Absence de sensibilisation et de la mobilisation sur la protection environnementale

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Notion générale sur le développement

Le terme développement est apparu en Europe après les grandes guerres. Il est expliqué par la croissance économique qui est un caractère unidimensionnel. Nous portons alors l’analyse sur un autre angle sous divers aspects tels que sociologique, anthropologique, psychologique, et environnemental. Dès lors, le développement fut considéré dans une autre problématique sur l’évolution sociale. Ce qui nous amène à définir le développement comme un grand mouvement dont le moteur est l’Homme, et dont la progression se mesure à la qualité de la vie présente et future des habitants.D’une autre manière, le développement est considéré comme un processus qui vise l’épanouissement d’un groupe social, d’une communauté ou d’une nation. En effet, cette qualité de vie se mesure par des variables qui constituent le développement de l’individu justifié par l’éducation, la santé, la nutrition, l’environnement et l’eau, l’habitat, le travail, le s infrastructures économiques et la gouvernance.
C’est dans cette trajectoire que nous nous orientons dans le monde rural en l’occurrence le développement rural. Ici, le développement rural est basé dans les zones rurales. Les activités de base sont donc axées sur l’agriculture, l’élevage et la pêche. C’est dans ce sens que le développement rural dynamique et l’effective réduction de la pauvreté sont à la base des efforts du gouvernement. Nos régions rurales vont prospérer à travers l’augmentation substantielle de la production agricole et la création de centres d’agri-business dans chaque région, et la satisfaction des besoins tels que l’irrigation, les semences, et les installations de stockage. Ces centres vont donner des formations, des expertises et de meilleures idées pour raffermir le secteur agricole.

Concept du développement durable

Du fait du phénomène de pollution, de la destruction massive de l’environnement et du problème du changement climatique, la question de la protection de l’environnement est devenue une problématique à l’échelle planétaire. Effectivement il se trouve que la création de capital afin de satisfaire un niveau de consommation toujours plus poussé a entraîné une dégradation considérable de la nature. En particulier, les écologistes fondamentalistes révèlent une certaine contradiction entre le programme de préservation de l’environnement et le développement. C’est de cet impératif de concilier économie et écologie qu’est apparu le concept de développement durable en vue de l’instauration d’un développement acceptable aussi bien pour les populations actuelles que pour leurs descendances moyennant l’évolution harmonieuse de l’environnement et du développement humain.
Le concept du développement durable apparait donc pour la première fois dans un rapport de l’UICN publié en 1980. La traduction du terme anglais « sustainable development » devrait être développement soutenable, mais l’expression développement durable lui a été préférée. Depuis le Sommet de Rio, en 1992, à la question du développement économique et social s’est adjointe celle des enjeux liés à l’environnement naturel, à savoir la diminution de la couche d’ozone, le réchauffement climatique, la perte de diversité biologique, la désertification. Il est certain que les relations entre l’économique, le social et l’environnemental a non seulement modifié la manière de penser le développement mais a aussi contribué à revoir certaines approches scientifiques et certains modes de gestion de l’environnement naturel.

L’Acteur stratégique

Le concept d’acteur stratégique s’inscrive dans l’analyse de l’individualisme méthodologique. Il prime l’individu au détriment dela société. Pour cette théorie, l’individu qui entre en relation avec ses semblables est capable d’agir rationnellement. Cet individu avec sa rationalité a plusieurs possibilités de choix, oncd son action dépend de lui-même non pas dicté par son appartenance (groupe, communauté,…). L’individualisme méthodologique explique donc le social à partir de la compréhension de l’action individuelle. Plus proche de la psychologie, on désigne souvent l’individualisme méthodologique par le terme « sociologie compréhensive ».
Parmi les grands auteurs dans l’individualisme méthodologique, on a choisi Raymond Boudon avec sa théorie d’acteur stratégique. Selon cette théorie, l’individu agit rationnellement devant une situation mais cherche des moments opportuns avant d’agir. Exemple, le politicien qui incite le peuple à se révolter devant la situation de la colère populaire causée par une dictature ou une crise. L’acteur stratégique est donc l’individu qui profite d’une situation pour avoir des intérêts personnels. Cette vision individualiste de la société a pour intention d’expliquer un fait social en comprenant l’action individuelle au lieu de se statuer à une sorte de déterminisme social, principale accusation que portent les théoriciens de l’individualisme méthodologique à ceux de l’holisme. Cette théorie d’acteur stratégique nous est importante dans la compréhension des actions individuelles en analysant les différentes stratégies des paysans dans la relation sociale paysanne et dans le travail agricole en général. Cette théorie nous aide alors à déterminer comment les paysans agissent en montrant des stratégies qui sont nécessaires à leurs propres épanouissements et dans leurs places au sein de leurs sociétés.
Pour conclure, il y a divergence entre la méthode holistique dont fait partie le matérialisme historique et le fonctionnalisme et l’individualisme méthodologique dont fait partie l’acteur stratégique. La première accentue son approche sur le système social tandis que la seconde prime la volonté individuelle. Ces différentes théories nous amènent dans le nouveau chapitre qui présente la monographie du terrain que nous avons choisi.

