Vases sableuses, Sables, Graviers et Roches en milieu Euryhalin et Eurytherme

Faunes des substrats durs infralittoraux

Sur substrat dur, la moule Mytilus galloprovincialis, favorisé par la richesse de l’eau en bactéries et en MOP (matière organique particulaire), est très abondant ; localement, il constituait un tapis dense, éliminant de nombreuses espèces de macrophytes. Bien en hiver et en mode battu, M. galloprovincialis peut également s’installer à la base du Médiolittoral ; ces individus sont généralement éliminés en été, lors des périodes de forte chaleur et de mer calme. Le long des côtes de l’Afrique du Nord, une deuxième espèce de moule, Perna perna, vit en mélange avec Mytilus galloprovincialis (Abada-Boudjema et Dauvin, 1995 ; Abada-Boudjema, 1996).
Enfin, on peut rencontrer l’anémone de mer Anemonia viridis « anémone de mer commune » ; ses tentacules sont garnis de cnidocystes urticants qui lui permettent de capturer, en les paralysant, les organismes dont elle se nourrit (Crustacés et poissons) ; en outre, elle abrite dans l’endoderme de ses tentacules des végétaux unicellulaires symbiotiques (mutualistes), appartenant aux Dinobiontes, ce qui explique la diversité de ses colorations et lui procure un supplément énergétique ; enfin, elle est capable d’assimiler le COD (carbone organique dissous) présent dans l’eau, ce qui peut représenter jusqu’à 50% de ses besoins énergétiques (Van Praet, 1985 ; Louisy, 1989 ; Furla, 1999).
Un certain nombre d’espèces sont toutefois indifférentes aux toxines de ses cnidocystes, et utilisent cette immunité pour se protéger de leurs prédateurs en s’abritant entre les tentacules de l’anémone. C’est le cas d’un petit Gobiidé, Gobius bucchichii, souvent associé à Anemonia viridis : il est en effet protégé de son venin par un mucus cutané (Sasal, 1997).
Figure 11 : Biodiversité spécifique de la faune marine de l’étage infralittoral en Méditerrané.
Dans l’Infralittoral, le principal macro-herbivore est Paracentrotus lividus « oursin comestible ». On le trouve souvent, lorsqu’il vit près de la surface et en mode battu, enfoncé dans des cupules creusées dans la roche par des générations successives d’oursins (Bou douresque et Verlaque, 2001). Autour des concentrations d’individus, le broutage détermine des auréoles plus ou moins dénudées, sortes de clairières que l’on nomme jardins (Verlaque, 40 1987) ; ces jardins, occupés par de petits macrophytes filamenteux. Lorsque la densité des Paracentrotus lividus est très importante, les jardins se rejoignent, et l’on a alors un faciès de surpâturage ; de tels faciès sont également visibles à l’île Grosse. Deux autres macro-herbivores, l’oursin Arbacia lixula (« oursin noir ») et la patelle Patella caerulea.
Les oursins Paracentrotus lividus sont l’objet d’une prédation intense, tout particulièrement les individus juvéniles qui sont cryptiques (réfugiés dans des anfractuosités ou sous des éboulis) lorsque la pression de prédation est importante. Parmi leurs prédateurs, les poissons du genre Diplodus (« sar à tête noire » D. vulgaris, et surtout « sar commun » D. sargus) tiennent une place importante (Savy, 1987 ; Sala, 1996, 1997 ; Boudouresque et Verlaque, 2001). Le fait que ces poissons soient activement pêchés contribue à expliquer l’exubérence des oursins dans certains secteurs, tels que l’île Grosse (Banyuls-sur-Mer) (Sala et Zabala, 1996). Le poisson Coris julis (girelle), l’étoile de mer Marthasterias glacialis et le murex Trunculariopsis trunculus (Gastropode) sont également des prédateurs actifs de P. lividus (Savy, 1987 ; Sala et Zabala, 1996 ; Sala, 1997).
