Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
Limites du thème croisé de l’homme et de la richesse
L’absence du discours sur le thème immédiat de l’interdiction est une restriction altérant la puissance descriptive économique. Elle est le fond du problème soulevé implicitement par les économistes actuels : les hommes sont pauvres matériellement, et ils agissent en conséquence ; ils quittent leur milieu familier pour s’aventurer, comme un loup, hors de leur tanière familière de pauvre. Mais plus fort que leur pauvreté, ils s’interdisent encore de franchir quelques limites et de résoudre directement leur pauvreté : tuer, voler, etc., pour assouvir immédiatement un besoin. Le mur abstrait qui enferme la richesse est donc plus solide que la force impétueuse du besoin. La seule explication de cette situation est dans la représentation du bien économique par l’homme, le « goods » anglais : L’homme réalise que le bien de consommation n’est pas un déterminant de la vie,ou encore, plus que la souffrance du moment, ce n’est pas la satisfaction du besoin immédiat qui importe, mais la satisfaction d’un besoin supérieur non encore déterminé. La richesse est associée à l’idée de pouvoir, et en même temps, de l’interdiction, une sorte de malédiction. Michel FOUCAULT a précisé le sens duouvoirp et le lien de ce terme avec celui de la richesse, en affirmant qu’il s’agit de pouvoir de faire vivre et de laisser mourir. La richesse se découvre alors par l’interdiction : elle est un pouvoir ou une capacité qui interdit la mort. C’est un pouvoir au sens de FOUCAULT14 : la richesse laisse l’homme vivre et l’empêche de se laisser mourir. C’est la «petite » vie (« fiainanamitsipozipozy» disent les Malgaches)
Le thème de la variation de la richesse usité dansla science économique actuelle place le thème de l’interdit dans une situation variableet relative, et avec lui, la finitude de l’homme est posée implicitement. C’est un thème de pouvoir de faire vivre (à la conception de FOUCAULT), jusqu’à une certaine limit e ou une certaine équilibre. La richesse s’identifie par un prix, et à chaque riche sse donnée, il y a un prix limite, le prix de longue durée d’Adam SMITH ou la « juste prix ». En fait, le concept de prix est reçu en héritage par les économistes du XVIII siècle, à la suite des problèmes soulevés par la doctrine scholastique chrétienne sur la rémunératio des travailleurs et dont certains docteurs de l’Eglise veulent ériger en doctrine économique .La question est de justifier le passage de l’idée de limite vers l’interdiction 16. Pourquoi alors introduire un nouveauterme (l’interdiction) ? C’est pour pouvoir porter le discours sur le thème de « prix prohibitif » hors du contexte de la littérature sur le marché, du mécanisme de prix de marché, et surtout des produits marchands portés sur le marché pour parler de l’homme ou de savie ou de ses plus intimes, des phénomènes qui n’ont pas de valeur comparative. La richesse n’est pas une marchandise, ou le caractère marchande de la richesse n’est pas la finalité ou la serrure du thème de la richesse ; le concept d’interdiction dénote une volonté de dégager l’idée de la richesse hors du paradigme du marché pour le porter vers celui de l’anthropologie, parce que le thème de la richesse est associée à l’idée de l’homme et non pas à celle de la valeur ; (Adam SMI TH a donc tort d’avoir considérer la richesse de la nation à partir du thème de la division de travail et de celui de l’échange, car la richesse est un thème sur l’identité d’espèce). Il se peut même que chaque espèce d’êtres animés possède leur propre idée de la richesse : de la monnaie pour l’homme, et de l’os p our les chiens, du moins d’après un dicton bien connu des malgaches17.
Le thème de la préférence à plus que moins de richesse montre une fois pour toute que l’interdiction est un moteur de l’action humaine. Cette dernière se réalise lorsque la préférence engage son agent. ’idéeL de préférence est associée au thème de liberté d’action et d’entreprise étant donné l’interdiction. Les héoriest se disputent pour décrire cette situation. Plusieurs types ou contextes de débats encadrent la discussion. Il y a d’abord le thème de la détermination entre l’actionet la liberté.