Milieu Humain et ces pratiques

L’espace de la région est habité par différents groupes ethniques : les Antambahoaka et les Antemoro, groupes dominants, et les Antanala et les Betsimisaraka. Les chefferies jouent un rôle important dans l’organisation et le maintien des cohésions sociales. La population de la région vit de l’agriculture et représente 90% de l’ensemble de la région de Vatvavy Fitovinany. Les politiques de développementont par le passé cherché à valoriser le potentiel écologique de la zone, en privilégiant el développement des cultures de rente au détriment des cultures vivrières. La chute des cours des matières premières (en particulier du café) a fortement affecté les revenus des familles,puis la qualité des plantations (agriculture de cueillette). Parallèlement les fortes densités démographiques dans ces milieux fragiles empêchent les familles d’agriculteurs de développerdes alternatives de diversification de la production. La Région est aujourd’hui importatrice de riz. Les vallées alluviales et les bas fonds, où les terres sont souvent inondées, favorisent les concentrations humaines. Au sein de ces écosystèmes, les finages présentent aujourd’huiune apparence très morcelée, et les superficies maîtrisées par les ménages ne satisfontplus à leurs besoins. La longueur de la période de soudure est très critique dans certaineszones.
En ce qui concerne l’agriculture, 300 000 hectares sont mis en culture dans la région. Les principales spéculations sont le riz (65 000 Ha), le manioc (53 000 Ha), le café (56 000 Ha), la banane (16 000 Ha), la canne à sucre (9 500 Ha), l’ananas (1 500 Ha), le letchi et le girofle (respectivement 3 000 ha)3. Les cultures fruitières sont particulièrement affectées par l’étroitesse du marché et l’absence d’unités artisanales ou industrielles de transformation.
L’élevage bovin extensif est faiblement développé environ( 50 000 têtes) ; cela reflète le niveau de pauvreté des ménages agricoles.