On trouve Halocynthia papillosa c’est l’une des ascidies la plus commune. Sa coloration, malgré son nom, peut être aussi jaune ou blanche. Elle mesure jusqu’à 10 cm et se fixe sur les rochers ou dans les posidonies. Ce petit tonneau a deux ouvertures : deux siphons par lesquels l’ascidie filtre l’eau pour se nourrir. Elle est plutôt sciaphile : elle apprécie les zones peu éclairées. L’Anémone de mer verte ortique Anemonia sulcata Avec des padines queue-de-paons, sa couleur verte est due à la présence d’une algue symbiotique dans ses tissus. Si elle est absente, la couleur des tentacules va du blanc au gris. Elle se trouve souvent dans les recoins des rochers, dans les eaux proches de la surface. La Méduse violette Pélagia nocticula de taille moyenne est très urticante. Elle est phosphorescente. Parfois elle prolifère au point de tapisser le sable des plages. Cela est du à la combinaison de plusieurs facteurs favorables à son développement (température, courants,…). La Tomate de mer Actinia equina cette actinie se cache dans les creux de rochers obscurs. Elle replie ses tentacules si elle est dérangée ; elle ressemble alors véritablement à une tomate. Étages médio et supralittoral. Le Spirographe Polychète Spirographis spallanzani cet animal est un ver vivant dans un tube membraneux. Pour se nourrir, il filtre par son panache en spirale les matières en suspension dans l’eau. Il se fixe sur des fonds sableux ou vaseux. On l’observe aussi dans les herbiers de phanérogames.
La Seiche commune Sepia officinalis elle s’approche des côtes durant l’été. Elle peut atteindre 40 cm de long. C’est plutôt une espèce de fonds meubles car elle doit pouvoir se 41 terrer ; elle reste souvent à proximité des herbiers de posidonies. Sa coquille est interne. Elle est plus connue par les propriétaires d’oiseaux en cage sous le nom « d’os de seiche » ; leurs volatiles y trouvent une source de calcaire. Autrefois son encre servait pour écrire. Elle est également capable de changer de couleur comme le poulpe.
Octopus vulgaris ce céphalopode est certainement un des invertébrés les plus intelligents : il est rusé, joueur, curieux et aime les câlins ! Il n’est pas difficile de surprendre un poulpe dans son trou favori. En plein jour, il chasse des crustacés et des bivalves ; un de ses plats favoris est l’ormeau. Les restes de ses repas devant son trou trahissent souvent son camouflage. Il change de couleur selon son humeur et la couleur des fonds où il se trouve (homochromie). Observez-le, sans le déranger, vous serez surpris par son comportement.
L’Aplysie ou Lièvre de mer Aplysia sp Gastéropode qui ressemble à un nudibranche (famille des limaces de mer) sans coquille, mais elle en a bien une cachée sous son manteau. On rencontre des espèces de couleur brune, une petite ponctuée de blanc, une plus grande pouvant atteindre 30 cm de long. Son pied s’est adapté à la nage ; on pourrait presque croire qu’elle vole.
La Grande nacre ou jambonneau hérissé Pinna nobilis ce coquillage protégé peut atteindre jusqu’à un mètre de long. Il s’enfonce des deux tiers dans le sable proche des herbiers. L’extérieur des valves est orné de petites épines en forme de gouttières. Cette espèce a longtemps été collectée comme trophée, c’est pourquoi il a fallu la protéger. Espèce protégée.
L’Arche de Noé Arca noae ce petit coquillage de 10 cm est allongé. Ses deux valves sont accrochées par un côté plat. Souvent sa coquille est colonisée par d’autres organismes, ce qui lui permet de se dissimuler.
Sphaerichinus granularis cet oursin globuleux est reconnaissable à ses piquants violets à pointes blanches assez courts. Il vit aussi sur les fonds rocheux ou dans les posidonies, un peu plus en profondeur que les deux précédents. On le trouve dans les zones à faible courant car ses podia peu efficaces ne lui permettent pas d’adhérer fortement au substrat. Son test, c’est à dire sa coquille, peut mesurer 13 cm.