Pour les uns, dont SPINOZA (1632 – 1677) dans son E thique, et Von HAYEK, l’action provient du sens de la liberté, en la circonstance, selon cettehypothèse, l’homme sans les facteurs de la production était libre, conséquence, il devient producteur, car laproduction est le résultat de la liberté. Laissez oncd un être humain dans un désert avec de la liberté,pontanément,s quelque chose d’humaine va se produire.
Pour d’autres, dont Jérémie BENTHAM et les STUART MILL, l’homme ne peut faire quelque chose que sous contrainte de la nécessité et de l’utilité. Dans leur acception, la préférence pour plus de richesse s’explique par lanécessité et l’utilité de la richesse. Laissez donc un humain dans un désert, il restera vautré sur ses détritus, jusqu’à ce que la faim, ou l’inconfort, bref quelque chose de morale et d’éthique le pousse à agir. Dans le sens de BENTHAM et de John STUART MILL, l’homme s’interdit de creve r de faim sans réagir. « Laissez-faire, laisser-aller », clament les libéraux, mais en réalité, la règle qui confirme ce maxime libéral est l’instinct de survie déjà prêché par les anarchiste(dont Jacob STIRNER), et que, malgré le silence des économistes orthodoxes, les économistes énoncent en termes de réaction devant le besoin. Economiquement, il est « interdit » de laisser vivre le besoin. En effet, avec les philosophies de l’utilitarisme et de l’hédonisme, et même avec lahéoriet chrétienne, l’on se demande si l’homme a été créé pour le plaisir de son créateur, ou est -quece son existence répond-elle à un autre discours, celui de l’objet de l’amour divin par exemple ? Pou rquoi – une quête de raison, et non « comment », un déclencheur de solution technique – l’homme existe ? Il nous semble que le concept économique de la « richesse » en est la réponse appropriée. Avant les économistes, les philosophes de la Grèce milésienne, dans leur spéculation sur la genèse de l’univers, ont professé l’existence de quelques éléments existant avant tous les êtres ; l’homme, selon eux, n’est qu’un être entre des êtres. Puis d’autres philosophes ont refusé l’antériorité de la physique sur l’homme, ont construit des théories fondées sur l’homme ou sur ons environnement immédiat qu’est la terre. Pour eux, la terre est le centre du monde, et sur cette terre, il y a l’homme. Quelle est la place de l’homme et quelle est sa fonction sur cette terre, telles sont les questions conséquentes de celle de l’existence de l’homme.
Pour ce qui est de la fonction de l’homme, il apparaît que la phrase de John STUART MILL en est l’indicateur : l’homme est celui qui, p ar sa préférence, sait apprécier et éventuellement distinguer la nature. Telle est l’hypothèse que nous démontrerons dans le second paragraphe. Nous dirons alors que l’homme est créé pour la richesse,pour se diriger vers la richesse. Telle est d’ailleurs l’objet de notre deuxième paragraphe. La création n’est donc pas une activité de sortie de l’homme hors de dieu, mais une sortie pour que l’ho mme puisse mieux revenir vers son créateur en présentant ce dernier comme étant la vraie et véritable valeur ; en outre à cause de la richesse et de sa relation avec l’homme, il apparaît que l’homme d evient un être mobile et mouvant. Le mouvant est alors le lieu ou la position de l’homme.
De ces diverses théories, apparaît la véritable conception de l’interdiction :la force qui anime l’être économique, l’homme de l’intérieur deMaître ECKHART, ou qui pousse l’agent à maximiser ses profits tout en profitant les membres de la société (c’est une interdiction positive), ou qui pousse l’homme à agir par le meilleur de lui-même.Ainsi conçu, l’interdiction peut être configurée comme étant l’étendu sur lequel paraît progressivement l’homme ; l’interdiction est pour l’homme ce que l’ étendu est pour la compréhension de l’apparition de l’univers. Telle est d’ailleurs une des thèses que nous allons défendre dans la première section du présent chapitre.
