SCHNEIDER SUZANNE EMILIE : (8 janvier 1813 – 3 août 1875).
Son épouse est Suzanne Emilie SCHNEIDER. Sur l’acte de mariage elle est signalé « née à Dompierre, (Charente Inférieure) ». L’intérêt de cehe localisation c’est qu’elle est ancienne. Après recherches, il faut comprendre qu’il s’agit du département de la Charente-Mari:me, et que la commune est Dompierre sur mer, sachant que sans précision, j’ai dû chercher en premier sur Dompierre sur Charente, qui est une autre commune. C’est bien sur la première que je la trouve dans le registre des tables décennales de la collection du greffe de 1813 – 1822, à la cote 5 E 376, mais en explorant les tables décennales de 1793 à 1902 de la collection du greffe je ne trouve aucune autre naissance, pas de mariage, ni décès concernant la famille SCHNEIDER.
Les Parents de Suzanne SCHNEIDER
Je découvre trois actes de décès d’un Jacques SCHNEIDER dans les fichiers reconstués. Le premier dans le X me arrondissement, acte N°1239, décès le 28 février 1840, le second également dans le X me arrondissement, acte N°1339, décès le 20 mars 1847, et le troisième à La Villehe en date du 2 juin 1859.
Mais à ce jour, malgré les demandes aux archives de Paris, je n’ai pas eu de retour. Jacques SCHNEIDER est gendarme sur l’acte de naissance de sa fille, il a 33 ans et il est na:f de la commune d’Andolsheim dans le Haut-Rhin. Les recherches s’orientent donc dans cehe commune et j’en déduis que s’il a 33 ans en 1813, il serait donc né vers 1780. Mais en ligne les archives du Haut-Rhin concernant Andolsheim ne proposent la numérisa:on qu’à par:r de 1793. Je me tourne vers le site internet « Geneanet », qui propose l’arbre généalogique de Monsieur Richard Schneider, qui indique la naissance d’un Jean Jacques Schneider le 11 avril 1779 à Andolsheim, mais qui reprend ensuite mes propres recherches sur les descendances et son épouse. Si je me base sur cehe informa:on, il pourrait bien être celui que je cherche, la date correspond à peu près. Mais la difficulté s’accroit car je ne trouve aucun mariage entre ce Jean Jacques SCHNEIDER et celle qui est son épouse Caroline Wilhemine Louise FORSTER, men:onnée sur l’acte de mariage de sa fille et sur son acte de naissance. Après avoir étudié les registres de la commune d’Andolsheim et finalement en explorant les fichiers recons:tués de Paris, je ne trouve qu’un seul indice dans ces derniers. Une fiche de décès à son nom.
PICAULT ANDRE EMILE LOUIS (24/08/1833 – 14/03/1922)
DENIS ANDRE PICAULT et SUZANNE EMILIE SCHNEIDER auront deux enfants :
– PICAULT ANDRE EMILE LOUIS (qui suit).
– PICAULT EDOUARD FELIX (1835 – 1872). : Il est né le 10 septembre 1835 à Paris XIV, décès le 28 décembre 1872 à Paris IV, de profession garnisseur de registres, pape:er, relieur. Il épouse en première noce (avant 1856, lieu non trouvé) Metez Victoire Amélie née le 21 avril 1835 (1) à Paris (arrondissement non précisé), décès le 15 août 1858 (2) à Paris IV. Il épouse en seconde noces le 28 septembre 1872 (3) à Paris IV Colson Hortense Augus:ne née le 5 février 1840 à La Fére – Champenoise (4) dans la Marne, décès le 19 mars 1902 (5) à Paris XX.
André Emile Louis PICAULT est né le 24 août 1833 à Paris VI. Je trouve une référence dans les fichiers recontués, une nouvelle fois. J’établis une demande écrite aux Archives de Paris pour obtenir un acte de naissance. En plus du fichier reconstué récupéré en ligne, je reçois plusieurs documents. Un acte de naissance rétabli en vertu de la loi du 12 février 1872, par la 6 me sec:on de la commission dans la séance du 7 février 1874, un acte de naissance établi par André Emile Louis lui-même, certainement devant notaire, et son acte de baptême extrait du registre de l’église des Billehes de l’église évangélique de la confession d’Augsbourg à Paris. Le cloître et l’église des Billehes est une paroisse protestante luthérienne située 24, rue des Archives dans le IVᵉ arrondissement de Paris. Elle est rahachée à l’Église protestante unie de France.
