle par Bruneton, consolident les usages en médecine populaire pour traiter les maux de dents et l’angine.
• Lantana camara
Ses huiles essentielles réputées être antispasmodiques et hypotensives [12], justifient l’emploi des feuilles en phytothérapie traditionnelle pour traiter l’HTA, les maux de ventre et d’estomac.
• Ocimumbasilicum
La plante est utilisée par les acteurs de la filière pour soigner l’amnésie et l’insomnie. Ces propriétés sont évoquéespar Bruneton qui l’attribue à l’huile essentielle riche en oestragol.

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE GENERALITES SUR LES PLANTES A HUILES ESSENTIELLES
I- DÉFINITION
II. COMPOSITION CHIMIQUE
II.1 Composés Terpéniques
II-2 Composés aromatiques dérivés du Phénylpropane
III- PROPRIÉTÉS PHARMACOLOGIQUES
III-1 Propriétés antibactériennes
III.2- Propriétés antifongiques
III.2.1 Effet du traitement par les huiles essentielles et la griséofulvine
III.2 .2 Activité des huiles essentielles à propriétés antifongiques sur les différentes étapes du développement des dermatophytes
III.2.2.1 Effet des huiles essentielles sur la germination
III.2.2.2 Activité de la fraction volatile des huiles essentielles sur la croissance mycélienne des dermatophytes
III.2.2.3 Action des huiles essentielles sur la sporulation des dermatophytes
III.3 Propriétés insecticides
III.3 Propriétés irritantes
III.5 Propriétés spasmolytiques et sédatives
IV- EMPLOIS DES PLANTES AROMATIQUES
DEUXIEME PARTIE ENQUETE ETHNOBOTANIQUE
I. OBJECTIFS
II. METHODOLOGIE
II.I. Etablissement de la liste des espèces
II.2. Echantillonnage (Herboristes, Tradipraticiens)
II.3. Entretiens et Calcul de la Fréquence de Citation
II.4. Difficultés rencontrées
II. 4. 1 Difficultés liées au mutisme des herboristes…
II. 4. 2 Difficultés liées aux espèces
III. RESULTATS
III.1. Considérations générales sur les acteurs de la filière des plantes médicinales
III.2. Répertoire des plantes sénégalaises à Huiles Essentielles
III. 3. Localisation et Familles botaniques des plantes à huiles essentielles de la Pharmacopée sénégalaise
III.4. Données ethnopharmacologiques sur les plantes à Huiles essentielles Sénégalaises
DISCUSSION
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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