Nanti de cette hypothèse, nous pouvons exposer, par la théorie économique, l’émergence de l’étendu de l’interdiction – l’espace de l’homme de l’économie (Voir paragraphe 1) et que son mouvement ou son action dans cette étendue, est guidé par le sens de la richesse (voir paragraphe 2) et que dans cet espace et par cette action, l’homme réalise sa conscience de soi (voir paragraphe 3).
Ces trilogies forment l’espace de l’économie, ou plus précisément l’espace d’arguments dans lesquels se puisent les propos, les raisons et la disposition de la pratique de l’économie. Ainsi par l’interdiction, l’homme s’abstient à ne dire et à ne agir que par le raisonnable ou par une orientation. De ce fait, l’interdiction, elle-même, est la limite de l’homme 18. Nous récusons, par conséquent, un autre dicton malgache selon lequel « le « fanahy 19» fait l’homme », car à notre avis, ce n’est pas l’ effondrement de la vertu qui est la cause de dérèglement social et de l’individu, mais le fait quel’homme passe à l’autre côté de la vie matérielle, ou plus précisément de’économiquel. Si l’homme n’avait pas abusé des biens, et qu’il ait apprécié la valeur juste des objets de la nature, écrivait Von MISES, notre société aurait resté dans un état qu’il était au Moyen Age.
DE L’ESPACE PROPREMENT DIT DE L’HOMME DE L’ECONOMIE : L’INTERDIT ET LE LIEU DE PERORAISON
L’homo œconomicus avons-nous constaté dans le livre premier20 est dans un milieu hostile et qu’il ne fait que s’affranchir des inter dictions. L’homme narré est dans un milieu hostile, ou encore, et ce qui est équivalent à cette proposition : la richesse est dans un milieu cerné d’obstacles. « Hostilité », « obstacle », nous ajoutons également « interdiction » pour nous rapprocher d’un thème plus ou moins vulgarisé par d’autres disciplines académiques. Nous dirons que la théorieéconomique se conçoit dans un contexte de l’homme dans un monde hostile, ou et ce qui est absolument identique, dans un contexte de la richesse est inaccessible car cernéed’interdiction.
L’économique est un lieu hostile composé d’obstacles et d’interdits. Habité par des hommes représentés, ce lieu ne peut être qu’une espace de péroraison, un invite à la transgression, car l’homme qui y est, est un être évolté,r un être représenté intellectuellement, la représentation estune révolte. Cette révolte, tournée vers un ordre est justifié par une raison ou une autre ; elle est juste. Théoriquement, la légitimité de la révolte est la préférence pour plus que moins de chesseri.
Il faut distinguer le mot « interdiction » de celui de la « transgression ». Tous deux semblent relever d’un principe identique : l’existe nce d’une valeur (morale), ou plus précisément de la déviation morale. La transgressioévoque une violation d’une loi ou d’un contrat jugé inique,alors que l’interdit, une limitation d’une action. Transgresser, c’est outrepasser un interdit clairement spécifié et codif é ou une norme faisant l’objet d’un consensus (BARANOWSKI) ; en l’occurrence, la préférence pour « moins de richesse » est une transgression.La transgression fait l’objet de récits et de commentaires ; elle est un thème. L’interdiction par contre s’inscrit dans l’intimité de la croyance ; rarement elle fait l’objet d’un récit. Elle est plutôt un ordre formel : l’affirmation de MILL se transforme en injonction : « choisissez et préférer plus que moins de richesse ! ».Le constat de la nature de l’homme s’impose et devient impératif, comme s’il s’agit de l’oracle divin : au lieu du « que soit … ! », le narrateur créateur de ce qui e xiste devient une injonction de « soyez …, préférez … ». La transgression conduit à une pun ition : les récits de l’homme formulés en termes de transgression expliquent généralementl’origine d’un état négatif entourant l’homme. L’interdiction pour sa part converge vers un thème de libération.
