Les concepts fondamentaux sur la périurbanisation et l’aménagement
En fait, l’aménagement du territoire contribue à la mise en valeur et au développement du territoire en mettant en compte le progrès social, l’efficacité économique, la protection de l’environnement, en améliorant des conditions de vie de la population. C’est à partir de cette loi que l’on met en œuvre les différents champs d’application, et elle permet aussi de fixer les acteurs qui entrent en jeu. Pour que les objectifs soient atteints, des outils d’aménagement à différentes échelles interviennent. Alors, cette loi devrait s’appliquer dans les pays riches et dans les pays pauvres parce qu’elle permet de mieux réaliser les différents projets d’aménagement dans le milieu urbain et dans le milieu rural. En effet depuis quelques années, notamment depuis 1950, l’urbanisation s’est accélérée et les villes nouvelles ont pris de l’importance partout dans le monde. Mais, le bilan des villes nouvelles n’est pas le même dans les pays pauvres et dans les pays riches. Dans les pays développés, ces villes possèdent une stratégie d’organisation de l’espace et ont une politique d’aménagement, les habitants ont accès à des logements moins coûteux, à de nombreux emplois tandis que dans les pays pauvres l’espace dans ces villes n’est pas maitrisé car la population est très élevée alors que le logement et les équipements sont insuffisants. Dans son ouvrage « Les villes nouvelles dans le monde », Chaline (C) parle de cette idée de ville nouvelle comme étant un outil pour une distribution des habitants et des activités pour le bon fonctionnement de l’espace. En fait, les villes nouvelles peuvent répondre aux besoins de la population notamment dans la création d’équipements. En réalité, les villes nouvelles sont très importantes car elles offrent une grande possibilité d’emploi et de logement. Pour la recherche, ce livre est intéressant parce que la maitrise et la bonne organisation de ces villes nouvelles pourraient apporter remède à la crise urbaine avec la création de nouveaux pôles de développement, en créant de grands équipements vers les périphéries.
Les enquêtes auprès des ménages
Pour le premier cas, une enquête a été menée auprès de la population locale pour savoir le niveau de vie de la population et afin de définir la moyenne du niveau de vie de la commune. Il concerne au recueil d’informations sur chaque famille enquêtée en se renseignant sur le nombre de personnes formant le ménage, leurs emplois respectifs, le niveau de scolarisation des enfants, etc. Il s’agit de connaitre les caractéristiques des ménages dans la Commune, c’està-dire savoir sur la composition du ménage avec les membres de la famille. Le nombre de ménages dans les huit Fokontany de la Commune d’Andoharanofotsy qui a été enquêté est de l’ordre de 200, soit 25 ménages par Fokontany. L’échantillonnage qui est considéré comme un modèle réduit de la population pour cette recherche est de 1,62 %. Ces enquêtes ont été menées dans les ménages des différents quartiers de chaque Fokontany de la Commune Rurale d’Andoharanofotsy, des ménages de différents niveaux de vie c’est-à-dire des ménages de niveau de vie aisé, de niveau de vie intermédiaire et de niveau de vie pauvre. Parmi ces différents quartiers, il y a ceux qui sont des quartiers résidentiels comme Malaza, Mahabo, Mahalavolona ; des quartiers intermédiaires tels que Volotara, Iavoloha, Ambohimanala ; des quartiers populeux à l’exemple d’Andoharanofotsy, Tanambao mais aussi des quartiers longeant la RN7 comme Mandrimena.