Conséquences ou impacts

La constitution des jeunes à charge parentale, leur chômage et l’illettrisme ont des impacts sur le niveau de vie des familles surtout des familles qui n’ont pas des terrains cultivables. Notons d’abord que les jeunes qui sont considérés comme des actifs doivent avant tout aider leurs parents pour subvenir aux besoins quotidiens de leur famille. Mais pour les raisons que nous avons évoquées ci-dessus, les jeunes deviennent des fardeaux pour leurs parents. Ce qui entraîne la vulnérabilité des familles qui souffrent parfois de l’insuffisance alimentaire. Puis en matière de santé,la surpopulation dans un ménage rend la vie dans un foyer insupportable. Et que lorsqu’un de membre de la famille tombe malade, seul les parents s’occupent de tout (le frais de l’hospitalisation lorsque la maladie est très grave). Tout cela nous montre que les parents font tous sans aucune contribution des jeunes qui doivent leurs aider. Toutefois, ces situations ne font que rendre vulnérable les paysans qui vivent déjà dans la misère. Le chômage des jeunes et leur dépendance à leurs parents ne font donc qu’empirer la situation familiale.
Parfois, pour échapper à cette situation de vulnérabilité, les jeunes chômeurs quittent leur village pour chercher des travaux dans les périphéries ou dans la ville plus loin. Nous jugeons ces initiatives « d’à risque » car l’expérience nous montre l’échec de ces jeunes qui ne trouvent pas des emplois à cause de leur inexper tise, de leur niveau d’instruction qui est très bas. Parmi nos enquêtés, il y a 6 jeunes qui nto tenté de faire un exode rural. Mais lorsqu’ils sont arrivés dans d’autres localités, ils sont rejettés par leur famille ou leur ami d’accueil car ils n’arrivent pas à trouver des activités rémunératrices. Tant de fois, le retour dans le village d’origine constitue une honte pour les jeunes et un désespoir pour les parents qui ont cru que l’exode de leurs jeunes enfants pourrait les aider à subvenir à leurs besoins familiaux.
Enfin, le chômage des jeunes et leur illettrisme on t des impacts sur l’environnement. Les jeunes qui n’ont pas des travaux choisissent de travailler dans l’exploitation des forêts en faisant des charbons de bois, des bois de réchauffement ou « Kitay na Hazomaty » et font des petites cultures à base de « Tavy » ou culture sur brûlis. Puisque dans la Commune Rurale de Tsaravary, l’électricité n’est pas à la portée de out le monde ; le charbon de bois et le bois de réchauffement est très repandus. Comme logique dans une société, une forte demande entraîne toujours une prolifération d’un métier qui est considérée comme néfaste pour l’environnement. A Tsaravary, beaucoup de jeunes s’ exercent dans l’exploitation des forêts. Le problème c’est que ces travaux sont illicites (informels) et sont inconscients du rapport entre l’environnement et le travail agricole. Par exemple les jeunes ne savent même pas que la coupure des arbres entraîne la sècheresse et l’érosion du sol qui vont affecter la production. Pour ces jeunes, seul l’argent compte et puis, ils n’ont pas d’autres métiers que l’exploitation de la forêt et qu’ils n’ont l’intention de renoncer à ce métier. Il y a des moments où ces jeunes se heurtent à des gardes forêts qui les pourchassent et les sanctionnent même. Ces genres d’initiatives sont conçus par les jeunes comme une sorte d’abus de pouvoir. Selon leur conception, la nature appartient à tous incluant la forêt ; n’importe qui a le droit de l’exploiter. Dans ce même raisonnement, vouloir interdire l’exploitation de la forêt constitue une violation des droits des populations vivant directement de l’exploitation forestière. En ayant parlé des facteurs fonciers et éducatifs veca leurs impacts sur la prise de responsabilité parentale et les jeunes, nous allons voir les manifestations de l’absence de la prise de responsabilité à travers le problème de dépendance.

Manifestation de l’absence de la prise de responsabilité.

La dépendance est surtout un problème psychologique qui amène quelqu’un à ne pas agir qu’avec le soutien ou l’aide d’une autre personne. Nous voulons mettre en évidence que la dépendance peut être conçue comme une absence de la prise de responsabilité et que ce sont les dépendants qui sont victimes de leurs irresponsabilités.

Dépendance des paysans vis-à-vis des autorités

Devant leurs vulnérabilités, les paysans ne trouvent plus d’autres solutions à leurs problèmes que de dépendre des autorités (les lélusocaux ou des représentants étatiques). En matière de travail agricole, les paysans font des petits travaux agricoles destinés à être vendus au marché local et sollicitent les autorités à leursubventionner dans l’achat des engrais et des semences. Les paysans affirment qu’ils n’ont pas le moyen d’acheter les choses très utiles à la production agricole et pensent que l’Etat avec ses représentants et les autorités puissent les aider. Ce genre de situation est aussi accentué pardes promesses électorales car des candidats, à des élections (Communales, législatives, etc.), promettent aux paysans de l’aide et les offrent des matériaux agricoles (entre autre la brouette, charrue, etc.). Les paysans ont toujours donc cette idée d’ « Etat providence » (l’Etat qui peut les aider dans leurs problèmes). Même si à plusieurs reprises, les paysans sont déçus par des promesses électorales, ils affirment toujours leur dépendance vis-à-vis des personnalités politiques et des autorités.

Dépendance des jeunes vis-à-vis des parents .