L’Étoile de mer rouge Echinaster sepositus la plus commune de nos étoiles de mer rouge peut tourner vers le brun ou l’orangé. Elle a cinq bras ou plus. Elle vit dans les mêmes milieux que ses cousins les oursins. Elle cherche sa nourriture sur le sol.
Parmis les poissons qui fréquentent les petits fonds de l’infralittoral (Fig.11), le Serran Serranus sp Vous croiserez sur nos côtes le serran chevrette (Serranus cabrilla) et le serran écriture (Serranus scriba). Ce sont des poissons territoriaux. Ils vivent souvent au sein des herbiers, se nourrissent de petits poissons, de crustacés qu’ils chassent à l’affût. Le serran est hermaphrodite : il est capable d’autoféconder ses oeufs. Il est curieux : il viendra vous observer si vous passez à proximité.
La Castagnole Chromis chromis .Elle nage en groupe au-dessus des herbiers où elle se nourrit de zooplancton. Elle se reconnaît à sa couleur brune au stade adulte et à sa nageoire caudale très échancrée. Les juvéniles sont d’un bleu électrique.
Apogon imberbis est un petit poisson rouge translucide élit domicile dans les grottes ou les trous assez profonds pour être sombres. Le papa apogon incube les oeufs dans sa bouche pendant une semaine, durant laquelle il doit les oxygéner. Il ne peut donc s’alimenter ; malgré cela, il est capable de s’accoupler, puis de « couver » plusieurs fois de suite, pendant sa période de reproduction.
Figure 12: Biodiversité spécifique de l’Ichtyofaune de l’étage infralittoral en méditerranée.
Le Sar Diplodus sp. Poisson osseux Sous le nom de  » Sar « , se cachent plusieurs espèces : le sar à tête noire, le sar commun, à museau pointu ou à grosses lèvres. Il change de sexe durant sa vie.
La Saupe ou Sarpa salpa elle broute en banc les herbiers de posidonie. Son corps ovale et gris avec une dizaine de raies longitudinales dorées.
La Girelle paon Thalassoma pavo, ce poisson est le témoin de l’histoire de la Méditerranée, car c’est un cousin de poissons de récifs coralliens. Il est très coloré avec ses marbrures et rayures turquoise sur fond jaune vert. Les femelles âgées peuvent devenir mâles sous l’influence de la température.
La Girelle Coris Julis ce petit poisson, très commun dans nos eaux, change de sexe au cours de son existence. Le jeune est une femelle de petit gabarit, avec des bandes de couleur marron orangée et blanche ; puis en grandissant ses hormones changent et il devient un mâle, plus gros (25 cm), avec des couleurs chatoyantes : il est alors souvent appelé Girelle royale. On trouve plus de femelles que de mâles car ils n’ont pas tous la chance de vivre assez vieux pour changer de sexe.
La Rascasse Scorpaena sp. Elle habite sur les rochers recouverts d’algues ou dans les herbiers. Elle chasse à l’affût. Elle nage peu et préfère se camoufler sur le fond.
Le Rouget Mullus surmuletus, ce poisson de fonds sablo-vaseux déterre ses proies dans le sédiment avec ses barbillons. Sa chair est très appréciée depuis l’Antiquité. Les Romains l’exhibaient dans un bocal pour voir ses changements de couleur afin de distraire les convives d’un banquet. Les juvéniles, jusqu’à la taille de 5 cm, sont bleuâtres et vivent en pleine eau.
On a présenté parmi la faune benthique quelques espèces d’invertébrés et de poissons remarquables des petits fonds (Fig.12) de l’étage infralittoral mais la liste est plus longue.
Le peuplement benthique parait refléter parfaitement les conditions prépondérantes du biotope, c’est-à-dire un mode relativement battu, une eau pure par endroit et un substrat rocheux anfractueux. Ces conditions, en particulier hydrodynamiques, ainsi la texture du substrat exige une mise en place d’une biodiversité riche et abondante (Hussein, 2014).