Des conditions historiques à l’origine de la croissance démographique
Les conditions historiques d’un lieu ont des répercussions sur l’implantation des populations ; l’historique de la Commune peut se résumer par son nom, Andoharanofotsy selon la toponymie veut dire littéralement à la source blanche, elle doit son nom à l’existence d’une source réputée pour la pureté de ses eaux. C’était autrefois un lieu où les gens assistaient aux champs de mars ou « matso » des militaires royales ou « miaramila » du Vakinisiaony à chaque mardi. Ensuite RADAMA I aménagea un « Kianja » dans cette zone parce qu’« A l’époque royale, chaque village avait son « Kianja » ; il mit en place le marché du samedi, situé à l’angle Nord-Est de ce Kianja qui représente l’emplacement actuel de la Gendarmerie d’Andoharanofotsy. Durant l’époque royale, un bon nombre de nobles a été affectés dans cette partie ; ces nobles finirent par se marier aux indigènes et s’installèrent à Ambohimarina, à Mahalavolona, à Morarano, à Ankadiefajoro, à Fiankinana, à Fiantsonana et à Ambohimanala. Andoharanofotsy avait des sites et monuments historiques notamment lessites entourés de fossé ou « hadivory », jadis occupé par une royauté à l’intérieur d’un « tamboho gasy » ou des murs anciens. Ces « hadivory » comme celui de Volotara qui a été le lieu d’exécution des condamnés durant la période coloniale, ces « tamboho » et le grand portail ou « vavahady vato » de Mahalavolona ont encore leur empreinte sur le paysage de la Commune. Par la suite, une des particularités de la Commune d’Andoharanofotsy est la présence du Palais Présidentiel situé à Iavoloha, un des Fokontany de la Commune. Ce palais a été construit en 1979 avec les financements des Nord-Coréens durant le régime de l’ancien Président Didier Ratsiraka lorsqu’il est arrivé au pouvoir en 1975. Le Camp militaire de Morarano a été construit en même temps que le palais10, il est composé par le Camp A (au nord) et le Camp B (au sud) correspondant actuellement aux quartiers de Soarindrana et Mangarivotra. Ce camp a été le lieu d’implantation du RESEP11, des militaires qui après la retraite ont par la suite laissé ces logements à leurs familles. Cependant cet ancien camp militaire installé à Morarano, n’existe et ne figure plus qu’au plan de masse adopté pour le morcellement des terrains provinciaux d’Antananarivo, l’existence de cet ancien camp a attiré de nombreux habitants et a renforcé l’implantation humaine dans cette commune. L’existence de la Cité Mandrimena a également provoqué l’attraction humaine à Andoharanofotsy, cette cité a fait partie du projet des 35 000 logements, est un des projets présidentiels initié au temps de l’ancien Président Didier Ratsiraka, et sa construction a été réalisée par la SEIMAD pendant les années 2000 dont les travaux d’exécution ont duré deux ans, les 110 logements de 89m2 construits ont fortement attiré les familles aisées de la ville mais aussi des populations venant d’autres provinces. Après 1950, les villes des pays en développement ont connu un accroissement démographique dû essentiellement à la montée des naissances et la réduction de la mortalité favorisées par le confort sanitaire dans les villes. La Commune d’Andoharanofotsy a connu une arrivée massive de la population à partir des années 70 ; pour cette Commune, les données démographiques disponibles sont de l’année 1993 à l’année 2014.
Une forte concentration dans les fokontany jouxtant la RN7
Cette zone fortement concentrée est une zone de très forte densité, ce sont des Fokontany ayant un grand nombre en population. Cette zone se trouve dans les zones de collines, là où la commune a commencé à se développer, elle se localise sur le long de la RN7 c’est-à-dire à l’entrée de la Commune à partir de la pharmacie RN7 jusqu’à la sortie de la Commune avec le By-pass qui est à l’origine de grands carrefours de circulation de nombreuses localité. Ainsi, la majorité des habitants se concentre sur trois principaux Fokontany à savoir le Fokontany d’Andoharanofotsy, Mahalavolona et Mahabo, mais ceci se poursuit jusqu’au Fokontany d’Iavoloha. Le Fokontany Andoharanofotsy est très peuplé, c’est le chef-lieu de la Commune il possède de nombreuses infrastructures et il présente des atouts pour les habitants surtout pour des raisons commerciales avec les divers marchés, il est le centre des activités et le plus fréquenté grâce à l’existence de banque, le bureau de la commune, la gendarmerie, la poste, le CSB II et maternité, pharmacie etc…Le Fokontany Mahalavolona est le deuxième Fokontany ayant un fort nombre de population, il abrite quelques quartiers résidentiels et quelques zones franches. Ensuite pour le Fokontany de Mahabo qui est également un Fokontany longeant la RN7, a attiré beaucoup de population notamment parce c’est un quartier très convoité à cause du cadre. Les quartiers le long de la RN7 ont connu une urbanisation plus rapide et la plupart de la population dans ces zones commence à suivre le mode de vie de la population qui vit en ville.