Les jeunes dépendent beaucoup de leurs parents carune majorité d’entre eux n’ont pas encore de métier rémunérateur. Le problème du travail semble expliquer cette dépendance aggravé par l’illettrisme et le bas niveau d’instruction. En matière de situation matrimoniale, les jeunes qui ont fondé une famille résident encor dans le foyer parental et partagent les mêmes repas avec les autres membres de la famille. Dans la majeure partie des cas, la dépendance est surtout causée par la durée de l’affection parentale, en l’occurrence l’affection maternelle. Les mères préfèrent garde leurs jeunes enfants dans le même foyer de peur de les voir souffrir dans la vie paysanne. Les parents justifient même cette situation par la responsabilité interrompue des parents devant leurs enfants. Les parents doivent assister leurs enfants jusqu’à ce qu’ils soient susceptibles de prendre en main leurs destinées. Cette conditionnalité se mesure parfois par l’obtention d’un travail avec lequel l’enfant (dite jeune) peut acheter un terrain à cultiver ou à bâtir un foyer. Les jeunes qui sont éduqués dans cette « éternelle assistance » n’osent quitter le foyer parental que lorsqu’ils ont pu trouver de l’emploi ou qu’il soit très urgent de faire la séparation avec les parents (en cas de difficulté majeure des parents ou en cas de dispute avec les parents).

Dépendance des paysans à l’exploitation forestière et l’environnement.

La destruction de l’environnement devient une échappatoire face aux problèmes que vivent les paysans. Tous travaux de constructions nécessitent l’exploitation des forêts. Puis, il y a l’utilisation du charbon de bois et des bois de réchauffement pour le besoin quotidien de cuisson. Mais en matière de travail agricole, le problème foncier entraîne de nouveaux problèmes de cultures sur brûlis et de défrichement. Les paysans qui n’ont pas de terrain cultivable tentent de chercher des terrains inhabités pour en faire des cultures sur brûlis et vont jusqu’à couper des arbres dans des forêts plus proches pour avoir des nouveaux terrains à cultiver et à faire paître leur bêtes. Cette dépendance des paysans vis-à-vis de l’environnement et cette recherche d’autres terrains cultivables rendre souvent la terre infertile à cause des érosions et de la sècheresse, et constituent une menace pour l’environnement local. Notons tout d’abord que le travail agricole dépend surtout de l’environnement, à vrai dire du bien-être environnemental. Mais souvent, ces exploitations qui tendent à devenir une surexploitation se sont déjà retentis dans le quotidien des paysans en ne parlant que des problèmes de précipitation et de la sècheresse. Les paysans se plaignent de la rareté de la pluviosité et de la dégradation des sols. A la Commune Rurale de Tsaravary, les forêts autrefois intenses tendent à disparaître à cause du « tavy » et du défrichemen t. Et cela a des répercussions sur le travail agricole et peut aussi expliquer la faiblesse production qui touche le niveau de revenu des paysans.
En se situant sur des analyses globalisantes, nous avons avancé les divers problèmes de dépendance. Dans l’intitulé qui va suivre, nous allons parler du problème de l’individualisme et de la résignation des paysans.

L’individualisme et la résignation.