« En 1802, par les Ar:cles organiques, Napoléon Bonaparte, Premier Consul, avait autorisé les cultes protestants réformé et luthérien. L’Alsace et le Pays de Montbéliard purent conserver le statut propre à leur Église : consistoires locaux groupés en inspec:ons, dirigées par des pasteurs inspecteurs ecclésiasques, assistés par des laïcs, et supervisées par un consistoire supérieur créé à Strasbourg, dont le président était nommé par l’État. Ainsi, contrairement aux réformés, les luthériens bénéficiaient d’une Église de la Confession d’Augsbourg unifiée.
A Paris, il n’y avait plus de culte luthérien depuis que Napoléon avait fermé en 1806 la chapelle de l’ambassade de Suède, dans laquelle on célébrait le culte depuis 1626. En arguant qu’il y avait quelques 10 000 luthériens à Paris, et avec l’insistance du général Rapp, une demande fut adressée à l’empereur qui, par un décret de 1808, établit l’Église consistoriale de Paris, dépendant du Temple-Neuf de Strasbourg, et lui ahribua l’église des Billehes. C’est en 1853 que l’Église de Paris devint une Inspec:on. ».
André Emile Louis PICAULT grandit chez ses parents au N° 7 rue Perrin Gasselin, qui est une ancienne rue de Paris du 4 me arrondissement qui disparait dans les années 1850 lors du percement de la rue de Rivoli et de l’élargissement de la rue Saint Denis (Sources : Wikipédia). Puis ils habiteront au N°21 rue Parmen:er du XI me arrondissement de Paris. Après une bonne scolarité et doué pour les arts, il intègre l’école Royale Spéciale de dessin, puis l’école des Beaux Arts de Nancy où il est l’élève de l’enseignant et peintre renommé Henri Paul Royer. Il se tourne vers la sculpture, plate puis par:culièrement le bronze. Il épouse en 1861 à Paris XI, Elisabeth Adolphine Louise Boltze. Ils habiteront à Saint-Mandé au N°46 rue Herbillon. De part ses talents reconnus et aidés par son enseignant il expose au Salon de peinture et de sculpture de Paris de 1863 à 1914. Il est l’auteur du Monument à Joseph Lakanal érigé à Foix en 1882. Il ob:ent une men:on honorable au Salon en 1883. Son oeuvre est très prolifique et inspirée par le Moyen-Âge, l’art troubadour, les personnalités historiques, les personnages de fic:on et surtout les sujets allégoriques, et les figures guerrières inspirées des héros de la mythologie. Il a réalisé de nombreuses édi:ons en bronze qui font le bonheur des amateurs et des colleconneurs, par la fonderie Susse, Collin ou Houdebine, ainsi que la société des Bronzes de Paris. Il fait aussi des objets d’art types horloges, encriers ou médaillons, et des objets en régule. C’est un des ar:stes les plus prolixe du courant néo-baroque français. Ils auront trois enfants. André Emile Louis décède le 24 août 1922 à Paris XIV. On le trouve dans le dic:onnaire « Bénézit » qui est un ouvrage de référence des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs du monde. Parmi ses oeuvres les plus renommées, nous avons Ambroise Paré (1864), le Cid (1886), Persée (1880), le Supplice de Tantale (1867), le Génie du progrès (1885). Dans les collec:ons publiques, ses oeuvres sont exposées à Chambéry, au Musée des beaux-arts, à Clermond-Ferrand, au Musée d’art Roger Quillot, à Escaudain, au Musée de la mine et des tradi:ons populaires, à Gray au Musée Baron Mar:n, à Maubeuge au Musée Henri Boez, à Troyes au Musée des beaux-arts, à Clèves en Allemagne et à Sao Paulo à la Pinacothèque de l’Etat, à Morlanwelz au Musée royal de Mariemont. (Informa:ons archives personnelles et Wikipédia).
Famille BOLTZE
Les actes de mariage, de baptême et de décès d’Elisabeth sont formels, la famille Boltze est d’origine allemande. On devine sans doute là l’obédience protestante de la famille. Les allemands qui viennent en France à par:r des années 1820 sont en grand nombre des paysans et des artisans. On le remarque dans les actes qui nous concernent, le père et les témoins sont ébénistes. Ils sont plusieurs milliers à choisir la France pour fuir l’autoritarisme de leur gouvernement. En France en 1848, ils vont contribuer à la révolu:on des ouvriers du Faubourg Saint-Antoine. La population allemande est donc faite à la fois d’hommes venus de leur plein gré pour mehre en valeur leur savoir faire, et d’autres qui sont des politiques ou des religieux bannis de leur patrie. (1).