La présence de la RN7 et du By-Pass, des routes assez fréquentées
Dans les villes des pays en développement, des projets de construction de voies rapides ont été réalisés pour désengorger la circulation et améliorer les infrastructures routières urbaines et pour Antananarivo, l’un de ces projets est la construction du Boulevard de Tokyo ou Bypass, un axe reliant directement la RN2 à la RN7. Le By-pass a été inauguré en 2007, avec une longueur de 17,7 Km, c’est un axe routier reliant les communes périphériques d’Antananarivo et permet de contourner l’agglomération d’Antananarivo. La construction du By-Pass a eu ses portées, « le By-Pass est devenu une opportunité de développement économique et social pour les communes environnantes » notamment pour celle d’Andoharanofotsy «avec les parcelles situées le long du By-Pass qui sont devenues des objets de convoitises pour de nombreux acteurs ». Actuellement, les petites annonces de terrain à bâtir sur cet axe pullulent, les terrains dans ces espaces périphériques sont devenus très convoités : vastes plans, aisément accessibles et aérés, paysage encore marqué par des rizières. Mais encore, le By-pass devient rapidement un endroit destiné aux espaces de loisirs des citadins et pour les populations à proximité durant le week-end et les jours fériés, ainsi des centaines de gens convergent chaque dimanche vers le By-pass, qu’ils atteignent en minibus collectif, à vélo, à scooter, voire à pied pour ceux qui résident à quelques kilomètres des quartiers à proximité. Dès l’ouverture cet axe routier, de nombreuses activités à coût moyen y sont proposées avec les divers jeux forains (manèges, baby-foot, billard…), des centaines de marchands informels avec les innombrables buvettes s’y sont également regroupés. Au-delà de son but fonctionnel, le By-pass est incontestablement valorisant car il débouche à proximité du palais présidentiel à Iavoloha et est susceptible d’être emprunté par des visiteurs étrangers. Cependant, la construction du By-pass a engendré plusieurs conséquences considérables dans les zones environnantes concernées et la Commune Rurale d’Andoharanofotsy fait partie intégrante de cette situation. La Route Nationale n° 7 (RN7) ou la route du Sud est une route nationale malgache de 936 Km reliant Antananarivo à Toliara. Elle est l’axe principal du pays et relie la plupart des villes des hautes terres de Madagascar en passant par Ambatolampy, Antsirabe, Fianarantsoa, Ambalavao, Ranohira et le massif de l’Isalo avant d’atteindre Toliara. La RN7 constitue le plus important axe routier du pays par l’importance du trafic, une route assez sinueuse et vallonnée marquée par un paysage rempli de rizières, des paysages grandioses et authentiques des hautes terres avec les maisons en terre ou en bambou mais arrivé au massif de l’Isalo, la route devient plus plate. Les endroits où passe cette route ont des attraits touristiques notamment avec Ambatolampy, situé à 22 Km d’Antananarivo où le travail de la fonte des artisans a fait sa réputation. Ensuite la ville d’Antsirabe à 169 Km avec la réputation de ses sources minérales et de ses thermes ainsi que les poussepousses qui sillonnent cette ville ; le massif de l’Isalo qui est un massif constituant l’ensemble naturel le plus original de Madagascar. Tous ces endroits ont fait que la RN7 soit un des axes qui est très fréquenté dans le pays. Le By-pass et la RN7, deux axes très dynamiques pour la Commune d’Andoharanofotsy interviennent dans l’amélioration des flux des biens et de personnes. Ces routes ont un effet bénéfique pour cette Commune voire même pour la ville d’Antananarivo et le pays, elles ont permis le renforcement de la liaison intercommunale, l’augmentation de la recette par la progression des nouvelles activités commerciales au bord de ces routes. Ces deux infrastructures ont permis aux habitants de fréquenter la Commune, tout cela dans le but de contribuer au développement de la Commune, elles sont en partie à l’origine de l’augmentation de la population et à l’urbanisation de la Commune Andoharanofotsy.