Faunes des substrats meubles infralittoraux

L’infralittoral sableux ou vaseux, ces grandes étendues de sable semblent dépourvues de vie ; elle s’y manifeste, de façon moins apparente que dans les prairies de posidonie où sur les fonds rocheux que la biodiversité est plus réduite.
Les étendues de sable forment des déserts striés de longues dunes parallèles, provoquées par les courants qui laissent apparaître des oasis sous-marines. L’eau ne constitue pas à ce niveau le facteur déclenchant de l’implantation de la vie : c’est le substrat. Une roche, un morceau d’épave ou tout matériau à condition qu’il soit stable offre une opportunité de fixation aux algues et aux Invertébrés ; à proximité évoluent souvent des Crustacés ou des Poissons.
Par ailleurs, une part importante de la faune marine benthique vit à la surface du substrat ; les espèces qui mènent ainsi une vie « épigée » constituent ce qu’on appelle l’épifaune. Ces animaux, dits épibiontes, se répartissent en formes à mobilité élevée, ou agiles, en formes sédentaires, de mobilité plus réduite (de quelques mètres à quelques dizaines de mètres). Les animaux fouisseurs, infiniment plus nombreux, appartiennent aux groupes zoologiques les plus variés (Cury et al, 2003). Ce qu’on pourrait appeler leur « degré d’intimité » avec le sédiment est assez variable. Dans certains cas, l’animal enfoui se trouve en contact direct avec le sédiment que sa présence ne modifie pas ; c’est le cas de presque tous les Mollusques Bivalves fouisseurs (coques, praires, palourdes), de certaines Annélides, et aussi de divers Crustacés ou Échinodermes.
Quelques Poissons sont adaptés à cet environnement par la forme de leur corps et un mimétisme plus ou moins important : pour mieux se dissimuler, sols, raies et poissons plats se couvrent de sable où s’y enfouissent en ne laissant apparaître que les yeux. C’est également le cas de la rascasse blanche (sa piqûre est redoutée par les baigneurs).

Facteurs Environnementales du Littoral Oranais

L’état du littoral Oranais est fonction d’une alternance de périodes hydrologiques (houle, courants,…) stables et instables pendant lesquelles son schéma se complique par l’intervention de plusieurs facteurs dont le plus important est anthropique, et qui ont des conséquences trophiques et métaboliques (Bouras ,2007).
Les écosystèmes benthiques qui intègrent les caractéristiques écologiques locales sont soumis aux fluctuations naturelles ou générées par les activités humaines, constituant des témoins permanents de l’évolution de l’état de l’environnement.

Facteurs Abiotiques

Les facteurs déterminants pour un habitat benthique de l’étage infralittoral sont la nature du fond, la topographie/reliefs, la profondeur, la pénétration de la lumière, la composition du substrat, les courants, l’action des vagues et l’activité anthropique. Tenant compte de ces facteurs, on a identifié le potentiel de plusieurs types d’habitats.

Structure générale de la marge Nord-Ouest Algérienne et du bassin Oranais

Le littoral Algérien s’étend sur plus de 1600 km d’Ouest en Est, entre les longitudes 2.2°W et 8.5°E (Fig.13). Le bassin algérien (parfois appelé nord-africain) a un fond approximativement plat, situé aux environs de -2700 mètres (Auzende, 1978). La marge nord-algérienne a (à cette échelle) une morphologie assez simple, caractérisée par un plateau continental très étroit (généralement moins de 10 km, à l’exception de quelques baies) et une pente continentale forte (10° en moyenne, plus de 20° parfois, voir Leclaire, 1968, 1972). Deux indices morphologiques nets montrent d’ores et déjà une influence structurale sur cette pente d’orientation générale E-O (Auzende, 1978): 1. Des indentations NE-SO (Oran, la Galite) et NO-SE qui forment les golfes; 2. Les nombreux canyons sous-marins dont certains utilisent les mêmes directions NE-SO et NW-SE (Leclaire, 1968). Depuis longtemps, de nombreux auteurs ont attiré l’attention sur ces interruptions plus ou moins régulières dans la linéarité de la morphologie de la marge algéro-marocaine, aussi bien sur le fond actuel que dans la structure du socle (Auzende et al., 1975; Auzende, 1978; Mauffret et al., 1987, 1992). En particulier, à l’Ouest de l’Algerie, au niveau d’Oran, un net changement de direction de la marge, suivi vers l’est par un escarpement raide, nommé Habibas (Mauffret et al., 1987).