Elisabeth Adolphine Louise Boltze est la fille de Boltze Jean Henry né le 3 novembre 1837 à Brunswick (ville du district de Hanovre du Nord de l’Allemagne située dans le Land de Basse-Saxe) (2), décès le 21 septembre 1875 à Paris X (3), et de Catherine Elisabeth Maurer née le 19 octobre 1812 à Deux-Ponts en Bavière (en allemand Zweibruecken-Verha-Winklès) (4), décès le 14 février 1886 à Paris XIX (5).
De plus je trouve le fichier du mariage des parents en ligne à la cote Mariages, V3E/M 99. Après une demande par courrier aux archives de Paris, je reçois l’acte de mariage qui grâce au registre du notaire Maitre Carré a pu être recons:tué le 24 mai 1873, qui est l’acte authentique d’une dona:on reçue le 6 mars 1861. Ce document permet de connaitre également les grands parents respectifs qui habitent tous au N°177 du faubourg Saint-Antoine dans le VIII me arrondissement. Mais les témoins également.
Transcription de l’acte de mariage
« Extrait du registre de mariage de la Mairie du 8 me arrondissement (année 1839).
Du vingt quatre août mil huit cent trente neuf à midi un quart. Acte de mariage de Jean Henri Boltze, ébéniste agé de plus de trente et un ans et neuf mois, né à Brunswick (Hanovre) le trois novembre mil huit cent trente sept, demeurant à Paris, rue faubourg St Antoine n°117, huiLème arrondissement, fils majeur des défunts Jean Henri Boltze et Dorothée Schilze, son épouse. Et de Catherine Elisabeth Maurer, cuisinière, âgée de près de vingt sept ans, née à Deux Ponts (Bavière), le dix neuf octobre mil huit cent douze, et demeurant à Paris, rue du faubourg St Antoinen°117, huiLème arrondissement, fille majeure des défunts Philippe Maurer et Catherine Schneider, son épouse. Les actes signés par les contractants sont actes de naissance, par eux et par nous paraphés, et le cerLficat d’affiche et de publicaLon du présent mariage faites au 8 me arrondissement les dimanches neuf et seize juin, présente année, desquels nous avons…
Transcription de l’acte de mariage
…Donné lecture, ainsi que du chapitre six du Ltre du mariage sur les droits et devoirs respecLfs des époux.
Le dit Jean Henri Boltze a déclaré prendre Catherine Elisabeth Maurer, pour épouse, et Jean Henri Boltze, pour époux.
En présence de Adolphe Druckey, ébéniste, demeurant rue du faubourg St Antoine n°107, agé de trente quatre ans, ami ; de Henri Gaus, (3 mots barrés), ébéniste, demeurant même rue n°117, agé de vingt huit ans, ami ; de Guillaume Weherbein, ébéniste, demeurant susdite rue n°107, agé de trente trois ans, ami.
Conformément à l’avis du Conseil d’Etat du vingt sept messidor an treize, il a été aPesté par serment entre nos mains par les époux et les témoins, que leurs pères et mères et leurs aïeux paternels et maternels sont décédés ; qu’ils en ignorent l’époque et le lieu de leur denier domicile.
Et de suite, nous Officier de l’Etat civil, aPendu qu’il n’est pas survenu d’opposiLon, avons prononcé publiquement en l’hôtel de la Mairie, qu’au nom de la loi, Jean Henri Boltze, et Catherine Elisabeth Maurer sont unis par le mariage.
Les époux et les témoins ont signé avec nous, après lecture faite : signé : Boltze, Maurer, Druckey, Gaus, Werhrbein, Schneider et Irast adjoint.
Le présent extrait cerLfié conforme au registre et délivré par nous, Maire du huiLème arrondissement de Paris, le sept avril mil huit cent quarante huit.