La disparition progressive des rizières avec la raréfaction de logement rural dans les différents quartiers
Dans la Commune, les logements ruraux subsistent encore dans certains quartiers, ils se trouvent généralement en zone de retrait, sur les flancs de collines, entourés par la plupart du temps par des champs de cultures pluviales. Les maisons sont habituellement de type individuel caractérisées par des toits en chaume, notamment à Morarano, dans le quartier Cité Bozaka où dans les habitants peuvent cohabiter avec le bétail. L’insuffisance voire le manque d’eau potable et d’électricité accentue la mauvaise hygiène de vie dans cette zone. Parfois, dans ces logements ruraux, on retrouve également des quartiers qui sont exposés à des risques d’inondation pendant les périodes de fortes pluies : il s’agit d’une partie de Volotara, une partie d’Andoharanofotsy avec les quartiers d’Ambaniandrefana et d’Andrefantsena. Des habitations bâties dans des zones insalubres et très précaires, des quartiers sont localisés dans une plaine inondable, à proximité des rizières et des champs de culture et les quartiers populaires les logements ruraux sont également observés. Ces zones de logements ruraux sont occupées généralement par la classe moyenne et celle à faible revenu parce qu’elles sont accessibles pour ces catégories. Contrairement aux quartiers résidentiels, ces quartiers sont mal assainis, de plus, les fokontany sont plus ou moins désordonnés pourtant ils sont plus peuplés. Cependant, avec l’avancée de l’urbanisation dans la Commune, ces logements ruraux commencent à être réhabilités et subissent des transformations par les propriétaires qui veulent améliorer leur habitat. Actuellement, ces logements ruraux ont donné place à des maisons réhabilitées où la majorité des maisons dans les différents quartiers a adopté la toiture en tôle, les bâtis se sont densifiés et les styles architecturaux traditionnels malagasy n’y sont plus, une architecture partagée entre tradition et modernité, les maisons traditionnelles comportent généralement un étage et une véranda avec un balcon en bois, des murs en brique, des toits en tuile mais ce type d’habitation est de plus en plus rare avec les murs qui ont été recouverts de ciment, les murs qui sont repeints, les balcons qui sont refaits. Ainsi avec les modifications, un nouveau modèle d’architecture intègre de plus en plus le paysage de la Commune, celui des maisons modernes à toits plats et une charpente plus simplifiée. Dans le paysage au sein de la Commune, un profond changement à travers la consolidation et la modernisation du bâti sont très distinctives. En effet, l’urbanisation de cette Commune s’est manifestée par un tournant de l’espace rural à travers une large diffusion de constructions, cet espace périurbain intéresse une panoplie de ménage qui cherche à se loger dans cette Commune mais les constructions qui se sont répandues spontanément et sont insuffisamment contrôlées.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE.I ANDOHARANOFOTSY : UNE COMMUNE PERIURBAINE EN EXPANSION DE L’AGGLOMERATION D’ANTANANARIVO
CHAPITRE I LE CADRE THEORIQUE POUR LA COMPREHENSION DU PHENOMENE DE PERIURBANISATION A ANDOHARANOFOTSY
1.1 La documentation au sein de divers centres de documentation
1.1.1 Les concepts fondamentaux sur la périurbanisation et l’aménagement
1.1.2 La périurbanisation dans les pays en voie de développement
1.2 Les travaux de terrain réalisés à Andoharanofotsy
1.2.1 Les enquêtes auprès des ménages
1.2.2 Les entretiens auprès des responsables de la Commune