Le fait plus marquant dans le contexte de la non prise de responsabilité des paysans est l’individualisme ou l’action individuelle menée par chaque paysan. Devant leurs problèmes, les paysans ont du mal à créer une coordination entre eux. L’heure est donc à ce fameux terme « chacun pour soi ». Les paysans enquêtés racontentqu’i y a eu des moments où le travail agricole s’est fait mutuellement à l’aide du « vali n-tànana ». Cela consiste à s’organiser pour le travail d’un champ d’un paysan qui fait la deman de et que la réciprocité est la règle primordiale. Mais lorsque les problèmes fonciers surviennent, ils bouleversent le niveau de vie de chaque paysan car il empêche de réunir d’autres paysans en raison de la nécessité de préparer un repas pour les intervenants ; cette initiative a perdu sa valeur sociale. Les paysans ont aussi accordé une valeur importante à la monétarisation du travail autrefois qui a pris la forme de « don contre don ». Et cela a entraîné une réticence réciproque entre eux et parvienne à une individualisation de leur interacti on. Seuls les personnes vulnérables, soient ils vendent leurs forces de travail ou ils travaillent leurs terrains avec leur propre moyen qui est très rude (des matériaux archaïques).
La situation de vulnérabilité des paysans les entraîne parfois à une sorte de résignation. Dans ce cas, la vulnérabilité est conçue comme unefatalité et des paysans restent pessimistes quant à la possibilité d’une amélioration de leurs conditions de vie. La résignation peut s’observer par le manque d’initiative personnelle p our chercher d’autres activités susceptibles d’apporter de l’argent au foyer. Nombreux paysans s e contentent des petits travaux des champs dans lesquels les produits sont autoconsommé sans possibilité de les vendre sur le marché. D’autres font des vanneries, des produits qui n’apportent pas beaucoup de revenus mais très répandus parmi les paysans de la CommuneRurale de Tsaravary. Puis, il y a le problème foncier où des pseudos-propriétaires entrent en litige avec les paysans. Ces derniers n’osent pas cultiver les champs qui se trouvent dans leur habitation. Ils affirment que vouloir cultiver sur ces champs ne font qu’intensifier leur litige avec les pseudos-propriétaires fonciers ; et les paysans préfèrent seulement d’y habiter au lieu de cultiver la terre jusqu’à ce que la justice tranche l’affaire. Dans ce cas, les champs sont vidés de leurs activités agricoles sans être travaillés par les paysans. Ces genres desituation constituent un casse-tête pour la population locale. Etant vu le problème de sous-production et de la famine, plusieurs champs fertiles restent non cultivables. Par conséquent, les paysans de la Commune Rurale de Tsaravary qui subissent ces problèmes sont accusésd’être des oisifs. Pour conclure, le problème foncier entre ceux qui possèdent des terrains et ceux qui n’en ont pas constituent une différenciation dans la prise de responsabilité paysanne et ont des impacts sur le revenu des paysans. Puis en matière de l’éducation, l’illettrisme associé avec le chômage entraînent les jeunes dans un état d’éternel assisté. Enfin, en parlant des manifestations de l’absence de la prise de responsabilité, nous avons constaté qu’il y a diverses dépendances des paysans vis-à-vis des autorités et de l’environnement et que la vulnérabilité des paysans crée une individualisatiode la société et une sorte de résignation des paysans. Ceci nous amène directement au chapitre suivant dans lequel nous faisons des approches critiques en matière du problème foncier,l’éducation, la politique communale des jeunes et l’absence de la sensibilisation.

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Table des matières

PREMIERE PARTIE : CADRE THEORIQUES DE DE LA RECHERCHE
CHAPITRE I : DEFINITIONS DES CONCEPTS.
SECTION 1 : Responsabilité…
A – Notion générale sur la responsabilité.
B – Prise de responsabilité.
C – Responsabilité paysanne.
SECTION 2 : Développement durable .
A – Notion générale sur le développement.
B – Concept du développement durable.
CHAPITRE II : APPROCHES THEORIQUES
SECTION 1 : Le matérialisme historique et le fonctionnalisme.
A – Le matérialisme historique
B – Le fonctionnalisme.
SECTION 2 : l’Acteur stratégique
CHAPITRE III : MONOGRAPHIE
SECTION 1 : La Région de Vatovavy Fitovinany.
A – Milieu physique.
B – Milieu Humain et ces pratiques
C – Les différentes infrastructures dans la région
SECTION 2 : La Commune Rurale de Tsaravary.
A – Milieu physique et Humain
B – Les infrastructures
DEUXIEME PARTIE : PAYSANS DE LA COMMUNE RURALE DE TSARAVARY ET PRISE DE RESPONSABILITE.
CHAPITRE IV : ABSENCE DE LA PRISE DE RESPONSABILITE.
SECTION 1 : Facteurs et Impacts.
A – Facteurs fonciers et Impacts
B – Facteurs éducatifs et Impacts
SECTION 2 : Manifestation de l’absence de la prise de responsabilité.
A – Le problème de dépendance
B – L’individualisme et la résignation.
CHAPITRE V : APPROCHES CRITIQUES.
SECTION 1 : Sur le plan foncier et la prise de responsabilité
SECTION 2 : Sur l’éducation et la politique communale des jeunes.
SECTION 3 : Absence de sensibilisation et de la mobilisation sur la protection environnementale.
TROISIEME PARTIE : SUGGESTIONS ET PERSPECTIVES D’AVENIR.
CHAPITRE VI : SUGGESTIONS.
SECTION 1 : Titre vert
SECTION 2 : Facilitation des procédures de la titularisation de terre
SECTION 3 : Politique de l’éducation sur la prise de responsabilité paysanne.
CHAPITRE VII : PERSPECTIVES D’AVENIR.
SECTION 1 : Politique éducative contextualisée dans la ruralité.
SECTION 2 : Projet d’amélioration des situations des jeunes et des paysans.
CONCLUSION GENERALE.
BIBLIOGRAPHIE

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