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Table des matières

REMERCIEMENT
RESUME
ABSTRACT
ملخص
Liste des Figures
Liste des Tableaux
Liste des Abréviations
TABLE DES MATIÈRES
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE 1
SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE MILIEU COTIER & MARIN, ECOBIOLOGIE DE L’INFRALITTORAL
1- Introduction
1-1- Subdivisions du Milieu Marin
1-1-1- Subdivisions du domaine Benthique
1-1-2- Subdivisions du domaine Pélagique
1-2- Subdivisions du Milieu Côtier
2- Organisation écologique de l’étage Infralittoral
2-1- Intérêt de l’étage Infralittoral
2-2- Morphologie de l’étage infralittoral
2-2-1- Type morphologique selon la nature côtière
2-2-1-1- Infralittoral des côtes rocheuses
2-2-1-1-1- Côtes rocheuses abruptes
2-2-1-1-2- Côtes rocheuses découpées
2-2-1-1-2-1- Encoche littoral
2-2-1-1-2-2- Grottes marines
2-2-1-1-2-3- Grottes sous-marines
2-2-1-2- Infralittoral des côtes sableuses
2-2-1-2-1- Côtes sableuses
2-2-1-2-2- Division du littoral sableux
2-2-1-2-3- Circulation des sédiments de l’infralittoral
2-2-2- Hydrodynamisme côtier
2-2-2 -1- Houle et vague
2-2-2-2- Courants
2-2-2-3- Agitation
2-2-2-4- Transport littoral par la houle
2-2-2-5- Les matières en suspension
2-2-3- Facteurs Climatiques de l’infralittoral
2-2-3-1- Vent
2-2-3-2- Lumière
2-2-3-3- Température
2-2-3-4- Oxygène des eaux
2-2-3-5- Salinité
2-2-3-6- Autres facteurs abiotiques
3- Aspect Biodiversitaire de l’étage Infralittoral
3-1- Particularités des écosystèmes infralittoraux
3-2- Biodiversité spécifique et biocénoses
3-2-1- Les biocénoses benthiques du substrat meuble
3-2-2- Les biocénoses benthiques du substrat dur
3-3- biodiversité de la frange supérieure de l’infralittoral
3-4- Flore
3-4-1- Macroalgues
3-4-2- Phanérogames marines
3-4-2-1- Herbier à Posidonia oceanica
3-5- Faune
3-5 -1- Faunes des substrats durs infralittoraux
3-5- 2- Faunes des substrats meubles infralittoraux
4- Types d’Habitats marins de l’infralittoral
4-1- Vases sableuses, Sables, Graviers et Roches en milieu Euryhalin et Eurytherme
4-1-1- Biocénose euryhaline et eurytherme
4-2- Sables fins plus ou moins envasés
4-2-1- Biocénose des sables fins de haut niveau (SFHN)
4-2-2- Biocénose des sables fins bien calibrés (SFBC)
4-2-3- Biocénose des sables vaseux superficiels de mode calme (SVMC)
4-3- Sables grossiers plus ou moins envasés
4-3-1- Biocénose des sables grossiers et fins graviers brassés par les vagues
4-3-2- Biocénose des sables grossiers et fins graviers sous l’influence des courants de fond (SGCF)
4-4- Cailloutis et Galets
4-4-1- Biocénose des Galets infralittoraux (GI)
4-4-2- Herbier à Posidonia oceanica (HP)
4-5- Fonds Durs et Roches
4-5-1- Biocénose des algues infalittorales (AP)
PARTIE 2
CARACTERISTIQUE GENERALE DU LITTORAL ORANAIS
1- Facteurs Environnementales du Littoral Oranais
1-1-Facteurs Abiotiques
1-Structure générale de la marge Nord-Ouest Algérienne
2-Aspect Géographique
3- Aspect Morphologique
1-2 -Facteurs Climatiques
1- 3-Caractéristiques des eaux côtières
1- Hydrodynamisme
2-Température moyenne des eaux
3-Oxygène des eaux
4-Salinité
PARTIE 3