1.2.2.1 Les entretiens avec les présidents de Fokontany
1.2.2.2 L’entretien avec le Maire et les décideurs
CHAPITRE II : ANDOHARANOFOTSY, UNE DES COMMUNES ACTIVES DE L’AGGLOMERATION D’ANTANANARIVO
2.1 Une commune disposant d’atouts favorables à l’installation humaine
2.1.1 Des conditions physiques attirant de nouveaux habitants
2.1.2 Des conditions historiques à l’origine de la croissance démographique
2.1.3 Une inégale répartition spatiale de la population
2.1.3.1 Une forte concentration dans les fokontany jouxtant la RN7
2.1.3.2 Une faible concentration dans les fokontany profonds
2.2 Une commune accueillante
2.2.1 Le foncier : un élément attractif dans la Commune
2.2.1.1 Le plan d’urbanisme
2.2.1.2 Le coût du foncier
2.1.2.3 La présence de la RN7 et du By-Pass, des routes assez fréquentées
2.2.2 Une mutation sociale et spatiale dans la Commune d’Andoharanofotsy
2.2.2.1 De plus en plus de citadins marqués par l’apparition de villas dans les quartiers résidentiels de la Commune
2.2.2.2 La disparition progressive des rizières avec la raréfaction de logement rural dans les différents quartiers
2.3 Une fusion des secteurs d’activités dans la Commune sur un espace multifonctionnel organisé
2.3.1 La disparition progressive du secteur primaire
2.3.2 Un essor du secteur industriel avec les implantations sises dans la Commune
2.3.3 Un secteur commercial considérablement développé
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
PARTIE II : ANDOHARANOFOTSY : UNE COMMUNE RURALE NECESSITANT DES AMENAGEMENTS RATIONNELS
CHAPITRE III DES AMENAGEMENTS APPORTES PAR LA COMMUNE POUR ACCOMPAGNER SON EXPANSION
3.1 Les équipements et les infrastructures de plus en plus implantés dans la Commune
3.1.1 Une portion importante de routes carrossables
3.1.1.1 Des Fokontany pratiquement accessibles et inter reliés entre eux
3.1.1.2 De nombreux moyens de transport mis à la disposition de la population
3.1.2 Des infrastructures de base éparpillées dans chaque Fokontany
3.1.2.1 Une insuffisance en infrastructures
3.1.2.2 Une médiocrité de l’offre en infrastructures sanitaires et éducatives
3.1.3 Une organisation encore anarchique du marché
3.1.3.1 La diversification des marchés disposés au niveau de chaque Fokontany
3.1.3.2 Un marché désordonné et gênant le long de la RN7
3.1.3.3 Le « Tsenan’ny tantsaha » insuffisamment mis en valeur
3.2 Une urbanisation et une occupation de l’espace dans l’anarchie
3.2.1 Le non-respect des normes d’urbanisation
3.2.2Le grignotage et la consommation considérable d’espace
CHAPITRE IV UN ENVIRONNEMENT INEXPLOITE EN DEGRADATION ET LES PERSPECTIVES D’AMENAGEMENT ADEQUAT
4.1 Une Commune face à une importante insalubrité
4.1.1 Une gestion non maitrisée des déchets ménagers
4.1.1.1 Des ordures dispersées le long des ruelles et les bacs nuisant au paysage
4.1.1.2 Des moyens insuffisants pour une bonne organisation et une bonne gestion des déchets
4.1.2 Un système d’évacuation des eaux usées négligé par la population
4.1.3 La précarité des conditions de vie d’une couche considérable de la population de la Commune
4.2 Equilibrer l’aménagement entre les différents Fokontany au sein de la Commune
4.2.1 Un plan d’aménagement pour l’extension de la Commune Rurale d’Andoharanofotsy
4.2.2 La multiplication et la rénovation des infrastructures dans chaque Fokontany
4.2.3 Les rôles respectifs de chaque entité pour le développement de la commune
4.2.3.1 Prise de conscience des dirigeants
4.2.3.2 Prise de responsabilité de la population locale
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
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