Nous nous plaçons dans l’axe de réflexion basé surle thème de l’interdiction et non pas de la transgression, bien que les deux thèmes fonctionnent en économie.La transgression relève du thème économique de sanction/rémunération, dont l’issue est le développement des thèmes de profit, investissementet le risque, etc., bref un thème de l’action. Le thème de l’interdit pour sa part est plutôt un thème de la partie juridico-politique de l’économie : la légitimité de l’accession et de l’usage et à la propriété. L’appropriation de la richesse contribue à la conce ption selon laquelle la richesse est rare.
La rareté des biens de consommation, en effet,est présentée par la science économique classique comme la donnéefondamentale dela théorie économique des biens matériels justifiant des actions de production. Elle n’est cependant perceptible que pour une civilisation ayant atteint un état de quantification et de dénombrement, et chez qui le besoin social est plus ou moins précis (par exemplela civilisation indo-européenne qui a connu entre autres la quantification, alors que la civilisation de l’Antiquité égyptienne de l’époque pratiquait déjà le cabalistique).Concrètement, cet état d’avancement culturel est matérialisé par l’existence des termes de dénombrement et de positionnement social. Le concept d’homo œconomicus qui en découle est inévitablement celui qui domine l’interprétation courante de la façon dont se pratique l’économique : un calculateur, un individu qui cherche systématiquement un plus de quantité.
Si le thème de « l »’homme n’est pas donné en bloc et que son existence est le produit d’une acquisition progressive de prise de conscience et de discernement, alors on peut envisager que la rareté ou la conscience de larareté n’apparaissent qu’avec un certain développement de l’homme : l’époque où la richessen’est pas encore définie en terme de qualité.Autrement dit, si le thème de l’homme est un sujet historique, alors la conscience de la rareté est un phénomène également historiqueapparaissant après un certain développement du thème de l’homme. La science économique actuelle ne commence qu’à partir de l’avènement du thème de la rareté et nonpas avec le thème de l’homme. Elle décrit le comportement de l’homme dans une situation où la pauvreté est constatéede façon quantitative. Dans ce sens, l’ère de l’opulence archaïque serait alors une situation où le besoin de l’homme était encore qualitatif sinon n’était pas du tout conscient. L’histoire de l’homme avant la conscience du besoin manque vraiment dans la théorie économique classique. Elle dénie d’ailleurs l’échelle des besoins de MASLOW selon lequel le besoin de l’homme est d’abord matériel et se transforme en besoin immatériel au fur et à mesure que soit satisfait le besoin matériel. Au contraire, l’histoire de l’homme avant la conscience du besoin semble être l’histoire (ou la narration)de la richesse de l’homme, c’est-à-dire de la conscience, sinon l’histoire du besoin qualitatif. La proposition de John Stuart MILL serait alors que l’homme préfère de richesses de meilleure qualité et non des richesses de plus de quantité.
Etant donné cette vision de l’histoire de l’économie, on se demande : L’homme est-il vraiment pauvre ? Ne dispose-t-il donc pas assez de richesse ? Ou pourquoi la revendication d’une meilleure qualité de richesse est-elle remplacée par celle de plus de quantité de la richesse ? Notre réponse est que cen’est pas l’homme qui a changé dans le temps, mais son milieu : l’homme habite un milieu de plus en plus hostile, autrement dit, l’accession à la richesse est de plus en plus diffi cile car des obstacles s’érigent autour de la richesse ; et peut-être que ces obstacles étaientoujourst là, mais que l’homme ne s’en est pas rendu compte. L’histoire de la richesse ou l’hi stoire de l’homme est donc un récit de la rencontre entre l’homme et la richesse.L’histoire d e l’homme n’est pas celle de l’augmentation de la capacité productive humaine pour produire et consommer plus de richesse, mais celle de la capacité à réaliser la diversité de la nature et de la forme de la richesse. La pauvreté matérielle des peuples vivantdans des milieux naturels reconnus richespar un tierce narrateur est l’évidence de l’incohérence voir de l’aberrance de l’histoire économique universelle : l’homme vit dans un milieu riche, pourtant il est pauvre ; sa pauvreté n’est peut-être pas réelle, mais artificielle, une illusion. Certaines théories appuyées par le marxisme, affirment que l’homme est pauvre de « biens sociaux » et que certains d’entre eux ne peuvent pas satisfaire leurs besoins sociaux parce qu’ils ne disposent pas de biens sociaux, ou plus précisémentétant donné que l’homme habite un monde riche, les « pauvres » vivant dans un monde d’opulence, dans une société de consommation, sont des individus qui n’ont pas accès aux biens sociaux. Aussi, ce n’est pas ce qui est dénombrable, ni ce qui semble être meilleur et de bonne qualité qui fait la richesse, mais ce qui est faisable, franchissable, accessible ou, encore ce qui est possible ; bref l’homme est pauvre, parce que la richesse est cachée ou protégée par des obstacles. C’est cet homme vivant dans un milieu hostile que nous avons dénommé par le concept de « homo œconomicus ».