MATERIEL & METHODES
1- Matériel et Méthodes
1-1- Zone d’étude
1-2- Choix des stations
1-3- Echantillonnage
1-4- Logistique
1-5- Inventaire in situ
1-6- Les transects
2- Etude de l’organisation écologique
2-1- Prospection des sites
2-2- Phase préparatoire
2-3- Sorties en mer et plongées
3- Etude de l’aspect biodiversitaire
3-1- Flore
A- Algues
1- Objectif de l’échantillonnage
2- Technique d’échantillonnage
B- Phanérogames
1-Technique d’échantillonnage
3-2- Faune
A- Invertébrés Macrobenthiques
1-Méthode d’étude
1-1- Richesse spécifique
1-2- Indices de diversité Shannon-Wiener
B- Ichtyofaunes benthiques
1- Inventaire des poissons
2- Méthodes d’évaluation
3- Comptage
C- Autres espèces
4- Identification de la flore et de la faune
5- Classification des biocénoses et des paysages benthiques
6- Valorisation écologique
PARTIE 4
SYNTHESE & DISCUSSION STRUCTURE ECOLOGIQUE & BIODIVERSITAIRE DE L’ETAGE INFRALITTORAL ORANAIS
1- Organisation écologique de l’Infralittoral Oranais
1-1- Topographie de l’étage infralittoral Oranais
1-2- Description de la nature écologique des transects des stations étudiées
A- Secteur Est
1- Port aux Poules (PP)
1-1-Situation géographique
1-2-Profils topographiques et nature du fond du transect
2- Arzew (AZ)
2-1-Situation géographique
2-2-Profil topographique et nature du fond du transect
3- Cap Carbon (CC)
3-1-Situation géographique
3-2-Profil topographique et nature du fond du transect
B- Secteur Centre
1- Kristel (KL)
1-1-Situation géographique
1-2- Profil topographique et nature du fond du transect
2- Port d’Oran-Monta II (PO)
2-1-Situation géographique
2-2- Profil topographique et nature du fond du transect
3- Ain El Türck (AT)
3-1-Situation géographique
3-2- Profil topographique et nature du fond du transect
4- Cap Falcon (CF)
4-1-Situation géographique
4-2-Profils topographiques et nature du fond du transect
C –Secteur Ouest
1- Pain Sucre-Madrague (PS)
1-1-Situation géographique
1- 2- Profils topographiques et nature du fond du transect
2- Ile Plane (IP)
2-1-Situation géographique
2-2- Profil topographique et nature du fond du transect
3- Madagh II (MG)
3-1-Situation géographique
3-2- Profil topographique et nature du fond du transect
1-3- Discussion sur l’organisation écologique de l‘infralittoral Oranais
2- Aspect de la Biodiversité de l’infralittoral Oranais
2-1- Introduction
A- Diversité Floristique : Macrophytobenthos
1- Algues
1-1- Diversité Algale
1-2-Taxa inventorié le long de l’infralittoral Oranais
1-3- Forêts de Cystoseires
1-4- Espèces introduites / invasives
1-4-1 – Rhodophyceae (Algues rouges)
a- Asparagopsis armata
b- Asparagopsis taxiformis
1-4-2 – Chlorophyceae (Algues vertes)
a- Codium fragile
b- Caulerpa racemosa
1-5- Discussion
2- Phanérogames marines
2-1- Biodiversité des phanérogames marines
2-1-1- L’herbier à Posidonia oceanica (l) delile
2-1-1-1-Systématique
2-1-1-2-Situation Géographique et Bathymétrique
2-1-1-3- Etat de l’herbier
2-1-1-3-1-Cas de Madagh II
2-1-1-3-2-Cas de Pain Sucre- Madrague
2-1- 2- L’herbier à Cymodocea nodosa (ucria) asherson
2-1-2-1-Systématique
2-1-2-2- Situation Géographique et Bathymétrique