Signé : Marche (adjoint). »
Les enfants de PICAULT André Emile Louis et BOLTZE Elisabeth Adolphine Louise
Que se soit pour les enfants de la famille Boltze ou pour les enfants Picault, André Emile Louis sera le plus souvent témoin des actes, comme par exemple au second mariage de Boltze Elisabeth Charlohe Adrienne où il est même nommé « officier d’académie ». Avec son épouse ils auront donc trois enfants dont deux auront des descendances et bien sur une qui va rejoindre ma grand mère. Mais je vais plutôt m’ahacher plus par:culièrement à étudier Edmond Marcel Picault. Pour les recherches, j’ai poursuivi par les tables décennales et les tables annuelles disponibles en ligne sur les AD de Paris, et au fil des recherches je m’engage vers des documents moins u:lisés sur Paris, et ensuite en explorant les archives de la commune de Saint-Mandé dans le Val de Marne.
Les enfants :
1 – Picault Louise Berthe est née le 25 novembre 1862 à Paris XI (1), décès le 12 juillet 1909 à Montrouge dans les Hauts de Seine (2).
En ce qui concerne ce couple, je dé:ens les informa:ons grâce à ma grand-mère qui détenait sur eux suffisamment de documents, à l’image du cer:ficat de mariage (ci-dessous à gauche, portrait de Louise Berthe à droite). D’où mes recherches sur Saint-Mandé.
Détails de son livret militaire
Edmond Marcel Picault est enregistré au numéro matricule de recrutement 4348.
Il est né le 17 novembre 1878 à Saint-Mandé, canton de Charenton, département de la Seine, résidant à Paris au N°12 rue Sophie Germain dans le XIV me arrondissement. Profession ar:ste peintre, fils de André Emile Louis Picault et de Elisabeth Adolphine Boltze, domiciliés à Paris au N°12 rue Sophie Germain.
Son numéro de :rage dans le canton du XIV me arrondissement est le 426, compris dans la 1ère par:e de la liste de recrutement cantonal, déclaré bon pour le service.
Signalement physique : cheveux et sourcils bruns, yeux bleus, front ordinaire, nez long, bouche pe:te, menton rond, visage ovale. Taille : 1m, 74.
Degré d’instruc:on : N°3 (ce qui signifie qu’il a un niveau scolaire école primaire).
Détail des services et parcours militaire : Il est dirigé le 15 novembre 1899 sur la 5 me sec:on d’infirmiers, il arrive au corps le jour même au numéro matricule 73. Il est nommé caporal le 18 juin 1900. Il est envoyé en congé en ahendant son passage dans la réserve le 20 septembre 1902. Un cer:ficat de bonne conduite lui sera accordé. Il est ensuite affecté à la 24 me sec:on d’infirmiers à Versailles et sera nommé Sergent le 11 février 1908. Entre temps il accompli une série d’exercices dans la 24 me sec:on d’infirmiers du 3 au 30 novembre 1905 et du 20 septembre au 6 octobre 1909. Il passe dans l’armée territoriale le 1 er octobre 1912. Il fera la campagne contre l’Allemagne après mobilisa:on du 7 août 1914 au 15 janvier 1917. Ainsi, il rejoint la 4 me sec:on d’infirmiers le 7 août 1914, puis il est affecté à la R.P.S. de la 8 me armée le 5 juillet 1915. Ensuite il passe à la 7 me sec:on d’infirmiers le 1 er octobre 1916, puis à la 8 me sec:on d’infirmiers le 15 janvier 1917, à la 13 me sec:on d’infirmiers le 12 septembre 1917, à la 8 me sec:on d’infirmiers le 23 février 1918. Il sera mis en congés illimité de démobilisa:on le 22 février 1919, 3 me échelon. Dépôt démobilisateur à la 22 me sec:on d’infirmiers. Il est réaffecté dans la réserve à la 22 me sec:on d’infirmiers. Il sera sans affecta:on le 15 novembre 1926. Il sera libéré du service militaire le 10 novembre 1927.