La théorie économique classique, pour sa part, conçoit l’homo œconomicus dans un monde de rareté matérielle. Pour elle, le problèmest d’ordre technique et de production : il suffit d’avoir une technologie efficace de multiplication de la richesse et une organisation sociale susceptible de reproduire les conditions techniques de la production pour que la pauvreté soit éradiquée. Puis, devant lconstat de l’épuisement des facteurs de production, elle a élargi ses thèmes par le sujet de protection de la nature et de l’environnement. Désormais, elle ne se préoccupe plus seulement de la production des biens et services de consommation, mais aussi de la reproduction des facteurs et des conditions sociales de la production.
Nous sommes donc en présence de deux programmes diférents de recherches économiques : notre réflexion se porte sur l’homme devant des obstacles relevant de l’éthique et du droit de pénétrer et de transgresseune interdiction, alors que la science économique classique s’interroge sur l’avenir de l’homme étant donné les limites techniques de la reproduction des conditions humaines. En fait, ces deux programmes ne sont pas antagoniques ni divergents car la solution du problème économique soulevé par la théorie économique classique est dans la transgression de ce qui a été toujours considéré comme interdit. Cette convergence de programme répond à une question-problématique commune de : « qu’est-ce qui n’a pas été encore fait pour repousser les limites de l’interdit ou de la pauvreté ? ».
L’insertion des thèmes de l’interdiction et de l’homme s’impose alors dans la science économique, comme les sont déjà les thèmesde la technique et de l’homme.Cette démarche a été déjà ouverte par les anthropo-économistes (Marshal SHALINS, Nurit BIRD-DAVID entre autres). Il ne s’agit pas seulement d’ouvrir et de vulgariser des débats sur le statutou sur la place de l’anthropologie dans la construction de la pensée économique, ni sur la promotion de l’homme de la science économique, ni encore de trouver des faits de l’interdit sur la production matérielle et la consommation,mais de retrouver la trace de l’interdit dans la perception de la valeur et donc de la richesse et d’ajuster par voie de conséquence les sujets développés par l’économie et donc de préciser les propositions développées par la sciencéconomique néoclassique.
|
Table des matières
Préliminaires : A propos des crises identitaires
Introduction
Chapitre I – A LA REDECOUVERTE DU LIEU INTELLECTUEL DE L’ELABORATION DE L’HISTOIRE UNIVERSELLE DE HOMME: L’ECONOMIQUE
Introduction
Section I – A la découverte du lieu de conceptualisation des matériaux meublant l’espace économique
Section II – A la redécouverte des fonctions et de la puissance de l’espace économique
Conclusion du chapitre
Chapitre II – DE LA PENSEE ECONOMIQUE
Introduction
Section 1 – De l’ontologie et de la localisation de la pensée économique
Section 2 – Les fonctions de la pensée économique
Conclusion du chapitre
Chapitre III – DE LA RECONCTRUCTION DE LA SCIENCE ECONOMIQUE VERS L’IDENTIFICATION DES ECONOMISTES
Introduction
Section I – A la reconstruction de la science économique
Section II – De l’économiste
Conclusion du livre second
Conclusion générale
Postface
Télécharger le rapport complet