2-1- 3- L’herbier à Zostera noltii (linnaeus)
2-1-3-1-Systématique
2-1-3-2-Situation Géographique et Bathymétrique
2-2- Discussion
B – Diversité Faunistique : Macrozoobenthos
1- Macroinvertébrés Benthiques
1-1- Taxa inventorié le long de l’infralittoral Oranais
1-2- Structure et organisation des macroinvertébrés benthiques
a) -Evolution de la richesse spécifique des macroinvertébrés benthiques de l’infralittoral Oranais
b) – Evolution de l’indice de Shannon du macroinvertébré benthique
c) – Variation de la répartition des macroinvertébrés benthiques
1-3- Discussion
2- Poissons benthiques
2-1- Diversité des Poissons
2-2- Structure et organisation de l’ichtyofaune
a) – Aspect de la richesse spécifique de l’ichtyofaune infralittoral
b) – Evolution de l’indice de Shannon de l’ichtyofaune de l’infralittoral Oranais
c) – Evolution de la répartition de l’ichtyofaune de l’infralittoral Oranais
2-3-Discussion
2-4- Synthèse sur la diversité de la flore et la faune
3 – Habitats et Biocénoses de l’étage infralittoral
A) Substrat Meuble
1 – Sables fins plus ou moins envasés
1-1-Biocénose des sables fins bien calibrés
1-1-1-Description
1-1-2-Menaces Potentielles
1- 2- Biocénose des sables vaseux superficiels de mode calme
1-2-1-Description
2 – Sables Grossiers et Graviers
2-1-Biocénose des sables grossiers et fins graviers brassés par les vagues
2-1-1-Description
2-1-2-Menaces Potentielles
2-2-Biocénose des sables grossiers et fins graviers sous influence des courants
2-2-1-Description
2-2-2-Faciès et Association
3 – Herbiers à Posidonia oceanica
3-1-Description
3-2-Flores et Faunes abrités
3-3-Menaces Potentielles
4 – Détritique Côtier
4-1-Description
B) Substrat Dur
1- Horizon supérieur
1-1-Association des Algues Photophiles en Mode Battue
1-1-1-Description
1-2- Association des Algues Sciaphiles en Mode Battue
1-2-1- Description
2- Horizon moyen
2-1- Association des Algues Photophiles en Mode Calme
2-1-1-Description
2-1-2-Faune associés
2-2- Association de Surpâturage des Algues encroûtantes et d’Oursins
2-2-1- Description
3- Horizon inférieur
3-1-Association des Algues Hemiphotophiles
3-1-1-Description
3-2-Association des Algues Sciaphiles en Mode Calme
3-2-1-Description
4- Coralligène
4-1-Flores associés
4-2- Faunes associés
4- Associations et Faciès de l’infralittoral
4-1- Association à Cystoseira amentacea
4-2- Faciès à Mytilus galloprovinciali
4-3- Faciès à Vermets
4-4- Faciès à Gorgones
5- Valeur Ecologique de l’infralittoral Oranais
6 – Rythmicité biodiversitaire et équilibre écologique
7- Espèces remarquables
7-1- Macrophytobenthos
7-1-1- Phanérogames marines
a- Posidonia oceanica
b- Cymodocea nodosa
7-1-2- Macroalgues
a- Asparagopsis armata
b- Cystoseira spp
c- Jania rubens
d- Enteromorpha compressa
e- Peyssonelia squamaria
7-2- Macrozoobenthos
7-2-1 – Macroinvertébrés
a- Les Spongiaires
b- Les Cnidaires
c- Les Mollusques
d- Les Echinodermes
e- Les Crustacés
f- Les Polychètes
7-2-2- Les Poissons
8- Autres espèces infralittorale
9 – Discussion Générale
CONCLUSION GENERALE 
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES 

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