A partir du couple central : les ascendances
Les informa:ons données dans l’acte de mariage de Denis André Picault et de Suzanne Schneider permehent de découvrir les parents respec:fs. On apprend que le père PICAULT André est ren:er, que sa femme est BARDIN Euphrasine Françoise Pierrehe et qu’ils demeurent dans la commune de Labosse dans l’Oise. Je poursuis donc les recherches dans cehe commune mais en explorant les tables décennales, je ne trouve qu’un seul Bardin, qui après étude ne correspond pas à la même famille, mais par contre je trouve l’acte de décès de André Picault en 1832. J’explore par la suite les recensements en me basant sur la date du mariage évoqué précédemment, c’est à dire l’année 1831. Par chance les recensements de l’Oise sont disponibles en ligne de 1820 à 1936. C’est dans la liste de l’année 1831 que je trouve le couple PicaultBardin. Il est précisé que André Picault est né en 1751 sans précision sur la localisa:on. J’ai supposé en premier lieu qu’il était de la même commune. C’était une erreur. Il est bien de profession ren:er, qu’il est marié, ne sait ni lire, ni écrire et qu’il paie une contribu:on à la commune de 19 francs. Son épouse, Euphrasine Françoise Bardin est née en 1778 sans localisa:on non plus. Elle sait lire, mais pas écrire
Les parents de PICAULT André et fratrie
André Picault est issu du deuxième mariage de son père Jean François Picault. Bien que les deux mariages soient de Saint-Aubin-des-Préaux, je vais devoir à nouveau changer de région, tel un navigant. Les recherches s‘effectuent donc dans un premier temps dans tous les registres BMS (Baptêmes, Mariages, Sépultures) de Saint-Aubin-des-Préaux. Puis à Saint-Sever dans le Calvados.
Saint-Aubin-des-Préaux est une pe:te commune du nord ouest de la France, situé dans le département de la Manche en région Basse Normandie. D’après l’INSEE la commune compte actuellement 438 habitants et en comptait 557 en 1793. PICAULT Jean-François est né le 1er février 1717 à Saint-Sever (Calvados), décès non trouvé, approxima:vement entre 1758 et 1776. Il épouse en première noce le 26 juin 1742 à SaintAubin-des-Préaux Anne Goult ou Le Groult née le 19 février 1719 à Saint-Nicolas-près-Grandville (Manche) (1), décès le 7 octobre 1748 à Saint-Aubin-des-Préaux (2). Pour son premier mariage Jean François PICAULT est présenté comme un domestique. Les familles bourgeoises ou nobles employaient souvent des personnes ahachées pour des services à tout usage, ils étaient au service des propriétaires, des serviteurs. De plus, bien qu’il soit originaire de Saint-Sever dans le Calvados, il demeure dans la paroisse de SaintAubin des Préaux depuis plusieurs années. Il était donc au service d’une famille avant de se marier. Son épouse, Anne GROULT, pourtant originaire de Saint-Nicolas-près-Grandville dans la Manche, était également une domestique. Cela laisse supposer qu’ils se sont connus là où ils exerçaient. Mais cela n’est pas précisé. Par contre au décès de sa femme en 1748, il est déclaré matelot. A la naissance de leur première fille, il est déclaré domestique et navigant. Son nom est orthographié avec un « x », « Picaux ». Au baptême de sa seconde fille il est déclaré matelot, et à son décès, navigant. Les navigants matelots faisaient souvent par:e de la marine marchande, donc il était lié aux activités mari:mes.
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Table des matières
Introduction
Rappel historique de Paris (1830-1914)
Chapitre 1 : A partir du couple central – Etablissement de la descendance
A – PICAULT DENIS ANDRE : (vers 1803 – 10 avril 1871)
A 1- SCHNEIDER SUZANNE EMILIE : (8 janvier 1813 – 3 août 1875)
A 2 – Les Parents de Suzanne SCHNEIDER
B – PICAULT ANDRE EMILE LOUIS (24/08/1833 – 14/03/1922)
B 1 – BOLTZE Elisabeth Adolphine Louise (18 mars 1840 – 12 mai 1890)
B 2 – Famille BOLTZE
C – Les enfants de PICAULT André Emile Louis et BOLTZE Elisabeth Adolphine Louise
C – 1 PICAULT EDMOND MARCEL (1878-1949)
Chapitre 2 : A parGr du couple central : les ascendances
A – PICAULT ANDRE (1751-1832)
B – Les parents de PICAULT André et fratrie
C – Famille MALENFANT
D – La commune de Saint-Sever. (Rappel historique jusqu’au XVIII me siècle)
E – Les parents de PICAULT Jean-François et fratrie
F – Famille VIVIEN
G – Les parents de PICAULT Jacques et fratrie
H – Famille LE PELTIER ou LEPELLETIER (première épouse)
I – Les parents de PICAULT Jean et fratrie
J – Famille GASTEBLED
K – Les parents de PICAULT François, son épouse et sa fratrie
L – Famille CHAPPEL
M – Les éléments restant à trouver et à développer
CONCLUSION
Bibliographie, liens et sources
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